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Boris
1er mai 2025
Angela - épisode 39 : Échange de services

Jeudi 4 août 15:17


Luc arrive sur la plage et vient me rejoindre. J'exagère volontairement le plaisir que j'ai à le retrouver :
- Luc ! Enfin ! J'ai cru que tu ne reviendrais pas !
Je saute même de joie, mais c'est sans doute un peu trop.



Il rigole et, en arrivant, me dit :
- N'en fais pas trop quand même...
- Tu as tout vu ?
- J'ai vu que tu en as fait éjaculer un en lui suçant les couilles. J'aurais cru que tu serais plus efficace pendant tout ce temps.



- Tu plaisantes ? Ces mecs sont hyper disciplinés. Si leur chef dit de ne pas bander, ils ne bandent pas. Ce n'était pas si facile, même si on était tous à poil.
Il me fait un clin d'œil et ajoute :
- Je sais que tu as fait tout ton possible, ma Juju.
- Mais je n'ai pas dit mon dernier mot.



- Bon, j'ai eu Lionel. Tout est arrangé. Effectivement, il a oublié de nous prévenir. Il est vraiment désolé. Est-ce que tu vois une objection à ce que ces hommes restent profiter de la plage avec nous ?
- Pas du tout mon chéri. Nous on bronze, eux ils s'entraînent. La plage est assez grande.
Luc observe Milo et Marc qui sont en train de s'entraîner à la lutte.



- C'est vrai qu'ils sont studieux.
Laurent arrive pour savoir ce qu'il en est :
- Alors ?
- Alors, c'est bon, Laurent. Lionel m'a confirmé. Et vous pouvez rester faire vos exercices si ça ne vous gêne pas qu'on profite de la plage de notre côté pour bronzer.
- Parfait. Merci beaucoup. Et n'hésitez pas à vous mettre à l'aise. Vous, vous n'aurez pas de marques de bronzage, mais votre copine ferait mieux de retirer son maillot.
Ah oui ? Carrément ! Laurent s'adresse à Luc pour me dire de mettre à poil. Je n'attends pas l'aval de qui que ce soit et je retire en deux secondes mon soutien-gorge.



Luc rigole :
- Bah voilà. Suffit de proposer. Merci, Juju.
- Quoi ? Si je n'ai pas envie d'avoir de marques de bronzage, ça me regarde, non ?
- Ah, mais je suis totalement d'accord avec toi, ma chérie.
Un peu hésitant, Laurent nous demande :
- Et... ça vous dérange si mes gars et moi, on se met aussi à poil ? En fait, il n'y a qu'ici qu'on peut faire du naturisme et je le leur avais promis...



Luc se tourne vers moi :
- Moi, je suis déjà à poil. Je me vois mal refuser. Mais toi, Juju ? Tu pourrais trouver que ces garçons manquent de pudeur... non ?
- Si on est tous à poil, il n'y aura plus de malaise.
Et je m'apprête à faire glisser mon string.



Luc m'interrompt :
- Heu attends, Juju. La proposition était qu'eux se mettent à poil. Si toi tu te mets à poil, il est possible que cela excite ces messieurs et que cela nuise à leurs exercices.
Je n'en reviens pas qu'il me dise ça ! Mais sans doute est-ce une pudeur feinte de sa part. Avec Angela, la question ne se serait pas posée. Pourquoi est-ce que je pense à Angela au moment où Luc me demande de ne pas me mettre nue ?
- Ah oui ? Donc moi, créature tentatrice, je ne dois pas me mettre nue pour ne pas exciter ces pauvres messieurs ? Laurent, vous en pensez quoi ? Si je retire ces bouts de ficelle, cela va changer fondamentalement ma tenue ?



Laurent soupire, gêné :
- Heu, non, effectivement. Vous avez raison. Mais dans les faits, sans votre string, vous serez nue et c'est sûr que cela pourra exciter mes gars.
Quelle audace ! Même Angela n'aurait certainement pas laissé passer une telle remarque.
- La belle affaire ! Une fille nue excite des hommes ! Quelle nouveauté !!! Marc et Milo vont donc me sauter dessus sitôt qu'ils verront ma moule ? Vous, Laurent, vous allez me sauter dessus ?



- Bien sûr que non ! Répond le sergent.
Dans cette petite mise en scène, je mise sur une preuve par l'exemple en me fondant sur la maîtrise qu'a Laurent sur son érection :
- Est-ce que cela vous fait bander, sergent ?
En voyant mon clin d'œil, Laurent comprend. Il se concentre quelques secondes, puis abaisse son short, exhibant un sexe bien gonflé, mais pas en érection.



Je termine de retirer mon string et m'exhibe sans pudeur :
- Ah ! Tu vois, Luc. Aucun souci à se faire. Ces messieurs sont de vrais gentlemen. Je vais donc pouvoir bronzer tranquillement pendant qu'ils s'entraînent.
Luc s'amuse de tout mon stratagème. Tout ça pour laisser croire aux militaires que Luc est le dindon de la farce, alors qu'il est en réalité mon complice.



- Bien, nous vous laissons et nous allons faire nos exercices dans l'eau pour commencer.
Laurent va rejoindre ses hommes qui jouent dans l'eau. J'en profite pour admirer ses jolies fesses musclées. Devant lui, Marc sourit. Il a sans doute repéré mes regards intéressés sur le postérieur de son chef.



Luc me demande :
- Tu as descendu de la crème solaire ?
- Ah, non. Mince...
- Ne bouge pas. Je remonte en chercher. Baigne-toi avec eux en attendant.
La proposition est effectivement savoureuse. Alors qu'il repart à nouveau, je vais rejoindre les hommes dans l'eau.
- Est-ce que je peux me joindre à vous le temps que Luc redescende avec de la crème solaire ?



Marc sourit :
- Évidemment, mademoiselle. Là on s'écarte les uns des autres pour faire des exercices de tension.
- Ah ? Ok, je vais vous regarder pour voir en quoi ça consiste.
Je ne cherche pas nécessairement à comprendre en quoi consistent ces exercices. Ce qui m'intéresse, ce sont les jolies fesses que me présente Marc.



Marc s'étire, bras tendus devant, sur les côtés, derrière. Il remonte une cuisse, arrondissant sa fesse musclée, puis l'autre. J'avoue que cela me trouble particulièrement. Si je trouve déjà excitant de voir Luc à poil, pouvoir contempler un militaire musclé faisant des exercices embrase mon ventre. Marc reste à me présenter son dos, ses fesses, mais tourne la tête vers moi et me sourit en me voyant figée par ce spectacle :
- Tout va bien, mademoiselle ? Vous semblez avoir pris un coup de chaud...
Je me ressaisis :
- Heu, oui. Désolée. Tout va bien.



Mais mon trouble ne lui a pas échappé :
- Vous devriez peut-être vous éloigner. Je crains qu'il y ait ici quelque danger pour vous...
- Un danger ?
- Oui, j'ai l'impression que mes fesses vous attirent particulièrement.



Et c'est seulement quand il se retourne un peu que je crois distinguer un bref instant que ces exercices ne se limitent pas à des étirements musculaires : il me semble qu'il est en train de se masturber. Si ses fesses me troublent, j'ai l'impression que mes seins l'excitent particulièrement :
- Oui, vous avez de très belles fesses. Mieux vaut que je m'éloigne...
- Oh, je disais cela pour plaisanter !
- Ah oui ? Il est vrai que si je m'éloigne, en ce qui vous concerne, vous ne pourrez plus admirer ma poitrine...



Il ne me répond pas mais je vois son bras gauche bouger de manière significative. Aucun doute, même s'il me tourne le dos, je suis persuadé qu'il se masturbe en regardant mes seins. Je m'amuse donc à tourner un peu sur moi-même, à me cambrer ou à me pencher un peu en avant, pour qu'il puisse en admirer le profil, les courbes, la fermeté. Et cela semble lui plaire, car je le vois soudain fermer les yeux et pousser un profond soupir. Après quelques secondes, il se retourne enfin et me montre fièrement qu'il vient d'éjaculer.



Son sexe gonflé affiche plusieurs traces de sperme et sa main gauche également. Il me dit :
- Vous êtes très stimulante, mademoiselle.
- Oh, mon Dieu ! Hihi !
Je pars en courant, comme si cela me choquait au plus haut point.



Je l'entends me suivre :
- Hey ! Attendez ! Ne partez pas !
- Laissez-moi, espèce de satyre !
- S'il vous plaît, attendez...
Il est presque sur moi. Je m'enfonce dans l'eau.



- Hihi, vous ne m'attraperez pas !
Je pense qu'il veut me signaler de ne surtout rien dire à son chef, mais je trouve amusant de jouer au loup et à l'agneau. Étant maintenant suffisamment dans l'eau, je plonge en espérant être plus rapide à la nage, mais mon poursuivant en profite pour me saisir les chevilles. Je prends conscience que, ainsi écartelée, il peut profiter d'une vue bien dégagée sur mon entrecuisse.



- Laissez-moi !
- Héhé, je veux surtout vous éviter la noyade.
Il me lâche une cheville, maintenant sa prise de la seconde, mais sa main libérée part à l'exploration de ma moule offerte.



Je pourrais le dénoncer à son chef et l'obliger ainsi à faire des pompes sur la plage, comme son collègue Milo un peu plus tôt. Mais il faut reconnaître que la caresse est loin d'être brutale et que j'éprouve un certain plaisir (et même un plaisir certain) à ses attouchements sur mon intimité. Me voyant ne pas lui résister, il m'attirer à lui, abandonnant sa prise de ma cheville par une saisie de ma taille. Et je sens alors quelque chose d'exceptionnellement dur entre mes fesses, ainsi que ses couilles contre ma fente.



Bon sang ! Je suis si excitée que s'il essayait de me prendre en levrette, je ne m'y opposerai sûrement pas. En a-t-il lui aussi l'idée et l'envie ? Certainement ! Mais la voix de son chef le rappelle à l'ordre. Sans doute suspicieux de ce qui se passe sous l'eau, le sergent l'interpelle :
- Marc ! Si tu as besoin d'exercice, porte-la !
La discipline militaire fait qu'il obéit instantanément : je me sens soulevée par deux mains puissantes et, trois secondes après, je me retrouve juchée sur ses épaules !



- Vous êtes drôlement costaud !
- Et vous drôlement jolie ! Je vous porterais au bout du monde...
- Hihi... Sur la plage, ça me semble déjà un bon début.
Quand il arrive sur le sable, il me laisse descendre, mais je lui fais une bonne blague : en glissant le long de son corps, j'écarte les cuisses pour m'embrocher naturellement sur son sexe en érection !



Le pauvre étouffe un cri de surprise et lance un regard éperdu vers son chef. Heureusement celui-ci ne nous voit pas à ce moment-là.
- Vous êtes folle !
Marc, craignant de devoir faire des pompes, me relève pour se dégager et me tenant contre lui comme un vulgaire sac de grains, il m'emporte dans la mer.



Dès qu'il a de l'eau jusqu'au bassin, jugeant que c'est suffisant, il me jette dans une vague :
- Allez hop ! Cela va vous rafraîchir.
Quand je me relève, je constate, même sous l'eau, qu'il bande toujours autant :
- Hihi, si votre chef voyait ça...



Je le vois qui s'avance soudain plus loin dans la mer comme si sa pudeur le poussait à me cacher son érection, mais j'en comprends la raison en entendant la voix de Milo derrière moi :
- Dis donc, Marc, tu fais quoi avec la demoiselle ? Je ne suis pas sûr que ça fasse partie de l'entraînement.
Je me tourne pour lui répondre :
- Comme vous avez pu le voir, il m'a portée. Même si je ne suis pas très lourde, je pense que cela doit quand lui avoir fait travailler plusieurs muscles.



- Mouais... De ce que j'ai cru voir d'où j'étais, il n'y a pas que ses muscles qui ont travaillé.
- Ah ? Et que croyez-vous avoir vu, Milo ?
- J'ai cru le voir vous saisir la taille pour vous attirer contre lui, mais comme c'était sous l'eau, je ne peux pas dire exactement ce qu'il a pu faire.
Ouf ! Milo n'a apparemment pas vu que je me suis embrochée sur la tige de Marc quand celui-ci m'a descendue de ses épaules.
- Vous pensez qu'il aurait pu me pénétrer sans que je m'en rende compte ?



- Heu... non. Il est aussi bien équipé que moi, donc je pense que vous l'auriez sentie...
Je désigne son érection qui semble à la limite de dépasser l'horizontale :
- C'est vrai que vous êtes plutôt bien équipés, les garçons... Mais vous n'avez pas peur que votre chef vous fasse faire des pompes ?
- Heu... si. Mais vous n'arrangez pas vraiment mon état.
Doux euphémisme, je tente ma chance :
- Mettez-vous contre moi, il ne vous verra pas !



Je le vois regarder son chef, puis mon cul, à nouveau son chef et enfin encore mon cul. Il vient me rejoindre avec la queue largement au-dessus de l'horizontale. Il se plaque contre moi et je sens son sexe tendu palpiter entre mes fesses. J'ai tellement envie qu'il me prenne en levrette ! Il commence à monter et descendre pour se branler entre mes fesses. Je décide de tenter ma chance : au moment où il a les genoux pliés et que son gland est presque contre ma vulve, je me hisse sur la pointe des pieds et me cambre pour m'emmancher sur sa hampe d'un coup sec. Il est surpris et ne bouge pas, mais quel délice !



Cet idiot se recule en s'excusant :
- Oh pardon, je ne voulais pas !
Je suis surtout agacée qu'il n'ait même pas tenté d'en profiter, mais je décide de me venger en lui faisant porter la responsabilité de cette levrette impromptue :
- Hey ! Mais ça ne va pas ?! Je vais le dire à votre chef.
- Non ! Pitié ! Ne dites rien.
- Dans ce cas, je vais vous arracher les couilles.
J'ai surtout envie de le masturber, mais il voit à mon sourire que je ne suis pas réellement menaçante, même si, par sécurité, il me maintient les mains aussi loin que possible de son érection.



- Je parviens à libérer une main et donne une petite tape, pas très méchante, sur son gland :
- Pour vous apprendre à vous maîtriser en présence d'une dame !
- Aye ! La garce !
- Ah, non ! Pas de riposte, sinon je crie et votre chef vous punira !
Je décide de ne pas pousser davantage le bouchon et retourne vers la plage en courant.


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Je retourne à ma serviette et m'y allonge sur le ventre. Laurent, le sergent, vient pendre des nouvelles (même si je le soupçonne surtout de vouloir se rincer l'œil à ma croupe) :
- Tout va bien, Juliette ?
- Si on exclut le fait que mon mec n'arrive apparemment pas à remettre la main sur la crème solaire, je dirais que ça va.



- Pour la crème, nous, on en a si vous voulez...
- Je ne sais pas... Luc ne verrait sans doute pas d'un très bon œil que vous me mettiez de la crème dans le dos...
- En même temps, on peut vous prêter la crème et vous vous en mettez vous-même, non ?
Mais il le fait exprès ? Comment peut-il passer à côté d'une telle occasion de me tripoter les fesses ?
- C'est gentil, mais j'aurais nécessairement besoin d'aide pour le dos. Je manque de souplesse.



- D'accord. Je demande à un de mes gars de s'occuper de votre dos et vous vous occuperez de vos... du reste.
- OK.
Pourquoi ne le fait-il pas lui-même ? Aurait-il peur de se faire surprendre par Luc pour déléguer cette tâche à un simple soldat ? Il appelle celui qui est le plus proche :
- Marc ! Fais une pause et viens mettre de la crème dans le dos de la petite dame.
- Merci, sergent.


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Tandis qu'il s'éloigne, il interpelle Milo :
- Milo ! Viens me filer un coup de main pour sortir du bateau le sac avec les tentes.
Je les vois s'éloigner vers leur embarcation et Marc arrive, brandissant un petit tube de crème. Alors qu'il s'agenouille à côté de moi, j'écarte les cuisses pour lui faire comprendre qu'il n'y a pas que mon dos que je souhaite offrir à ses caresses.



- Allez-y ! Le soleil cogne dur, je ne voudrais pas avoir de coups de soleil...
Et pourtant, en vrai gentleman, Milo me tartine de crème les épaules et le dos sans jamais oser descendre plus bas.
- Milo, un coup de soleil sur les cuisses ou les fesses, ça fait très mal, vous savez ?



Mon militaire se révèle être finalement un grand timide. Quand je pense que je l'ai sucé un peu plus tôt et qu'il a failli m'éjaculer dans la bouche, je trouve étonnant qu'il n'en profite pas davantage. Il bredouille un discret "Oui, Juliette..." et je sens ses mains se poser sur mes cuisses. Quand il a bien étalé la crème sur mes jambes, il est bien forcé de s'occuper de mes fesses et, enfin, ses doigts effleurent délicieusement mon coquillage qui, à chaque nouvel attouchement, suinte un peu plus de cyprine.


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Puis il change de position : il se place près de ma tête et ses mains parcourent à nouveau mon dos, descendant jusqu'à mes globes fessiers. Cela tient presque plus du massage sensuel que du tartinage de crème solaire. Je ferme les yeux pour apprécier, mais j'essaye de lui signifier que je veux autre chose :
- Mmmmm, vos mains sont très douces, Milo... mais je crois que ça ira pour mon dos.




Mon message est apparemment assez clair. Je rouvre les yeux au moment où Milo se lève pour change à nouveau de place, et j'ai tout juste le temps de voir sa formidable érection. Je regrette de ne pas en avoir profité alors qu'il était à portée de bouche. Il s'assoit alors entre mes cuisses écartées et semble rester quelques secondes en émoi devant le spectacle de ma moule, sans doute dégoulinante de ma liqueur d'amour.



- Faites bien l'intérieur des cuisses, s'il vous plaît...
- Heu... OK.
Quand je sens ses doigts effleurer ma minette, je lâche un profond soupir de satisfaction. Cela semble l'encourager, car, juste après, il plonge son majeur dans ma fente inondée et commence à me masturber délicieusement.



- Oooooh, Milo... Enfin ! Hhhhhhh...
- ... Merde !
Mon sympathique militaire se lève soudain et file vers la mer, sans se précipiter, mais d'un pas décidé. Craindrait-il son chef qui lui ferait faire des pompes dans le sable s'il voyait son érection incontrôlée ? Mais ce n'est pas le cas, Laurent et Marc sont tous les deux en train de sortir de gros sacs du bateau pneumatique. Reportant mon regard vers Milo, je comprends enfin son émoi : il est parti précipitamment, car il ne se contrôlait plus et, tournant le dos aux deux autres, il est en train d'éjaculer.



Un peu honteuse d'avoir provoqué cette situation, je suis malgré cela assez fière d'avoir déclenché cette magnifique éjaculation, même si je trouve dommage qu'il ne soit pas resté pour me faire profiter de cette belle explosion. Je bascule sur le dos pour qu'il puisse à son retour m'étaler de la crème aussi sur le ventre et les seins.



Le léger vent d'ouest me porte la voix du chef :
- Milo, viens remplacer Marc. Ce bon à rien a failli mettre la tente à la baille.
Je me redresse et vois Marc afficher un sourire victorieux quand il croise Milo. Cela ne semble pas l'affecter d'être remplacé par son collègue et il semble au contraire ravi de pouvoir venir prendre sa place sur la plage pour s'occuper de moi :
- Juliette, un coup de main pour mettre un peu de crème ?
- Théoriquement, devant, je suis en mesure de le faire moi-même...



- Oui, mais ça vous évitera d'avoir les mains engluées et le sable qui s'y colle.
- Voilà un argument très pertinent.
Je me rallonge et il vient s'agenouiller à côté de moi. Il commence par le ventre en faisant de régulières incursions sur mon buste. Puis il descend sur les cuisses, et c'est là que je l'attends.



Il semble beaucoup s'amuser à effleurer mes mamelons pour les sentir tout durs sous ses doigts. De son autre main, il s'occupe de mes cuisses et n'hésite à faire l'intérieur en remontant jusqu'à ma moule. Marc est moins timide que Milo :
- Mmmmm... Merci, Marc. C'est agréable. Milo n'osait pas. Et quand il s'est enfin décidé, il s'est mis à éjaculer...
- Comme ça ?
- Oui. Juste parce qu'il me masturbait...



- Ah ?
- C'est un garçon émotif ?
- Peut-être... Mais je pense surtout que vous êtes particulièrement excitante.
- C'est gentil. Vous pensez que vous aussi ça vous ferait éjaculer de me masturber ?
- Je ne sais pas trop...
- On essaye ?
Il sourit. Il voit bien quelle salope je suis, malgré mes airs ingénus. Tandis qu'il descend sa main sur ma vulve, des doigts caressent un téton, comme s'il voulait mesurer mon excitation à sa dureté.



Nous sommes alors tous les deux surpris par la voix de Laurent :
- Ah, Marc... Toujours dévoué pour venir au secours d'une jeune fille en perdition.
- Il me met juste de la crème... solaire !
- Oui, je vois ça. Et il a raison d'insister sur l'entrejambe, car c'est la partie la plus sensible.
Je ne commente pas. Mais nous avons tous les deux remarqué que le sergent est à la limite d'avoir une érection qui dépasse l'horizontale.



Il semble ne pas vouloir intervenir. Tant mieux, car les caresses de Marc sont de plus en plus précises et je me sens tout à fait en mesure d'avoir un orgasme, ainsi étendue nue sur la plage. Le sergent s'assoit à proximité et observe les gestes de son soldat. Celui-ci se concentre désormais à deux mains entre mes cuisses que j'ai écartées en grand pour qu'il accède à ma fontaine d'amour.



Dix doigts qui s'activent sur mes zones érogènes, mes lèvres, mon clitoris ! Je me sens fondre de plaisir. Le chef commente :
- Il me semble qu'on a dépassé le simple stade de la protection solaire, non ?
- Oui, chef... Je vais devoir faire des pompes.
- Non. La demoiselle semble en avoir besoin.
Oh que oui ! Quel constat pertinent ! J'ai très envie d'une pénétration, mais s'il me donne un orgasme avec ses doigts, je prends aussi.



Encouragé par la réaction de sa hiérarchie, Marc en profite pour explorer mon sexe. Un délice !
- Mmmmm, Juliette. Vous semblez effectivement avoir grand besoin qu'on vous cajole votre petit abricot.
- Oui... Hhhhhhh... Il est mûr... bien mûr... Oooooh !
Marc fait enfin pénétrer son majeur dans mon vagin.



Sans doute pour qu'on ne l'oublie pas, Laurent s'autorise à commenter :
- Il me semble bien juteux, cet abricot...
- Oui, Juliette est très réceptive.
Marc s'autorise à insérer deux doigts et le pouce de son autre main taquine mon bouton d'amour.



- Oooooh... Ouiii... Mmmmmmm...
Je sens que l'orgasme n'est plus loin... Si seulement Luc pouvait voir ça ! Le sergent intervient :
- Attention, je ne sais pas si tu peux la faire jouir. Son copain ne serait peut-être pas très content.
Quoi ? De quoi je me mêle ? J'implore Marc de continuer :
- Si... continuez...
Mais Marc a déjà retiré ses doigts et laisse ma minette avec un appétit féroce inassouvi.



- Oh, s'il vous plaît, continuez à câliner mon coquillage.
J'entends Marc pester :
- Merde...
Je relève la tête :
- Quoi ?
- Je viens de mettre les mains dans le sable... Je vais aller me les laver.
Laurent intervient en faveur de son soldat :
- Tu n'as qu'à continuer à la câliner avec ton gland. Il est tout propre, lui.



Marc ne semble pas croire que son chef lui propose ça :
- Que je... ?
Moi ça me va carrément et je suis enthousiaste à cette idée :
- Oh oui, s'il vous plaît !
Marc obtempère et s'agenouille entre mes cuisses, posant son sexe tendu sur ma fente et commençant à le frotter contre.



Mince, cette andouille suit les ordres de son chef à la lettre et ne me pénètre pas, se contentant effectivement de me masturber avec son braquemart. Je tente ma chance et, à un moment où son gland est en position basse, je me cambre et me redresse pour faire en sorte qu'il m'enfile au moment où il remontera.



Mais son chef, rabat-joie, intervient encore :
- Attention à ne pas la pénétrer. Son copain pourrait revenir et, à ce stade, on peut encore se défendre en disant que c'était juste pour lui étaler de la crème solaire.
Malin le chef, voire même machiavélique. Ces militaires savent arriver à leurs fins et trouver les justifications. Marc contrôle donc son membre et poursuit sa masturbation en e faisant glisser sur ma fente.



Celle-ci s'écarte de plus en plus pour laisser le membre s'ancrer bien dans le sillon et le gland venir frotter contre mon clitoris. C'est très agréable. Et après quelques minutes de ce délicieux traitement, je sens l'orgasme monter. Pas très puissant, mais bien présent. Je me tends, je vibre, je me tords et, dans la bataille, sans même le vouloir, je parviens finalement à m'emmancher sur la tige bienfaitrice.



Marc est surpris et, au lieu d'en profiter pour m'embrocher et me pilonner (ce qui aurait été le top), il se retire. Mais ce n'est ni par peur de l'arrivée de Luc, ni par peur de réprimande de son chef : juste que lui aussi était surexcité et que, alors qu'il avait son gland qui faisait une percée involontaire, mon petit orgasme avait déclenché son éjaculation. Dès que j'ai senti les premières giclées de sperme s'écraser sur mon ventre, j'ai saisi le membre turgescent pour le branler et l'accompagner dans ce feu d'artifice.



Marc s'écarte aussitôt :
- Désolé, Juliette... C'est arrivé d'un coup...
Le sergent rigole :
- Alors, soldat ? Incapable de se discipliner ? Si Juliette voulait de la crème sur son abricot, je pense qu'elle est servie.



Je jette un œil vers l'escalier le long de la falaise : toujours aucune trace de Luc. Voyant mon regard, Marc regarde dans la même direction, se rendant compte qu'il est peut-être allé un peu trop loin, même si c'était avec la bénédiction de son chef. Je lui souris pour le rassurer :
- Ce n'est pas grave. Effectivement, comme dit le sergent, ce n'est que de la crème. Il suffit de l'étaler pour que les traces disparaissent. Le sperme va se mélanger à la crème solaire et personne ne saura.
Aussitôt, le jeune soldat m'étale méticuleusement sa semence sur mon ventre et sur mes cuisses.



La voix de Milo se fait entendre à l'autre bout de la plage :
- Marc ! Viens donc m'aider à sortir les tentes.
Un peu à regret, le soldat va rejoindre son collègue. Je me lève et regarde Laurent qui reste allongé sur le sable :
- Dites donc, vous les incitez un peu à la débauche, vos hommes, non ?



- Ah, un peu de distraction ne fait pas de mal et vous aviez l'air plutôt partante, non ?
- Carrément ! Et vous ne vouliez pas profiter de votre privilège de chef pour l'écarter et reprendre les manœuvres à votre compte ?
- Ce serait de l'abus d'autorité...
La règle du contrôle de l'érection semble complètement oubliée, car Laurent bande magnifiquement, sans retenue.


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- Vous semblez intègre, mais je vois que vous affichez une érection que vous ne contrôlez plus.
- Je contrôle ! Qu'allez-vous penser ?! Regardez, mon sexe est à l'horizontale.
- Parce que vous êtes allongé, ne vous moquez pas de moi.



- Désolé, c'était pour plaisanter...
Il se redresse et cela ne fait plus aucun doute : son sexe pointe magistralement vers le ciel.
- Là, je crois que vous êtes bon pour cinquante pompes, non ?
- On ne peut pas trouver un arrangement ? J'ai cru apercevoir que vous l'aviez fait pour mes hommes.
Mince ! Il nous a vus. Le chef a l'œil. Et le chef a aussi une splendide érection qui me fait drôlement envie.



- Vous pensez à quoi, sergent ?
- Je ne sais pas, vous avez trouvé diverses solutions pour soulager mes hommes, vous avez sans doute vous-même des idées.
- Et moi qui pensais qu'on avait été discrets...



- Vous l'avez été. Mais nous sommes des hommes et quand il y a une magnifique femme nue à proximité, nos regards sont irrémédiablement attirés...
- Ah, c'est donc ma faute. Je n'ai donc plus qu'à assumer mon sex-appeal en faisant éjaculer tous les garçons que je fais bander ?
- Bien sûr que non !
Ses yeux et sa queue ne disent pas cela. Je lui souris et m'accroupis à côté de lui pour saisir son membre tendu et le masturber lentement.



Laurent ferme les yeux et dit :
- Haaaa... C'est tellement bon. Il y aura certains éléments qui ne pourront pas figurer dans mon rapport...
- Pourquoi donc ? "Un peu de distraction ne fait pas de mal", vous l'avez dit. Cela ne s'applique pas aux gradés ?
- Oh si...
Il glisse sa main entre mes cuisses pour me doigter la moule. Il doit bien se rendre compte à quel point je suis excitée moi-même.



Cela fait déjà un moment que Marc et Milo ne s'occupent pas de sortir les tentes pour les monter. Tandis que je masturbe leur chef, ils s'approchent discrètement de nous. Je viens alors me placer à quatre pattes entre les cuisses du sergent et m'adresse aux deux soldats pour justifier ce qu'ils voient :
- Votre chef aussi à besoin d'être soulagé. Vous êtes très tendus, vous autres, militaires...
Je me penche pour lui sucer le gland.



Malgré le contrôle si fièrement annoncé, comme ses deux soldats, le sergent ne semble pas faire preuve d'une si grande résistance. Il se tend soudain :
- Haaaaan...
Je me redresse et le masturbe lentement jusqu'à ce que le sperme jaillisse lentement, épais et tiède, et qu'il coule sur mes doigts.



Quand il rouvre les yeux, je dis à Laurent :
- Maintenant que vous êtes soulagés tous les trois, vous allez pouvoir reprendre l'entraînement.
Le chef soupire :
- Pfff, ouais. Faut monter ses foutues tentes.
- Et vous avez des sardines spéciales pour ça ?
- Des sardines spéciales ?
- Oui. Je pense que les sardines classiques, dans le sable, ça ne fonctionnera pas...



Laurent se relève et regarde ses hommes :
- Qu'on est cons ! On ne va pas pouvoir monter les tentes !
Marc hausse les épaules :
- Ce n'est pas très grave en cette saison. On peut dormir à la belle étoile.
Je m'assois sur le sable et demande :
- Sergent, vous faisiez comment les années précédentes avec vos tentes ?



- Bah, on n'avait pas de tentes...
- Vous dormiez à la belle étoile ?
- Non. Monsieur et Madame Le Tarin nous laissaient la maison ouverte.
- Ah...
Je ne sais que dire. Je m'imagine déjà avec ces trois militaires dans mon lit pour une nuit endiablée. Mais je ne peux pas prendre cette décision sans en parler à Luc. Je me contente donc de ce "Ah" de constatation neutre, sans implication.



Laurent complète sa réponse :
- Mais comme ils nous avaient dit qu'il y avait des locataires, on s'est dit que monter des tentes sur la plage sera parfait.
Milo propose :
- Et pourquoi ne pas les monter dans le jardin ?
Gardant un air détaché de la conversation, je réponds :
- Je pense que des tentes risquent de dégrader les pelouses...



Marc revient à la charge :
- Il nous reste donc la belle étoile. Moi ça me convient.
Laurent et Milo ne semblent pas emballés par cette idée. Que j'aimerai les inviter à partager la villa avec nous ! Je vois alors mon sauveur arriver : Luc !
- Enfin ! Tu en as mis du temps pour trouver ce tube de crème !



- Oui, il a fallu que je retourne toute la maison, car il n'était pas à sa place habituelle. Mais à ce que je vois, tu en as trouvé ailleurs ?
- Oui. Ces charmants militaires m'ont proposé la leur et ils ont même accepté de me la mettre eux-mêmes.
- Ce sont de vrais gentlemen.
Au sourire et à l'érection de Luc, je sais qu'il était là-haut avec des jumelles et qu'il n'en a pas perdu une miette.



Je me lève pour aller l'embrasser.
- Mon chéri, j'ai très envie de toi.
Il me murmure à l'oreille :
- Je pense bien. Aucun des trois ne s'est dit que tu avais toi aussi des besoins ?
- J'ai eu un petit orgasme...
- J'ai vu...



- Tu me fais l'amour ?
- Non. Pas devant eux. Il faut y aller progressivement. Je te ferais l'amour là-haut tout à l'heure.
- Ah, tu es dur. Moi je voulais les faire saliver un peu.
- Suce-moi dans ce cas...
L'idée est séduisante. Vérifiant que nos trois militaires sont bien au spectacle, je m'agenouille devant Luc et saisit son membre dressé.



Le sergent commente :
- Vous avez là une copine qui n'a pas froid aux yeux...
- Oui, elle résiste difficilement à un sexe en érection.
- Oui, on...
Le chef s'interrompt, craignant d'une mauvaise réaction de Luc s'il apprend que je les aie fait jouir tous les trois.
Luc demande aux gars :
- Mmmmm... J'espère qu'on en vous choque pas ?
Les trois spectateurs sont apparemment ravis de pouvoir rester.



- Oh heu, non. Vous êtes chez vous, vous faites ce que vous voulez. Ce sont nous les intrus... D'ailleurs, peut-être que vous préférez qu'on vous laisse un peu d'intimité.
- Haaaan... Inutile... ça ne nous gêne pas. N'est-ce pas ma chérie ?
Je me détache un peu pour faire "non" de la tête.



Luc en remet pourtant une couche :
- Hann... Je suis impressionné par votre maîtrise, les gars... Mmmmm... À peine un début d'érection...
Un peu gêné, le chef répond :
- Heu, oui... On a un peu l'habitude du naturisme.



- Ah ouais ? Les militaires pratiquent régulièrement... han... le naturisme ?
- Heu, pas vraiment, non. Mais il y a des militaires qui le font. Pas pendant les heures de service, évidemment.
- Et là, vous n'êtes pas en service ?
- Si, mais c'est un peu différent...
Je n'en reviens pas que Luc tienne cette conversation pendant que je lui fais une fellation.



- Mmmm... Doucement ma chérie... Tu vas m'avoir...
Je sors son sexe de ma bouche et lui souris :
- J'y compte bien, figure-toi !



Ma langue sur son gland semble achever le travail. Fièrement, il dit :
- Messieurs, on y est ! Haaaaaaaaan...
Comme si son éjaculation était ce que tous attendaient... En tout cas, sa semence jaillit puissamment et il m'en met tant dans la bouche que je dois en laisser échapper un peu qui s'écoule sur mon menton et sur mes seins.



Quand il a terminé, il se penche et m'embrasse sur le front :
- Bravo, c'était magnifique... Tu auras ta part bientôt, je te le jure.
- J'y compte bien !



Luc se tourne vers les trois militaires qui étaient, semble-t-il, à la limite d'applaudir pour ce qu'ils venaient de voir :
- Messieurs, vous avez besoin d'un coup de main pour monter les tentes ?
Je lui explique la discussion qu'il a manqué :
- Mon chéri, ils ne peuvent pas installer ces tentes sur la plage à cause du sable...



- Ah oui ! C'est vrai ça... Et... (il regarde vers la villa), dans le parc là-haut, ça risque de flinguer la pelouse...
- D'habitude, ils logent dans la villa quand il n'y a pas de locataire, mais là, ils vont devoir dormir à la belle étoile.
- Quoi ? Hors de question ! La villa est grande, il y a sûrement la place de les accueillir tous les trois.
Je me relève et m'étire, victorieuse de cette décision annoncée par Luc.



Le chef s'avance :
- C'est drôlement sympa de votre part !
- Bah, non, c'est tout à fait normal.
- On sera aussi discret que possible.
En voyant son érection, j'espère qu'il ne sera pas trop discret quand même.



Luc se retourne et me fait un clin d'œil. On est apparemment sur la même longueur d'onde. Que je l'aime, mon Luc !
- Bien, messieurs, on vous laisse vous entraîner ? Nous on a à faire là-haut.
- Merci pour votre générosité à tous les deux. Vous nous ferez signe quand on pourra monter.
- Vers l'heure du repas. Mais si vous avez besoin de quelque chose avant cela, n'hésitez pas à venir.


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