Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Episode précédent <<< Angela - épisode 38 : Arrivée des militaires >>> Episode suivant

Boris
15 avril 2025
Angela - épisode 38 : Arrivée des militaires

Jeudi 4 août 13:52


Après cette séance de piscine un peu particulière, j'ai convaincu Luc de descendre sur la plage pour laisser Joann et Mike travailler au jardin. Même si nous avons prévu de faire du nudisme, j'ai malgré tout préféré emmener un bikini pour pouvoir l'enfiler en cas de visites intempestives de notre petite crique pas si privée que ça, puisque déjà Cédric et Damien y étaient venus. Alors que je me baigne, j'aperçois un canot qui passe non loin de là.



Je me dis donc que ce n'était pas si ridicule de prévoir un bikini, même si Luc s'était moqué de moi. En voyant que le canot semble s'approcher, j'en informe Luc :
- Luc, j'ai l'impression que ce canot vient vers la crique, non ?



Il lève la tête et scrute l'embarcation qui est encore trop loin pour qu'on en distingue les occupants.
- Mmm ? Oui, peut-être...
- Mais elle est privée ou pas cette plage, merde !
- Ne t'agace pas avant de savoir qui c'est.



C'est sûr que Luc ne semble pas s'agacer, ni même s'inquiéter. Il se rince l'œil en me regardant et bande gentiment.
- Toi, du moment que tu peux me voir à poil, le monde peut bien s'effondrer !
- Si tu savais comme tu es sexy, ma chérie...
À force de me le dire, je finis par y croire.



Je regarde à nouveau vers l'embarcation :
- Pas de doute, ils viennent vers nous.
- Cédric et Damien ?
- Peut-être... Pas sûre. Je crois distinguer trois personnes.



Là, Luc semble s'intéresser aux intrus. Le chiffre "3" lui ferait-il peur ? Il se redresse et regarde à son tour les intrus approcher.
- Tu as raison : ils sont trois. Et vu la carrure, ce n'est pas Damien et Cédric. D'ici, ça semble des costauds et je crois que c'est trois mecs.



- Merde. C'est chiant. Personne ne sait que c'est privé, ici ?
- Bah, en même temps, il n'y a pas de panneau en mer indiquant que la crique est réservée.
- En attendant, on fait quoi ?



- On attend qu'ils arrivent et on leur explique que c'est privé.
- Et s'ils nous disent qu'ils s'en foutent ?
- Dans ce cas, soit on appelle Lionel qui contactera la gendarmerie, soit on leur jette du sable dans les yeux !
- T'es con ! Je vais mettre mon bikini.


images similaires


- Ah bah non ! Du coup, je les déteste ces types et je vais de toute façon leur jeter du sable dans les yeux par vengeance !
De rage, il me lance mon string. Je le ramasse pour commencer à l'enfiler :
- N'empêche que s'ils sont baraqués, tu ne feras pas le poids.



- Je ne compte pas me battre avec qui que ce soit... C'est surtout toi qui devrais te faire du mouron.
- Ah ? Parce que tu ne me protégeras pas ?
- Seulement s'ils veulent te faire du mal, mais je ne vois pas pourquoi ils s'en prendraient à nous.
- Parce que tu leur aurais jeté du sable dans les yeux par exemple.



- Ah oui... tu as raison. Vaut mieux que j'oublie cette histoire de sable.
- Mais s'ils s'en prennent à toi, moi je te protégerais.
- Et comment, ma Juju ?
- Avec mon cul, évidemment.



- Ah oui ! Les femmes sont les championnes de la paix.
Je remonte mon string sur mes cuisses :
- Tu oublies quand même que la guerre de Troie a eu lieu à cause d'une histoire de fesses...



- C'est vrai. Moi, c'est tes fesses à toi qui vont me manquer...
- Un string ne cache pas beaucoup les fesses, c'est plus le devant.
- Et c'est tout aussi dommageable.
- En attendant de savoir à qui on a à faire, je préfère ne pas rester à poil.



- Moi, j'assume. Et je me dis que ça donne une illustration très claire du caractère privé de cette crique.
- Hihi, je t'imagine déjà, la quéquette à l'air, en train de négocier avec trois mecs qui font de la gonflette et leur demander de partir.



- J'espère juste qu'ils ne sont pas homos, sinon je suis mal...
Je ramasse mon soutien-gorge pour commencer à le mettre.
- Ce serait amusant ! Comment tu réagirais ?



- Bah, j'avoue que ce n'est pas trop mon truc, mais je crois que je leur ferais comprendre que, moi, je ne suis pas intéressé.
Je termine de nouer mon soutien-gorge :
- Ah dommage, ça m'aurait bien excitée de te voir te faire enfiler par un inconnu.



Même si c'est de l'humour, mon fantasme semble le mettre bien mal à l'aise. Quelque part, je le comprends, alors je n'insiste pas, mais, en même temps, je me dis que moi j'ai accepté beaucoup de choses pour lui depuis le début de la semaine et que je ne sais pas du tout ce que lui aurait fait pour moi si nos rôles étaient inversés. Je m'assois quelques secondes à côté de lui pour l'embrasser, puis je le laisse pour retourner vers les intrus qui viennent de sortir de leur canot pneumatique.



Deux gars costauds semblent attendre vers la barque tandis qu'un troisième, un peu plus âgé me semble-t-il, vient dans ma direction. Quand il est à quelques mètres, je lance une première sommation peu bienveillante :
- C'est une plage privée, ici.



Le gars hoche la tête et sourit. Il n'a pas l'air méchant, mais semble calme et décidé dans le ton qu'il emploie (beaucoup moins agressif que le mien) :
- Désolé de vous déranger. Je m'appelle Laurent, je suis sergent dans l'armée et mes deux troufions, là-bas, c'est Marc et Milo. J'ai un accord avec M. et Mme Le Tarin pour venir un ou deux jours pour former mes gars à l'escalade sur cette falaise. M. et Mme Le Tarin m'avaient dit qu'ils préviendraient les locataires. Vous êtes bien les locataires de la villa au-dessus ?



Le gars est bien foutu, j'avoue. Et s'il est militaire, rien d'étonnant à ce qu'il soit costaud.
- Bah, non on n'a pas été prévenu. Mais en même temps, on n'a pas eu vraiment de contact avec les propriétaires, on est passé par leur fils.
- Lionel ? Il doit être au courant, il vous confirmera.
- Lui, non plus ne nous a rien dit...



Est-ce que nos petites sauteries avec Lionel lui auraient fait oublier de nous parler de la présence des militaires en exercices ? Le sergent semble embêté :
- C'est ennuyeux. J'ai fait ramer mes gars plus de deux heures pour arriver ici. Mais si ça pose problème, on va repartir.



Mince, ce serait dommage de laisser partir ce beau spécimen, surtout si ses copains sont taillés dans le même bois.
- Bah non, reposez-vous au moins un peu. On va s'arranger.



Je me tourne vers Luc :
- Luc, tu pourrais remonter téléphoner à Lionel pour qu'il nous confirme cette histoire.
- Oui, je fais ça.
- Merci, t'es adorable.



Il se lève et me fait un clin d'œil. Me retournant vers le sergent, je le vois regarder Luc remonter vers la villa. Il commente :
- Lionel nous avait dit que c'était souvent des nudistes qui louaient la villa.
- Heu, oui...
- Votre copain, il en fait, mais pas vous ?



Je le soupçonne de connaître la réponse puisqu'il m'a probablement vue mettre mon bikini à leur arrivée :
- Si, mais ça me gêne de me présenter nue devant des inconnus.
- Ah, il ne faut pas vous gêner pour nous, mademoiselle.
- C'est à moi d'en juger. Mais ne restez pas dans l'eau, venez au moins vous reposer sur la plage.



- "Au moins" ? me demande-t-il dans mon dos.
Que peut-il interpréter par cela ? Qu'il pourra faire plus que se reposer ou qu'il pourrait aussi aller se reposer à la villa ? Voire que je pourrais lui offrir plus que ma simple hospitalité ? Pffff, je me fais des films. Sans avoir attendu ma réponse (qui ne vient de toute façon pas), il ajoute :
- Oh, vous avez plein de sable dans le dos...



Et je sens alors ses mains frotter doucement mes fesses. Voilà un dos qui est bien bas... Et pourtant, je le laisse faire ! Son geste est à la fois sûr et délicat, mais je n'y décèle aucun désir sexuel, sauf quand ses doigts entraînent malencontreusement mon string vers le bas.
- Oups, désolé, mademoiselle. J'y suis allé un peu fort.



Je remonte vivement ma culotte et me retourne sans encore savoir si je vais le gronder ou lui dire que ce n'est pas grave, mais ce que je vois, je ne m'y attendais pas : mon militaire gradé a une main dans le maillot, manifestement en train de se tripoter l'engin ! Lui aussi est d'ailleurs surpris que je me sois retournée.



Avant que j'exprime mon irritation pour cet outrage, il a vite retiré sa main en souriant :
- Désolé, je remettais les bijoux de famille en place... Pas classe.
Non, pas classe. Et je doute qu'il ait vraiment besoin de mettre la main dans le maillot pour cela. Mais je n'ose pas lui faire la morale, car il affiche un début d'érection qui me trouble et me laisse sans voix.



Il affiche alors un petit sourire en coin, montrant sa satisfaction de prendre l'ascendant sur moi par l'intermédiaire de son gourdin. Bref, un mâle arrogant comme on en trouve sans doute beaucoup chez les militaires. Mon émotion est balayée par les deux autres militaires qui arrivent à leur tour, en courant dans l'eau avec rires et cris. De vrais gamins !



J'avoue que le spectacle de ces deux garçons à la musculature bien développée ne me laisse pas de marbre. Laurent pense que je les trouve trop bruyants :
- Excusez-les, ils ont besoin de se détendre après avoir ramé plusieurs heures.
- Oh, ce n'est pas grave. Ils ont besoin de se défouler.



- Oui. L'exercice leur fait du bien.
- Mais dites-moi, c'est un tout petit bataillon, seulement deux soldats.
- Ce ne sont que des volontaires. Ramer deux heures pour enchaîner avec de l'escalade, il n'y a que les plus motivés qui en sont capables.
Les deux gars arrivent :
- Bonjour Mademoiselle. Moi, c'est Marc.
- Et moi Milo.



Je sens leurs regards sur moi : sur mes seins bien sûr, mais aussi sur mon ventre et mes cuisses. Leur chef explique la situation :
- Ce jeune couple loue la villa de la famille Le Tarin, mais n'ont pas été mis au courant de nos exercices. Le jeune homme est parti téléphoner pour confirmer. En attendant, la demoiselle accepte qu'on se repose un peu.
Puisqu'ils m'ont donné leurs noms, je trouve poli de me présenter aussi :
- Mon copain, c'est Luc et moi, c'est Juliette.



Mon Dieu ! Que c'est beau, ces muscles finement sculptés : bras, torse, abdominaux, cuisses. J'ai trop envie d'y toucher... Luc n'est pas chétif, mais il faut avouer que là, c'est quand même un autre acabit. Laurent sent le silence pesant de nos troubles respectifs et prend les choses en mains :
- Allez, les gars. On ne mollit pas. Courez un peu le long de la plage.
En le voyant partir, je ne peux que valider cet ordre : ils sont encore plus sexy en pleine action.



Le sergent me demande :
- Et vous et Luc, vous faites un peu de sports ?
- On a fait un genre de base-ball ici même avec deux amis il y a deux jours.
Je n'ose pas lui préciser que j'étais à quatre pattes et que les amis en question m'ont pris en levrette plusieurs fois, mais je le vois froncer les sourcils, comme s'il décelait dans mon regard un petit air lubrique.



- Tant mieux, c'est important l'exercice physique pour rester en forme.
- Nous faisons beaucoup d'exercices physiques avec Luc depuis que nous sommes à la villa.
Il hoche la tête, comme s'il comprenait mon sous-entendu et ose finalement demander :
- Quels genres d'exercices ?



J'hésite à tout dire et me lance finalement dans la voie de l'humour :
- Oh, et bien, un peu de tout. La fellation me permet de travailler mon apnée, la sodomie les fessiers et la levrette ma souplesse.
Il ouvre de grands yeux et éclate finalement de rire. Et puis, c'est à mon tour d'être surprise, car je vois les deux soldats revenir, mais sans leur maillot, exhibant un matériel à la hauteur de leur musculature.



Laurent voit que je suis subjuguée et engueule sa troupe :
- Les gars ! Qu'est-ce que vous foutez ?
- Bah, vous nous aviez bien dit que c'était une plage naturiste et qu'on pourrait se mettre à poil ? Ce n'est pas à la caserne qu'on peut faire ça, alors on en profite.
- Oui, mais là il y a une dame !
Je réagis en retirant mon soutien-gorge :
- Oh, laissez. Ce n'est pas grave et puis ils ont raison : c'est une plage nudiste.



C'est au tour du sergent d'être subjugué. Ils portent apparemment un intérêt tout particulier à ma poitrine dénudée. Tout en retournant dans l'eau, je me moque gentiment de Laurent :
- Et bien ? N'est-ce pas au supérieur de montrer l'exemple ? Vos hommes sont déjà à poil, eux...
- Heu, si...
Il retire son maillot, mais, quand il se redresse, il garde pudiquement les mains devant son entrejambe.



Puisque je m'étais exprimée un peu crûment juste avant en explicitant les exercices que nous pratiquions et que le sergent avait trouvé cela amusant, je réitère par une question très directe :
- Pudeur ou érection ?
- Début d'érection... désolé, mademoiselle...
- C'est naturel, ne vous en faites pas. Je ne suis pas choquée. Luc bande presque en permanence.



Laurent se sent obligé de préciser leurs qualités morales :
- Dans l'armée, il y a des règles et nous sommes des gens sérieux. Je vous promets que nous saurons nous tenir. Et je me porte garant de mes hommes.
Il retire enfin ses mains et je peux admirer un beau sexe, quoiqu'insuffisamment érigé à mon goût.



En attendant le retour de Luc, je me dis que je peux m'amuser un peu à les exciter pour voir jusqu'à quel point ils sont soumis à leur discipline inflexible.
- Finalement, puisque nous sommes sur la même longueur d'onde concernant la tenue vestimentaire de rigueur sur cette plage, il faut que je me mette au diapason...
Tout en regardant leurs réactions, je commence à baisser mon string, leur dévoilant mon entrecuisse.



Marc et Milo sont béats. Sans doute que la plage était censée être déserte pour leur entraînement et qu'ils ne s'attendaient à y trouver une nymphomane. Je m'amuse de voir qu'ils commencent à bander sérieusement. Cela agace le sergent qui fait valoir son autorité :
- Allez, les gars. On poursuit. Continuez à courir.
Certes, c'est dommage de les voir s'éloigner, mais quel plaisir de pouvoir admirer les fesses musclées des deux soldats !



Puisque je n'ai plus que Laurent à exciter, je lui tourne le dos pour achever de retirer mon string, faussement pudique :
- Excusez-moi, je termine de me mettre en tenue.
Et je me penche pour faire glisser le bout de tissu à mes chevilles et offrir au jeune gradé une vue parfaitement indécente sur ma croupe.



Et le résultat est largement à la hauteur de l'effort : Laurent affiche une splendide érection :
- Dites donc. C'est ce que vous apprenez à l'armée ? Avoir des érections devant les demoiselles ?
- Heu, non. Comme vous le disiez tout à l'heure, c'est une réaction naturelle. J'espère que cela ne vous offense pas trop...



J'ai tellement envie de lui dire que j'ai très envie de le sucer, puis de me glisser ce bel engin entre les cuisses, mais j'ai un minimum d'éducation. Et puis, pour faire monter l'excitation, il est préférable de jouer un rôle inverse en me montrant pudique. Je cache ma poitrine avec les mains et réponds :
- C'est... impressionnant...



- Je ne veux pas vous choquer. Laissez-moi quelques secondes, je vais arranger cela.
- Comment cela ?
Comment peut-il arranger cela sans que cela passe par un vidage de couilles ? Mais, étonnamment, il se contente de regarder son sexe, comme s'il lui donnait des ordres par télépathie. Et là, chose incroyable, je vois le sexe perdre en vigueur et se rabaisser.



- Incroyable ! Quel contrôle !
- L'expérience. Et toujours de l'entraînement.
Il semble très fier de lui et me tourne le dos pour aller voir ses hommes. Je me régale de ses jolies fesses musclées.



Curieuse, je lui demande :
- Vous entraînez vos hommes aussi à ce contrôle ?
- Non. C'est un travail que chacun doit faire sur lui-même, mais ce n'est pas de la responsabilité de l'Armée.
- Le rôle de l'Armée se cantonne donc à produire des hommes vigoureux.



- Pour la défense de la patrie, mademoiselle. Seulement pour la défense de la patrie.
- Je n'imaginais rien d'autre, évidemment.
- Évidemment.


images similaires


Je ne sais pas trop que penser de Laurent, car il semble maintenant avoir compris mon petit jeu et doit probablement me considérer comme une nymphomane, mais ne semble pas vouloir en profiter. Peut-être doit-il garder son autorité sur ses hommes ? Je m'interroge si mon petit jeu ne va pas se retourner contre moi et si je ne ferais pas mieux de remonter rejoindre Luc qui a peut-être du mal à joindre Lionel.



Je relève la tête vers la villa et distingue une silhouette en haut de la falaise. Il me semble reconnaître mon homme. Il serait donc en train de se rincer l'œil depuis là-haut et souhaite donc que je m'amuse, comme d'habitude. Sauf que Laurent ne semble pas vouloir profiter de mes charmes. Ce qui n'est pas le cas de Marc et Milo qui semblent faire une pause pour me regarder en commentant ce qu'ils voient.



Je m'approche un peu pour essayer d'entendre ce qu'ils disent, car leur conversation est couverte par le bruit des vagues.
- On a quand même du bol. Une jolie nana sur la plage et en plus elle fait du naturisme.
- Mais le chef ne nous laissera jamais nous amuser avec.
- On peut au moins se rincer l'œil, ce n'est pas perdu.


images similaires


J'avais donc sans doute davantage mes chances avec ces deux-là. Quand le sergent se rend compte qu'ils prennent du bon à me regarder marcher non loin d'eux, il les rappelle à l'ordre :
- Les gars, c'est ça que vous appelez un entraînement ?
- On entraîne nos yeux, chef !
- Courrez donc un peu encore.
Je me tourne vers Laurent :
- C'est peut-être ma présence qui les perturbe.



- C'est certain. Mais il faut qu'ils s'endurcissent.
J'ai bien envie de lui dire qu'il y a déjà une partie de leur corps qui semble mieux endurcie que le reste, mais je ne suis pas certaine que ce soit opportun.
- Bon, je vais m'asseoir. Cela les aidera à se concentrer sur leur entraînement.



Tandis que je m'agenouille sur le sable, le chef donne ses ordres :
- Les gars, c'est très simple, si je vois une érection supérieure à l'horizontale, il y aura punition : ce sera vingt pompes.
Les garçons soupirent. Le chef me dit :
- Vous me direz si vous voyez qu'ils ne respectent pas.
- Heu, oui, je vais surveiller cela...


images similaires


Finalement, ce n'est pas si désagréable d'avoir cette mission : contrôler le sexe des soldats. Je n'ai même pas besoin de regarder en douce. C'est ma mission : observer des érections. Assise sur le sable au milieu de la plage, ils passent immanquablement devant moi et ça commence à m'exciter drôlement, car ils sont bien foutus. Pourtant, pas un sexe plus haut que l'autre. En fait, les garçons ont trouvé comment garder le contrôle : ne pas me regarder ! Même si je fais des efforts pour écarter un peu les cuisses et faire saillir ma poitrine.


images similaires


Le sergent retourne au canot. Au troisième passage de Marc devant moi, je tente ma chance en me redressant :
- Pfff, c'est désagréable ce sable qui colle à la peau...
Je me redresse et me frotte les cuisses et le ventre, jambes bien écartées. Immanquablement, je capte son regard.



Et je vois alors son sexe se tendre à l'horizontale ! Dois-je le dénoncer au chef ? Je l'entends dire :
- Merde...
- Désolée... C'est de ma faute ?
- Oui, mais la mienne aussi...



Je trouve élégant que ce garçon ne fasse pas reposer sur mes épaules (ou mes seins sans doute) la seule responsabilité de son érection.
- Votre sexe est à l'horizontale, donc techniquement, votre supérieur l'autorise.



- Ouais, mais c'est une question de point de vue. Pas sûr que le chef le voit à l'horizontal.
- Vous voulez que je lui demande ?
- Hé, non ! S'il vous plaît, pas un mot, sinon je vais me taper des pompes... Dans le sable, c'est l'horreur.



- Moi, tant que j'estime que c'est à l'horizontale, je n'ai pas de raison de lui signaler.
- Merci...
Coquine, j'écarte alors largement mes jambes et je vois le regard de mon militaire se perdre entre mes cuisses, sur mon coquillage.



Et bien sûr, j'obtiens ce que je voulais voir : le sexe de ce pauvre Marc se dresse bien au-delà de l'horizontale.
- Merde ! Merde ! Merde !
- Ne vous inquiétez pas, je ne vais rien dire. Je suis bien trop contente de voir votre queue dans un tel état.



Du canot, le chef appelle :
- Hey ! Tourne-toi un peu !
Nous savons qu'il s'adresse à Marc, mais je lui sauve la mise en me levant pour faire croire que je pense que c'est à moi qu'il parle.
- Comment ?



Laurent n'insiste pas. Peut-être me fait-il confiance et croit que je lui dirais si un de ces hommes se montrait indécent. Milo nous rejoint alors et se moque de son collègue :
- Et bien alors Marco ! On dirait que tu vas faire des pompes.



- Non, la demoiselle ne va rien dire. Elle est adorable.
- Oui, adorable. Je trouve aussi. Et elle te fait de l'effet.
J'interviens dans leur conversation :
- Oui, c'est de ma faute...



- Ah, mais c'est qu'il est faible, le Marco ! Il bande d'un rien.
- Parce que vous vous en sortez mieux, sans doute ?
Comme pour Marc, j'écarte les cuisses et dévoile ma minette aux garçons.



Aussitôt, le sexe de Milo se met au garde-à-vous.
- Oh merde...
Il réagit aussitôt en se mettant à courir espérant sans doute débander avant que son chef ne s'aperçoive de son état.



Mais Laurent, bien qu'occupé au canot, garde un œil sur ses hommes et à peine a-t-il fait dix mètres que l'on entend le sergent crier :
- Milo ! Cinquante pompes.
Le pauvre garçon s'exécute aussitôt.



Je comprends ce que disait Marc plus tôt concernant la difficulté des pompes dans le sable. C'est surtout le fait d'être à poil qui pose problème puisque le gland frotte dans le sable, ce qui doit immanquablement être rapidement douloureux. Je viens me mettre à côté de Milo et prends la même position que lui.



- Cinq... Six... Qu'est-ce que vous faites ?
- C'est aussi de ma faute, ça me semble normal que je participe... Et puis j'espère que de me voir faire vous excitera un peu encore et que cela vous fera bander davantage, ce qui mettrait votre sexe plus contre votre ventre et rendrait l'exercice moins douloureux.
- Merde ! Neuf... Vous avez raison... Cela fonctionne. Dix...



J'essaye de le suivre, mais je n'ai pas sa carrure : quand j'en fais péniblement un, il en enchaîne quatre. Il me voit peiner :
- Merci, ça ira.
- Je préfère rester jusqu'à la fin pour vous garder parfaitement en forme.



Il sait bien de quoi je veux parler. Après quelques minutes, il atteint cinquante et s'affale sur le sable. Je me relève tandis que le sergent m'interpelle depuis le canot :
- Alors, c'est bon ? Il en a fait cinquante ?
- Oui, il a été jusqu'au bout !



Cela semble satisfaire le sergent. Je me retourne vers Milo.
- Est-ce que ça va ?
- Évidemment ! Je suis entraîné pour bien pire que ça...
- J'espère que vous ne parlez pas de moi quand vous dites "pire"...



- Bien sûr que non ! Je parlais des pompes.
- J'aime mieux ça... Mais je vois que ça n'a pas affecté votre émoi.
Malgré sa fatigue, le garçon affiche une érection encore galopante.


images similaires


Derrière nous, Laurent appelle Marc pour qu'il l'aide à ramener le canot pneumatique sur la plage. Je propose à Milo de rester discret :
- Attention, vous bandez encore trop. Restez bien allongé que votre chef ne vous voit pas.



- Restez tourner vers moi. En leur présentant votre dos, votre chef ne verra pas que vous bandez toujours.
- Vous, en revanche, vous vous régalez...
- Effectivement.



Je trouve que c'est vraiment frustrant de voir une si belle érection et de ne pas en profiter. J'en viens à négocier :
- Écoutez, Milo. La seule solution pour que vous débandiez, c'est que vous éjaculiez. Si vous voulez, je peux vous sucer un peu pour vous aider.
Milo reste interdit devant une proposition aussi franche. Sans attendre sa réponse, je m'agenouille devant lui et commence par lui sucer les boules.



Il ne dit rien, mais au moins, il ne me repousse pas. Le traitement semble bien fonctionner : sa respiration se fait plus poussive, comme s'il entamait un marathon. Je décide de me contenter de cette petite gâterie : pas de fellation, pas de masturbation, juste un savant léchage de ses bourses.



Après une petite minute de ce traitement intensif, j'obtiens ce que je veux. Milo fait un pas en arrière en m'écartant sur le côté :
- Attention, je... Hannnnn...
Et il se met à éjaculer, doucement, mais sûrement. Sa semence épaisse s'échappe tranquillement et s'écoule ensuite lentement le long de sa hampe jusqu'à ses testicules avant de se mêler à l'écume des vagues.



Je me relève.
- Bien, je crois que ça devrait aller mieux maintenant.
J'attends un peu pour vérifier qu'il débande, mais ça ne semble pas fonctionner. Il s'inquiète :
- Merde... ça n'a pas fonctionné...
- Oups, je suis désolée.



Laurent vient dans notre direction :
- Milo ! Va donc récupérer ton sac dans le canot et aide Marc à l'attacher à un rocher, qu'on ne se le fasse pas emmener par la marée.
Milo, la queue pleine de sperme et en érection, n'ose pas se retourner et passer devant son chef. Il file sur le côté et plonge dans les vagues. Laurent ne comprend pas et me demande :
- Mais qu'est-ce qu'il fout ?



- Je crois qu'il avait besoin de se rafraîchir. Ils n'ont pas votre maîtrise.
Je désigne à Laurent son sexe dont il contrôle le niveau d'érection et qui donne toujours autant envie. Laurent sourit :
- Ah ? Il a bandé plus que de raison ?
Ravie d'avoir fait jouir Milo, mais frustrée de ne pas avoir eu moi-même un orgasme, j'opte pour moi aussi me calmer dans l'eau fraîche et suit la trace du jeune soldat en répondant au sergent :
- À mon goût, vous ne banderez jamais trop...



Quand je vois ressortir Milo des vagues, il a enfin débandé et il a pu se nettoyer de son sperme. Je vois alors Luc qui redescend les escaliers.
- Messieurs, mon copain revient. Je pense qu'il serait plus sage de remettre vos maillots.
Les trois militaires s'exécutent docilement en un clin d'œil et Laurent vient même me proposer ses services :
- Vous voulez de l'aide pour nouer le soutien-gorge ?
- C'est gentil, mais je suis une grande fille et je sais me débrouiller.



Peut-être qu'il aurait souhaité me tripoter. Cela ne m'aurait pas déplu, mais Luc l'aurait vu. Nous devons laisser croire encore aux militaires qu'ils ont pu profiter de la petite salope dans le dos de son petit copain. Mon Dieu, suis-je devenue pire qu'Angela ? Pourquoi "pire", d'ailleurs ? Suis-je devenue plus salope qu'Angela ?



Episode précédent <<< Angela - épisode 38 : Arrivée des militaires >>> Episode suivant

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 17 juin 2025 - Remonter