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Angela - épisode 41 : Escalade Jeudi 4 août 18:05 Une fois au bas de la falaise, je jauge la hauteur et les prises potentielles pour l'ascension : - Ce n'est pas dangereux ? Laurent rigole : - Si on n'y connaît rien et qu'on se précipite. Mais là, c'est du gâteau. Vous allez voir. - Sans équipement ? ![]() - Oui. À poil. - Aucun risque de se blesser ? - Quelques règles simples : on observe les prises éventuelles, on prépare le chemin qui semble le plus sûr, on teste chaque prise et chaque appui, on se prépare aux prises et aux appuis suivants. Vous n'avez pas le vertige ? ![]() images similaires - Non. Mais je ne suis quand même pas très rassurée... - Franchement, ici, ce n'est pas une vraie falaise. Même les mômes doivent y grimper sans se poser de questions. Vous observez bien les gars et ça ira. Et ils garderont aussi un œil sur vous. - Vu ma tenue, ça me semble évident... ![]() Laurent interpelle Marc : - Tu passes en premier ? - Ok. Juliette, il faudra regarder surtout mes mains et mes pieds. Pas trop mes fesses... ![]() - Hihi, ce sera peut-être le plus dur... Laurent soupire : - Essayez de le faire sérieusement, ça évitera un accident. Milo montera après vous, comme ça il pourra vous conseiller si vous êtes mal prise. Je me tourne vers Milo et vois qu'il est ravi de passer derrière moi. ![]() Ce que je n'ai pas dit, c'est que j'ai fait deux années d'escalade quand j'étais au lycée et je me débrouillais plutôt bien. Là, c'est surtout le fait d'être à poil qui me semble poser problème. D'un autre côté, cela m'excite drôlement de voir les garçons monter en tenue d'Adam, donc il est logique que je sois moi-même en tenue d'Eve. Et je ne regrette pas le spectacle en voyant les fesses de Marc pendant qu'il commence à monter. ![]() À le voir faire, je prends effectivement conscience qu'il s'agit davantage d'un amas de gros rochers qu'une paroi verticale avec des prises disparates. Je me tourne vers Laurent : - Sergent, je dois attendre un peu ? - Non, vous pouvez vous lancer. Je regarde en l'air et entame l'ascension. ![]() Au-dessus, Marc a atteint un rocher formant une petite plateforme sur lequel il peut faire une pause. Il se retourne et me regarde monter vers lui : - Vous vous débrouillez bien. - Je vous ai bien observé. - J'ai plutôt l'impression que vous avez déjà pratiqué l'escalade. Je marque une pause. S'il se rince l'œil à regarder mes seins, moi je me régale de voir son sexe qui, bien que pas vraiment en érection, est tout de même bien gonflé. ![]() Quand j'arrive à son niveau, il reprend son ascension : - Vous ne m'attendez pas ? - Non. Il faut qu'on se suive, sinon on peut se gêner. J'admire ses fesses musclées et son sexe alors qu'il progresse. ![]() Marc se doute que je joue les voyeuses : - Et concentrez-vous sur vos prises... La prise qui m'intéresse le plus est en train de s'éloigner. Alors que je me rince l'œil allégrement, Milo, en bas, profite lui aussi du spectacle de mes fesses et sans doute de bien plus encore : - Il faut avancer, Juliette. ![]() - Vous pouvez me dépasser si je gêne. - Non, je reste derrière pour éventuellement vous récupérer en cas de chute. - Cela est fort prévenant de votre part. ![]() Je m'apprête à grimper pour suivre Marc, mais un détail retient mon attention sur Milo : - Oh, mais je vois que vous bandez, Milo ! - Désolé, avec ce que je vois, c'est difficile d'empêcher cette réaction. Son membre est magnifiquement dressé. ![]() Alors que j'escalade les rochers, je ne peux m'empêcher de le regarder progresser avec son sexe tendu : - Pas trop difficile de grimper avec votre membre qui dépasse ? - Je n'ai effectivement pas vraiment l'habitude, mais je me débrouille. Vous devriez plutôt regarder vos prises au-dessus. - Certes, mais il faut bien que je voie où je pose mes pieds aussi. ![]() - Et cela vous donne l'occasion de vérifier si vous me faites toujours de l'effet. - Oui, j'avoue que c'est agréable de constater que je vous fais réagir ainsi. - Réaction naturelle. Votre présence ajoute une difficulté de plus à l'ascension. - Ah oui ? Vous considérez que ce que vous voyez est une difficulté ? Je relève une jambe au maximum, sachant que j'expose mes fesses et ma moule. ![]() - Ah, Juliette ! Vous ne me facilitez pas les choses... La difficulté est de me concentrer sur mes prises alors que mon regard est ostensiblement attiré vers le charmant spectacle de votre croupe. - Et cela vous fait bander magistralement. S'il n'y avait pas les dangers de la chute et des rochers, je me laisserais volontiers tomber sur Milo pour qu'il me sauve et m'empale sur son pieu. ![]() Et je dois alors reconnaître que la concentration est essentielle pour l'ascension. En voulant passer au-dessus d'une crevasse plus large que je ne le pensais, je me retrouve à faire le grand écart, coincée avec les jambes écartées. - Mince ! Je suis bloquée... Milo lève la tête. Il doit avoir une vue exceptionnelle sur mon coquillage exhibé. ![]() Après quelques secondes à profiter du spectacle, il finit par me conseiller : - Vous pouvez vous remettre dans la position précédente ? - Non. Je me suis lancée et si je retire mon pied, je vais tomber. - Ne bougez pas. Je monte. ![]() En peu de temps, Milo est juste en dessous de moi. J'ai un peu honte, car, dans la position où je suis coincée, je lui expose vraiment franchement ma moule et mon anus. Il semble rester en admiration quelques secondes avant de me dire : - Bon, vos prises sont bonnes ? - Oui. Je ne risque pas de glisser, mais impossible de bouger. - Même pas un peu ? Il s'amuse à contrôler ma stabilité en me glissant un doigt dans la fente. ![]() - Oooooh, Milo ! Vous exagérez... Je dois manquer de conviction, car il se met alors à me masturber lentement. - Milo... Mmmmmm... Vous pensez que... Oooooh... que ça va m'aider ? - Je ne pense pas, mais l'opportunité était trop belle de vous faire mouiller. Quand il retire son doigt, je sens effectivement un filet de cyprine s'échapper. ![]() Milo a la bouche grande ouverte juste en dessous pour recueillir le nectar. - Mmmmm, votre jus est divin, Juliette. Il se hisse alors entre mes cuisses, m'obligeant à abandonner une prise, remplacée par un appui sur ses épaules. Ses mains puissantes sur ma taille me soulèvent et me déposent un peu plus haut sur la petite plateforme que j'avais visée. Il m'y rejoint. Je me love alors contre lui et l'embrasse, tout en masturbant son érection, à la fois pour le remercier de m'avoir sauvée, mais aussi parce que j'en avais grande envie. ![]() Soudain, il abandonne ma bouche : - Attends ! Je... Je crois que j'ai mis trop d'entrain à le masturber : il écarte ma main, mais il est déjà trop tard. Son sexe expulse une première salve de sperme qui va se perdre plus bas dans les rochers. ![]() D'autres suivantes, chaotiques : certains sur mes bras, d'autres sur son ventre. Cela m'amuse qu'il se soit laissé aller si vite. Je l'abandonne en rigolant, reprenant l'ascension vers Marc. Milo semble croire que j'ai eu peur de ce qui vient de se passer : - Juliette, excusez-moi ! Je suis désolé... - Il n'y a pas de mal. C'était rigolo, mais il faut bien monter, non ? ![]() Il semble surpris que je puisse si vite reprendre l'escalade : - Heu... Oui, bien sûr. Mais, faites attention à éviter les grands écarts. - Ou pas ! C'était plutôt plaisant que vous veniez me sauver. Il me fait presque une révérence : - À votre service. ![]() Au-dessus, Marc semble s'impatienter - Dites donc ! C'est mou en bas, ça n'avance pas très vite. Nous a-t-il vus nous embrasser ? A-t-il vu Milo éjaculer ? Quand il dit que c'est "mou", fait-il référence à l'état actuel de la queue de son camarade ? Sans attendre Milo, je poursuis l'enchaînement de mes prises et arrive au niveau de Marc pour constater qu'il bande lui aussi magistralement. ![]() Quand j'arrive à son niveau, il me sourit et se pousse sur le côté : - Vous vous débrouillez bien, Juliette. Mieux que Milo apparemment... - Je lui ai donné un peu d'émotion. Il faut qu'il reprenne ses esprits. - Allez, passez devant. Milo est trop bas pour vous sécuriser. - Merci. Je passe au-dessus de lui et je remarque qu'il en profite pour se rincer franchement l'œil au spectacle que je lui offre. ![]() - C'est moi qui vous fais bander comme ça ? - Évidemment ! Quoi d'autre ? Mais vous le savez parfaitement. D'ailleurs, vous aussi ça vous excite ? Je m'arrête pour l'attendre : - Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? - Votre miel qui coule doucement... Et il me glisse lui aussi un doigt dans la moule. ![]() - Dites-moi, vous pensez sérieusement que ça me sécurise de me mettre un doigt ici ? - Heu, excusez-moi, c'était trop tentant... - Oh, ne vous excusez pas. Je voulais seulement vous signifier qu'avec un doigt il y a trop de jeu et qu'il faudrait quelque chose de plus adapté au niveau taille... plus conséquent. Fort heureusement, bien que militaire, Marc n'a pas le QI d'un bulot et il comprend ce que j'attends de lui. ![]() En bas sur la plage, je vois le sergent Laurent faire de grands gestes et crier : - Eh Oh ! Là-haut ! J'ai l'impression que ça ne monte plus beaucoup ! Il voit ce que nous faisons et se dit que ça ne fait pas tout à fait partie de l'entraînement. Chose amusante, c'est Milo qui, plus bas, prend la remarque pour lui. D'où il est, il ne nous voit pas. Il répond : - Oui, chef. Je faisais une pause, je repars. ![]() Et malgré l'exhortation de son chef, Marc a engagé son membre tendu dans ma ruche gorgée de miel (pour filer la métaphore qu'il a entamée). Tandis qu'il commence à aller et venir, il s'inquiète que je sois si mouillée : - Milo aussi, vous a... ? - Aaaaah... Milo m'a sauvée. Il m'a doigté la moule... Ahhhh... et je l'ai branlé un peu... Mmmmm... Mais il ne m'a pas prise en levrette... ![]() - Et... Hhhhh... Et il a éjaculé... - Oui... Ahhhhh... Sur ma main... Aaaaah... Je plonge une main entre mes cuisses et caresse les testicules de mon compagnon de cordée : - Mmmmh... Vous aussi ? Vous allez éjaculer ? ![]() Marc ne me répond pas, mais ses assauts de plus en plus frénétiques et ses râles de moins en moins discrets me laissent penser qu'il va bientôt s'épancher. En effet, alors que mon propre orgasme me gagne, je sens plusieurs jets puissants de semence envahirent mon ventre. Nous restons une bonne minute ainsi avant que Milo n'arrive et ne commente : - Eh ben, vous ne vous emmerdez pas tous les deux. Marc se retire et je sens son sperme s'écouler de ma fente béante. ![]() Je rigole : - Au moins, avec une si bonne prise, je ne suis pas tombée. Milo rigole en hochant la tête : - Vous êtes incroyable Juliette. Terminons l'ascension avant que le chef ne s'agace. En moins d'une minute, nous arrivons en haut de la falaise dans la végétation un peu sauvage que Johann laisse pousser sans contrainte. - Et voilà, nous avons réussi. ![]() Marc soupire : - Nous, il va falloir qu'on remette ça. Milo ajoute : - Et j'ai le sentiment que le chef va nous contraindre à essayer l'autre flanc de la falaise, de l'autre côté. Il dit ça comme si c'était une tragédie. J'essaye de dédramatiser : - Allons, les gars. Vous êtes là pour vous entraîner et... la journée n'est pas terminée. ![]() - Vous avez raison. Merci, Juliette, pour cette belle ascension. - De rien les gars. Pendant que vous allez trimer, moi je vais parfaire mon bronzage. Je saisis un flacon d'huile solaire pour m'en étaler sur la peau. Aussitôt, Milo me propose son aide : - Je peux le faire, si vous voulez ! - Merci, votre chef vous attend en bas. Je devrais y arriver seule. ![]() images similaires Un peu déçus, les deux garçons repartent vers l'escalier, non sans se retourner plusieurs fois pour profiter du spectacle que je leur offre. Je constate au passage qu'ils se sont remis à bander tous les deux. Quelle salope je suis ! Angela est-elle allée aussi loin ? Je me demande même si je n'ai pas atteint en moins d'une semaine un palmarès supérieur au sien ! Mais qu'est-ce que je dis, moi ? Tout cela n'est pas un concours. ![]() S'il n'y avait pas eu le fantôme d'Angela à planer au-dessus de Luc et Lionel depuis ces quelques jours, est-ce que j'aurais osé faire tout ce que j'ai fait ? Je ne me contente pas de coucher avec Luc et Lionel en même temps, j'en suis venue à m'offrir au jardinier, à un stagiaire ou à un (petit) groupe de militaires. Est-ce à cause d'Angela que je suis devenue accro au sexe ? ![]() images similaires Je me découvre moi-même et je découvre également un autre Luc. Un Luc pervers qui aime me voir baiser avec d'autres, qui me laisse réaliser n'importe lequel de mes fantasmes. Quelle nana ne rêverait pas d'avoir un mec aussi à l'écoute de ses désirs ? Je m'allonge sur la chaise longue, offrant ma peau huilée aux rayons brûlant du soleil. ![]() Après quelques minutes, je sens mes cuisses chauffer. Je ne me suis sans doute pas assez attardée sur cette partie et je risque de le payer cher si je prends un coup de soleil. Je reprends donc le flacon d'huile de protection et j'écarte les cuisses pour bien huiler l'intérieur, évidemment une partie plus fragile puisque plus rarement exposée aux UV. ![]() Et le contexte ne m'aide pas. Excitée par mes militaires que j'ai bien chauffés et même expérimentés, j'ai encore une folle envie de jouir. Mes mains sur mes cuisses dérivent rapidement et mes doigts trouvent tout de suite la voie à suivre. Deux doigts s'enfoncent dans la fente. Je ne retiens pas mes gémissements, je ne me préoccupe même pas de savoir si un jardinier ou un soldat pourrait jouer les voyeurs, cachés derrière un buisson. ![]() Je pense au petit stagiaire du matin dont j'ai déjà oublié le nom, à mes trois militaires, à Luc à Lionel, à Johann et à Bernard. Tout ça ! Du coup, avec un tel tableau de chasse, je mérite bien un troisième doigt. Et c'est ce troisième doigt qui m'amène à l'orgasme. ![]() images similaires Oh, j'aurais évidemment préféré que ce soit les doigts d'un autre, voire un membre tendu, qui me donnent cet orgasme, mais quand on est excitée au point où je le suis, on fait avec ce qu'on a. Je me dis que cela devrait me calmer et me remettre en jambes pour quand les gars remonteront de leur entraînement. ![]() images similaires Et c'est sur ce fantasme qui reste à construire que je finis par m'assoupir sur ma chaise-longue. Je suis réveillée par le bruit du moteur de la voiture : Luc et Lionel sont de retour. Par jeu, je m'amuse à garder les yeux fermés pour leur faire croire que je dors. Je les entends chuchoter, aussi discrètement que des mômes : - Pas de bruit ! Elle dort. On va lui faire une surprise. ![]() Je sens qu'on m'écarte les cuisses et on pose une main sur mes yeux. La voix douce de Luc me dit à l'oreille : - Dors, ma belle. Garde les yeux fermés. On va s'occuper de toi. Il retire sa main. Je garde les yeux fermés et je souris, marquant mon accord muet. Je sens alors des mains sur mes cuisses qui écartent mes lèvres et une langue qui vient taquiner mon clitoris. ![]() Qui est mon bienfaiteur ? Je joue le jeu de rester aveugle. Cela m'excite beaucoup. L'homme se redresse. Luc dit : - Elle mouille déjà drôlement... - Pas sûr que ce ne soit que de la mouille. Nos amis militaires se sont peut-être occupés d'elle. - Ce ne serait pas surprenant. Silence. Je sens un doigt me pénétrer et aller et venir doucement. ![]() images similaires Puis, une bouche se pose juste au-dessus et reprend contact avec mon bouton d'amour. - Ooooooh... Un doigt vient se poser sur ma bouche, me signifiant de garder le silence. Je commente malgré tout : - Je veux bien faire semblant de dormir, mais ce sera compliqué de réprimer l'expression sonore de mon plaisir... Mmmmm... ![]() Pas de réponse. Le jeu est donc que je ne sache pas qui s'occupe de moi. C'est ce qu'on pourrait appeler un "blind-test", sauf que là il ne s'agit ni de chanson, ni de dégustation, c'est donc un blind-test tactile. Et c'est bien de toucher dont il est question puisque mon amant me masturbe désormais avec deux doigts. ![]() Et je n'arrive pas à déterminer s'il s'agit des doigts de Luc ou ceux de Lionel. Je tente ma chance pour voir comment mon bienfaiteur va réagir si je l'interpelle : - Oh oui ! Lionel, c'est si bon... ne t'arrête pas ! ![]() La masturbation se poursuit, divine, sans que mon galant amant ne réagisse. Impossible de savoir qui me donne du plaisir. Quelques secondes après, les doigts ressortent. Peu après trois nouveaux doigts s'insèrent en moi. Quel délice ! Mais impossible de déterminer si c'est le même gars. Un des doigts est-il plus froid que les autres ? Cela serait un indice. Mais mon amant pourrait aussi changer de main pour brouiller les pistes. Je pense quand même qu'il s'agissait d'une main gauche précédemment et que là c'est une main droite. ![]() Donc ça ne m'avance pas plus pour savoir de qui il s'agit. Quand il retire ses doigts, je sens une inspiration que je pense être celle de Lionel. Mon tourmenteur se relève. Mais est-ce lui qui se réinstalle pour me tromper ou bien est-ce maintenant Luc. Cette fois-ci, j'ai le droit à quatre doigt qui se glissent lentement dans mon vagin. Le pouce à gauche m'indique qu'il s'agit cette fois sans aucun doute de la main gauche. ![]() Les doigts bougent en moi, c'est un vrai délice ! Luc ne m'a jamais fait ça, mais ça ne prouve rien tant il y a eu de premières fois, de découvertes cette semaine. Et puis, impossible de raisonner, tout bascule, tout devient feu d'artifice, chaleur, lumière, vibration : mon bassin, mes cuisses, mon ventre sont pris de soubresauts terribles. La main se retire, laissant mon intimité continuer à vibrer de plaisir pendant plusieurs secondes, accompagnées par mes cris d'orgasme. ![]() Difficile de dire combien dure mon orgasme tant j'ai l'impression d'être hors du temps depuis que je garde les yeux fermés. Et puis là, dans une demi-conscience, je sens que la suite arrive. Mon orgasme ne marque donc pas la fin du jeu : un gland se pose sur ma vulve dégoulinante de cyprine et s'y insère lentement. ![]() La bête entre lentement dans son antre. Elle est conséquente, mais, là encore, je ne veux pas tirer de conclusion : Luc m'a surprise en bandant plus que de coutume et il pourrait très bien être très excité de se faire passer pour Lionel. Quoi qu'il en soit, la sexe qui me pénètre est gros et bien raide et me fait un bien fou. ![]() Mon amant me lève une jambe. Il veut aller plus loin. Sa main se crispe sur ma cuisse et je sens ses ongles. Il me semble avoir repéré que Lionel a moins d'ongles que Luc. Je pense donc qu'il s'agit de mon chéri. Lionel ou Luc, je ne suis pas loin de subir un nouvel orgasme. ![]() Mais mon amant (Luc ?) se débine et ressort, sans avoir joui, ni m'avoir fait jouir. Après quelques secondes, la voix de Luc se fait entendre : - Tu peux ouvrir les yeux ma chérie. Je les regarde. Ils rigolent de me voir essayer de savoir qui a fait quoi. Est-ce que l'un des deux est plus essoufflé que l'autre ? Peut-être Luc. ![]() Lionel me demande : - Alors, Juliette ? La bouche de qui ? Les doigts de qui ? La queue de qui ? J'y vais au bluff : - La bouche de Luc, puis vous avez alterné pour les doigts et c'est Luc qui m'a pénétrée. Luc hoche la tête et semble très fier : - Bravo, ma belle ! ![]() Je n'ose pas lui dire que c'était un peu au hasard. Je redresse mon bassin vers eux et leur fais une proposition : - Vous m'avez donné deux orgasmes les garçons et aucun de vous n'a joui. Est-ce que ça vous tente que je referme les yeux et qu'on continue à jouer en explorant d'autres parties de mon corps ? ![]() Luc rigole : - Tu es vraiment devenue insatiable, ma chérie. - Ne me dis pas que ça te déplaît ! - Oh que non ! Je t'aime encore plus ! Je ferme les yeux et j'écarte les cuisses. Quelques secondes après, je sens les mains de l'un des deux caresser doucement ma minette. ![]() Une bouche se pose sur mon sexe et la langue lape mon jus. Je m'autorise un commentaire pour orienter la suite : - Je crois que cette voie a déjà été explorée, non ? Mon amant comprend mon attente et sa langue descend jusqu'à mon anus pour un délicieux anulingus. ![]() Je suis persuadée qu'il s'agit de Luc, car j'ai senti un menton très légèrement piquant et j'ai repéré que Lionel était rasé de près. Il interrompt sa délicate caresse, se redressant. J'imagine que Lionel prend sa place. Lui aussi a compris ce que je voulais essayer et m'introduit son majeur dans le fondement. Je ne résiste pas à en profiter pour me caresser la moule en même temps. ![]() - Mmmmm, qui que tu sois, tu as trouvé la voie... Mais je crains qu'un doigt ne soit pas suffisant. Pas de réponse, mais le doigt ressort. Lionel veut-il me punir ? Je ne sens pas de mouvement, j'imagine qu'il garde sa place entre mes cuisses. Et ma requête n'est pas réellement bien interprétée (ou il se joue de moi), car il m'insère alors deux doigts dans mon petit trou. ![]() images similaires - Mmmmm, c'est mieux, mais on va peut-être sauter les étapes du troisième et quatrième doigt. Je suis certaine que mon bel amant a quelque chose de plus long et vigoureux à me proposer. À sa façon d'appuyer son gland contre mon anus et à le faire pénétrer avec une extrême lenteur, j'aurai tendance à penser qu'il s'agit toujours de Lionel. ![]() Quand sa lame commence à s'habituer à son fourreau étroit, il commence à aller et venir, s'autorisant à pousser chaque intromission un peu plus loin, faisant monter l'intensité de mon plaisir (et peut-être du sien). Après quelques magnifiques minutes, Lionel (j'imagine) se retire. Je suis frustrée, car je n'ai pas joui, mais lui non plus. Les yeux fermés, je sens pourtant un mouvement. Il s'est déplacé à côté de moi et je l'imagine à côté de moi, sans doute à se masturber, ce dont j'ai la confirmation quand je sens plusieurs giclées de sperme s'écraser sur mes seins. ![]() Le râle qui l'accompagne me confirme aussi qu'il s'agit bien de Lionel. Puis, une main se pose sur mon visage pour que je le tourne vers la gauche. Mon nez rencontre un gland, celui de Luc. Il le guide plus bas sur ma bouche. Ma main part à la recherche de cette queue et en chasse la main de Luc quand elle trouve enfin sa proie. Sans surprise, celui-ci aussi se met à éjaculer généreusement sur mon menton et dans mon cou. ![]() J'en profite pour me donner un coup de langue sur les lèvres et goûter à ce sperme. Aucun doute, il s'agit bien de celui de Luc. Les garçons s'écartent et je reste allongée sur le dos. Si les militaires étaient en planque à nous mâter, ils n'ont pas dû regretter le spectacle. Je souffle un peu, prenant le temps de reprendre mes esprits. ![]() Quand j'ouvre les yeux, les garçons ont débandé tous les deux et me sourient bêtement : - Alors Juliette ? Qui a fait quoi ? - La langue de Luc, puis les doigts et la bite de Lionel, et enfin il est venu sur mes seins pendant que mon chéri m'a gratifié d'un masque pour la peau. ![]() Luc se penche vers moi en hochant la tête : - Un masque parfaitement biologique, ma chérie. Je m'essuie le visage et les seins en étalant la semence de mes deux amants, comme si cela complétait l'huile de protection solaire : - Merci, mon chéri. ![]() Les regardants alternativement, je m'autorise à leur demander : - Et Angela ? Savait-elle vous distinguer les yeux fermés ? Luc un peu gêné, finit par me répondre : - Oui, mais on est restés presque une année entière avec elle. Elle n'avait pas particulièrement de mérite. ![]() Oh ! Mon chéri ne le dit pas, mais il sous-entend quand même que je suis plus douée qu'Angela sur ce point, ce qui me ravit. Me redressant, je demande à Lionel : - Quelle heure est-il ? Il est sans doute temps d'aller préparer le repas, non ? ![]() C'est une voix derrière nous, de l'autre côté de la piscine qui me répond et nous surprend. Il s'agit de Laurent, le sergent, qui s'est installé sur une chaise longue de l'autre côté. J'ignore depuis combien de temps il est là, mais son érection me laisse penser qu'il ne vient pas d'arriver : - Il est effectivement l'heure, mais on va s'en charger avec les gars, c'est le moins que l'on puisse faire pour vous remercier de nous avoir proposé de dormir dans la villa. ![]() Je me moque gentiment : - Oh ! Des hommes en cuisine, ça doit valoir le détour ! - Ne vous moquez pas, Juliette. Mes hommes et moi avons beaucoup d'autres ressources encore. - J'ai hâte de les découvrir. ![]() Lionel rigole : - Bon, occupons-nous vite de ce repas, car j'ai moi aussi hâte de découvrir la soirée. |