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Boris
15 juin 2025
Angela - épisode 42 : Vision troublée, vision troublante

Jeudi 4 août 20:17


Nous avons bien dû admettre que nos trois nouveaux amis militaires n'avaient pas deux mains gauches et, avec ce que nous avions dans le frigo, ils nous ont régalé d'un repas sain et léger, exactement ce qu'il nous fallait après la chaude journée que nous avions eue. Avant de passer à table, sans que l'on se concerte, chacun avait remis des vêtements. J'avais opté pour un minishort et un débardeur en ce qui me concerne, ce qui n'a pas empêché les garçons de se rincer l'œil dans mon décolleté durant le repas.


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Alors que Marc et Milo terminent de débarrasser la table, Laurent dit à Luc :
- Vous avez de la chance d'avoir une femme qui soit en mesure de vous reconnaître les yeux fermés.
Laurent fait référence à ce qui s'était passé un peu plus tôt, au bord de la piscine.
- Je ne suis pas certain qu'elle m'ait réellement reconnu. Je pense qu'elle s'est fiée à d'autres sens et qu'elle nous a dit les réponses au bluff.
Je m'insurge :
- Peu importe la méthode, du moment que je suis en mesure de te reconnaître, non ?


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Lionel vient à mon secours :
- C'est vrai. Que ce soit intuitif ou par des indices sensoriels, le fait est qu'elle a réussi à nous distinguer l'un de l'autre.
- Merci, Lionel.



Luc ne lâche pourtant pas l'affaire :
- Oui, mais je pense qu'il est facile de nous distinguer tous les deux, avec plus de garçons, je pense que c'est impossible.
- Bien sûr que si ! Chacun a une façon de caresser, de toucher, de lécher, de sucer, de réagir. Bref, vous êtes tous différents.
- Tous les cinq, tu penses que tu aurais pu nous distinguer ?
- Peut-être pas en cinq minutes, mais si vous m'en laissiez le temps, oui.



Je vois Luc réfléchir en m'observant. Puis, il se lance :
- Tu crois que si tu as les yeux bandés et que l'un d'entre nous t'embrasse, tu sauras dire qui ?
Je le vois venir, mais je décide de jouer son jeu :
- Je pense, oui. Au moins toi et Lionel.



- Ok. Tu serais prête à relever le défi, maintenant ?
- Heu... Oui. Trouve-moi un bandeau.
Laurent fouille alors dans les poches latérales de son sac à dos en disant :
- Attendez, j'ai mieux !
Et il sort et brandit un petit flacon en plastique :
- C'est un collyre très puissant. Deux gouttes dans chaque œil et Juliette ne sera plus capable de distinguer que de vagues formes. J'ai confisqué ça à des gars qui l'utilisaient pour un bizutage la semaine dernière. Normalement, l'effet dure environ une heure.
Luc prend le flacon et je m'allonge sur le canapé, tête en arrière et yeux grands ouverts.



Ce n'est pas très agréable, mais il faut avouer que c'est drôlement efficace : en moins d'une minute, tout devient flou et je prends conscience que même me déplacer peut comporter des risques :
- Holala, je vais me cogner partout !
Laurent rigole :
- Vous trouverez bien une âme charitable pour vous guider dans vos déplacements.
Tout le monde rigole, car je pense qu'ils y voient tous une opportunité pour me tripoter.



Quelqu'un s'approche de moi en me tendant quelque chose. La voix est celle de Laurent :
- Tiens, bois un coup, ça va t'aider !
Il me met dans la main un verre que je porte à ma bouche. Il s'agit d'un apéritif type vin cuit avec une légère amertume. Très bon.



Une main se pose sur ma hanche et je sens un souffle dans mon cou. Est-ce toujours Laurent ? Le silence règne. Le jeu est donc commencé. Il m'embrasse dans le cou et sa main remonte sur mon sein. S'il ne m'embrasse pas vraiment sur la bouche, cela va me compliquer la tâche.



Je pose mon verre et me tourne vers lui. Nos bouches se trouvent. Sans être en mesure de dire ce qui caractérise le baiser de Lionel de celui de Luc, je pense qu'il s'agit de Lionel. Il embrasse très bien (non que Luc n'embrasse pas bien, mais c'est différent) et je sens que je pourrais me laisser aller à plus qu'un baiser entre ses bras.



Et c'est aussi ce qu'il semble se dire, car je sens sa main se glisser sous mon débardeur et remonter lentement. Il l'entraîne au passage me découvrant le ventre, puis quand sa douce main atteint mon sein, je suppose qu'il le découvre aussi, même si je ne peux pas le contrôler de visu. Je ne dis rien, appréciant cette petite exhibition dont les garçons pensent peut-être que je ne me rends pas compte. Je sens son sexe bander et rayonner de chaleur contre ma cuisse.



Quand nous devons enfin reprendre notre souffle, nous nous décollons. Je ne m'occupe pas de rajuster mon débardeur et j'imagine que les garçons vont en profiter pour se rincer l'œil sans m'alerter sur ma tenue. Je brise le silence en faisant mon annonce :
- Mmmmm, je suis certaine qui s'agit de Lionel.



Personne ne répond, mais quelques applaudissements confirment mon bon jugement. Je remets en ordre mon débardeur, en me disant qu'ici tous m'ont vue nue, au moins sur la plage et dans la piscine.
- Qui prend la suite ?



Une forme s'approche de moi sur ma gauche. Je tourne la tête et sens son souffle s'approcher de mon visage. Je n'ai même pas besoin de l'embrasser pour savoir qu'il s'agit de mon homme. Mais je joue le jeu. Je tourne tête vers lui et nos langues partent à la rencontre l'une de l'autre. Ce coquin en profite pour glisser une main dans mon décolleté et me pincer doucement le téton, comme s'il n'était pas déjà assez tendu.



Nous nous mettons face à face, ce qui l'oblige à retirer sa main de mon décolleté. Je ferme les yeux. Bien sûr, cela ne change rien, mais cela m'aide à me concentrer et à m'assurer qu'il s'agit bien de Luc. Il me fait un baiser ardent, mais comme il m'en fait souvent. Il ne cherche donc pas à me tromper et souhaite que je gagne. Que je gagne quoi, d'ailleurs ?



Et puis ça dérape. Il fait glisser les bretelles de mon débardeur. Qu'il veuille m'exhiber ne m'étonne pas vraiment et me confirme qu'il s'agit bien de mon Luc. Mais quand il abandonne ma bouche pour se jeter sur mes seins et les embrasser à pleine bouche, j'avoue que j'ai un doute. Luc m'a habitué à plus de retenue. Ceci dit, je l'avais aussi habitué moi-même à beaucoup plus de pudeur, donc Luc peut très bien se montrer imprévisible... et gourmand !



Quand il finit de me dévorer les seins, il se recule, ma laissant dépoitraillée. Un silence se fait. Personne ne prend la parole pour ne pas me donner d'indice qui me permettrait de démasquer mon amant. Ils attendent mon analyse :
- C'était Luc.



Nouveaux applaudissements. Pour le moment, le challenge n'était pas bien difficile et je ne suis pas la seule à m'en rendre compte. Alors que je n'ai encore embrassé aucun militaire, Luc veut faire progresser le jeu :
- C'était facile, tu connais nos bouches par cœur. Mais reconnaîtrais-tu aussi nos queues ?
Il ne s'agit apparemment pas d'une question rhétorique. Luc envisage que je joue avec leur sexe. Pourquoi pas ? En rajustant mon débardeur, je réponds :
- Je crois que j'ai assez pratiqué Lionel cette semaine pour le distinguer de toi.



Mais Luc n'en reste pas là :
- Les nôtres, je n'en doute pas, mais si on ajoute nos invités dans l'équation ?
- Attendez... Vous voulez que je vous suce tous les cinq et que je devine qui je suce ?
- C'est un peu l'idée.
- Et je gagne quoi si je réussis ?


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Luc répond :
- Tu auras le droit de me demander ce que tu veux, n'importe où, n'importe quand.
- Mmmm, ça ouvre plein de perspectives. J'accepte !
Applaudissements. Un homme s'approche de moi, mais pas Luc qui était, d'après la voix, plutôt de l'autre côté. Je m'agenouille et palpe l'entrejambe de mon amant à travers son pantalon.
- Je peux déjà dire que ce spécimen bande déjà beaucoup.



Bien sûr, personne ne commente. Ils n'ont pas eu à se concerter sur ce point, tout le monde joue le jeu du silence pour ne pas m'aider. J'ouvre la braguette et abaisse le pantalon pour extraire l'objet de mes convoitises : un sexe bien dressé qui ne demande apparemment qu'à être sucé pour être identifié. Ce que je m'empresse de faire, toujours sous les regards silencieux des autres.



Pour l'avoir sucé déjà plusieurs fois, je suis presque certaine qu'il s'agit de Lionel. Je lui abaisse davantage le pantalon pour être plus à l'aise et en profite pour lui caresser les fesses. Il frémit et cela me conforte dans mon intuition. Même si je l'ai démasqué, je poursuis ma fellation par pur plaisir. De toute façon, le silence imposé empêche qui que ce soit de se plaindre de ce que je fais ou non.



Ma langue s'active sur son gland. Je sens la tige de Lionel grossir de plus en plus dans ma bouche. Et puis soudain, il pose sa main à l'arrière de ma tête et enfonce ma bouche plus loin sur la hampe turgescente. Je le suspecte d'être proche de l'éjaculation et je ne suis pas la seule. Laurent rompt le silence :
- Ah non, ce serait trop facile !



Je vois une silhouette s'approcher de nous et obliger mon amant à se reculer. C'est le sergent qui impose les règles :
- Elle te connaît. Si tu éjacules dans sa bouche, elle saura que c'est toi. Oh merde...
Je ne vois pas, mais si j'en crois le bruit de quelque liquide qui s'égoutte au sol, je pense que Lionel est en train d'éjaculer, libérant la semence que j'avais si savamment appelée. Je regrette de ne pas pouvoir voir ça.



- Bon. Tu sais maintenant que ce n'est pas moi que tu suçais puisque tu as entendu ma voix, mais je pense que c'est mieux si tu ne prends pas en bouche le sperme. Ce serait trop facile pour reconnaître Luc ou Lionel.
- Vous êtes dur ! C'est déjà assez difficile. Je ne vois pas pourquoi le critère du goût devrait être écarté. Et de toute façon, même sans l'avoir goûté, je suis certaine que c'était Lionel.
Applaudissements. On bouge autour de moi. Quelqu'un me prend la main et me pousse dans le dos. On m'amène jusqu'au canapé et on m'y laisse. Je vois une forme assise. Ma main effleure un genou et remonte sur la cuisse jusqu'à une belle bosse bien dure.
- Je crois que j'ai trouvé ce que je cherchais.



En aveugle, je déboutonne le pantalon. Mon nouvel amant se soulève pour faire glisser le jeans sur ses cuisses. Mes mains découvrent une belle queue bien raide au gland déjà humide. Je masturbe la tige un peu, sans trouver d'indice sur l'identité de mon amant. Je me penche et le prends en bouche, faisant tourner ma langue autour du gland.



Ce n'est pas Lionel. Ce n'est pas Luc. Mais qui ? Curieusement, je m'en fiche. Ce qui m'importe c'est de sentir mon excitation monter, de sentir cette queue se gonfler dans ma bouche, de sentir quatre voyeurs qui se masturbent peut-être en me voyant faire, de sentir le regard de mon amant qui me regarde le sucer, peut-être en profitant du spectacle de mes seins qui jouent librement dans mon décolleté.



Je le sens se contracter. Il va jouir. Laurent va-t-il intervenir ? Non... Peut-être est-ce justement Laurent et qu'il ne veut pas se priver lui-même d'éjaculer dans ma bouche. Un premier jet de sperme vient me fouetter le palais. Je me redresse et distingue vaguement sur l'énorme gland palpitant une effusion blanchâtre qui s'écoule.


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Je manque d'indice. Le goût ne me dit rien, il s'agit donc d'un militaire. Je tente ma chance :
- C'est le sergent ?
Mais la voix de Laurent se fait entendre derrière moi :
- Perdu !
- Mince... Et quel est mon gage ? On n'a pas parlé de ce qui se passe si je perds.


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Toujours la voix de Laurent (personne ne veut se dévoiler, même pas Luc pour faire entendre son avis dans cette transaction) :
- Vous perdez un vêtement.
Je m'exécute puisque tout le monde semble d'accord sur cette règle.


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Je fais quand même une remarque :
- Si c'est à chaque erreur, avec seulement un short et un débardeur, je vais vite me retrouver à poil.
- À vous d'être vigilante, Juliette.
- J'ai l'impression que c'est joué d'avance...
Qu'importe puisqu'ils m'ont déjà vue nue.



Le silence se fait. Je me demande si Luc ne se retrouve pas piégé par les décisions de Laurent. Et si Luc n'était même plus dans la pièce ? Seins nus devant plusieurs hommes, je scrute ce monde flou qui m'entoure pour distinguer les silhouettes : celui sur le canapé (qui n'est donc pas Laurent), et quatre autres debout. Donc Luc est toujours là, mais garde le silence.



- Luc. Je sais que tu veux garder le silence, mais es-tu toujours d'accord avec les règles de ce challenge ?
C'est le chef qui me répond :
- Il hoche la tête. Il est OK.
J'aurais voulu qu'il me réponde lui-même...



Et si le sergent avait mis Luc dehors et remplacé par un autre gars (Johann, Cédric, Damien, voire Bernard ?). Je me fais des films, Lionel n'accepterait pas ça. Mes réflexions sont interrompues par des chuchotements, puis par deux silhouettes qui s'approchent de moi. Chacun se met à me caresser un sein.
- Heu... Je suis supposée reconnaître les mains sur mes seins, c'est ça ?



À nouveau la voix du chef, apparemment le seul à avoir le droit de parler :
- On n'a pas vraiment déterminé si le jeu continue ou pas. Désirez-vous continuer, Juliette.
- Je ne suis pas contre. C'est plutôt amusant.
- Dans ce cas, avec quelles modalités ?
- Je ne pense pas avoir sucé tout le monde...
Je saisis les queues de mes deux tripoteurs et pense au passage reconnaître la queue de Lionel, mais sans certitude.



Laurent intervient :
- Non, pas plusieurs à la fois. Chacun son tour.
- Ceci dit, sergent, c'est vous qui édictez les règles au fur et à mesure... Je pourrais avoir mon mot à dire. Qu'est-ce qui se passe si je gagne ? Luc a proposé de se soumettre au moindre de mes désirs, ce qui me convient bien, mais vous ? Vous profitez aussi du jeu, il serait normal que vous aussi puissiez montrer votre reconnaissance si je suis victorieuse.
- Moi, je suis d'accord pour que chacun d'entre nous vous soit soumis. Vous êtes d'accord les gars ?
J'entends enfin d'autres voix derrière moi, celles de Lionel, Marc et Milo qui acquissent.



Le prix me semble à la hauteur :
- OK. Super, les gars. Toutefois, qu'est-ce qui se passe si je me trompe ?
- Tu perds une fringue.
- Oui, j'ai bien compris. Mais je pense que je ne vais pas garder mon petit short très longtemps...



- OK, alors, une fois qu'il n'y aura plus de vêtement en jeu, disons que si tu te trompes de nom, celui que tu n'auras pas réussi à reconnaître pourra te demander quelque chose.
Je m'assois sur le canapé :
- N'importe quoi ?
- Dans la limite du raisonnable.
- Ok. Mais j'ajoute aussi que cette demande devra d'abord être validée par Luc.



J'entends aussitôt la voix de Luc :
- J'accepte !
- Heu... Tu ne sais pas encore ce qui pourrait être demandé. Évite de signer un chèque en blanc...



Il rigole de la métaphore :
- Héhé. Tu as raison. De toute façon, tu vas gagner ma chérie. Reprenons le jeu.
Sans se concerter, je vois les cinq silhouettes se rassembler et se tourner autour les uns les autres. Compris : ils mélangent les cartes pour que je ne puisse pas me fier à la position des voix que j'ai entendues. Il y a des murmures. J'imagine qu'ils se concertent pour savoir qui sera le troisième à venir se faire sucer. L'heureux candidat ne tarde pas à venir me présenter son érection.



Le sexe est conséquent et je repense à ceux de militaire :
- Wahoo, vu la bête, je sais déjà que ce n'est ni Lionel, ni Luc. Heu, désolé les gars, ce n'est pas une critique. Vous êtes très bien équipé aussi.
Le silence que j'ai en réponse ne me rassure pas particulièrement.



Malgré ce malaise, je décide de détourner l'attention d'une manière très simple : il me suffit de mettre dans ma bouche cette colonne de chair et de la sucer pour que Luc et Lionel ne pensent plus à ma maladresse. Une main ferme et puissante se pose derrière ma tête pour me forcer à imprimer un rythme de plus en plus soutenu à ma fellation.



Ni Luc, ni Lionel ne me contraindraient ainsi. Mais je connais trop mal les queues des trois militaires pour avoir une hypothèse valide. Tout à l'heure, ce n'était pas Laurent. Cette fois-ci, ce pourrait être lui... Mais ce n'est pas parce que je ne l'entends pas que cela fait de lui mon suspect. Et puis, il y a un râle retenu, une contraction du bassin et des fesses, puis un liquide chaud et poisseux qui envahit ma bouche.



Quand enfin il a terminé, il ressort de ma bouche et se recule parmi les autres. J'avale tout ce qu'il m'a mis dans la bouche. Je commente :
- Bon, pas facile. Je n'ai aucun indice et le goût de ce sperme ne me dit rien. Je tente ma chance : Milo ?



Cette fois-ci, c'est Luc qui prend la parole pour m'expliquer mon erreur :
- Perdu, ma chérie. Tu nous dois un short.
Alors que je me relève pour déboutonner mon short, je demande :
- J'ai le droit de savoir qui c'était ?



Luc semble se concerter avec les autres pour avoir leur accord, avant de me réponde :
- C'était Marc.
Je vais donc associer ce goût de sperme à Marc. J'entends alors sa voix derrière moi :
- Puisque tu ne m'as pas reconnu, je vais m'occuper de te retirer ton short.



Puisque je sais qui il est, il s'autorise à me parler :
- Même si ce short vous va à merveille, j'ai hâte de vous voir sans.
- Vous avez déjà vu mon cul sur la plage, non ?
- J'ai la mémoire courte...
- Contrairement à votre queue !
Tout le monde rigole pendant que Marc peine à m'abaisser mon minishort trop bien ajusté.



Je m'agace qu'il me remue dans tous les sens pour ne pas arriver à l'abaisser de cinq centimètres. Je l'écarte gentiment :
- Attendez, Marc, je vais plutôt le faire ou vous allez m'arracher les fesses.
Il me laisse faire, restant derrière moi, ce qui me laisse imaginer le spectacle dont il doit profiter.



Je m'interromps en gardant le short à mi-cuisse et me penche en avant :
- Est-ce que ce n'est pas mieux quand je m'en charge moi-même ?
- Oh que si !
La main de Marc me caresse les fesses.



- Du coup, je vais finir. Tu peux aller te remélanger avec les autres.
- Bah, non, là je peux terminer de te le retirer moi-même, ce short.
Sauf que, malgré son annonce, ses deux mains continuent de me malaxer les fesses et ne semblent pas répondre à l'ordre de me retirer le short.



Je le repousse gentiment :
- Allez, il ne faut pas que tu sois reconnu pour la suite.
- C'était quoi la suite ? Tu dois nous reconnaître quand on te tripote.
- Non, je pense que c'est impossible.
Marc prend quand même l'initiative de me caresser la moule et de me sucer un mamelon.



Ce n'est pas désagréable, mais je crains que ça ne traîne en longueur. Je le repousse donc une seconde fois, plus fermement :
- Allez, ça suffit. En plus, je sais que c'est toi.
Il n'insiste pas et je vois sa silhouette retrouver les quatre autres gars. Une nouvelle silhouette se détache du groupe et vient me rejoindre. Lui aussi semble vouloir s'occuper surtout de ma moule et il m'insère même son pouce dans la fente.



Donc les garçons veulent quand même tous me tripoter les uns après les autres. Je ne peux que laisser faire. C'est d'ailleurs délicieux, mais impossible de savoir qui est mon bienfaiteur. Bien sûr ce qu'il me fait, ni Luc ni Lionel ne me l'ont fait, mais ce n'est pas un argument suffisant pour les écarter de la candidature. Je tente, au hasard :
- C'est Laurent ?
Il se retire rejoindre les autres. Pas de réactions des juges, ni applaudissements. J'en déduis que ce n'était pas lui. En tout cas, qui que ce soit, il m'a fait bien mouiller.



Un nouveau candidat vient me rejoindre. Curieusement, il vient se positionner derrière moi. Ses mains glissent sur mes hanches. J'en envie qu'elles descendent entre mes cuisses et continuent à câliner mon entrejambe, mais les doigts remontent tous pour emprisonner mes seins et les caresser doucement.



Ce n'est pas désagréable, mais ça m'embête de perdre le jeu sur ce challenge que je pense impossible. Je me dégage de mon tripoteur et dit à tous :
- Bon, je vous ai dit que ce n'était pas la peine de me demander qui pour juste du tripotage, je ne suis pas en mesure de le déterminer. Surtout pour mes seins, où je pense que vous les pelotez tous à peu près de la même manière.



Aucune réponse. Normal, personne ne veut se faire reconnaître. Une autre silhouette s'approche. Une main se pose sur ma hanche, l'autre sur ma fente. Un doigt s'immisce entre mes lèvres humides et finit pas débusquer mon clitoris.
- Mmmmm... je suis pas sûr d'avoir été assez claire concernant les tripotages, mais j'avoue qu'il y en a qui sont plus intéressants que d'autres, même si je ne suis toujours pas en mesure de vous identifier.



Enfin, une voix se fait entendre, celle de Luc :
- Tu sais, ma Juju, au-delà de ce défi, il y a aussi le plaisir. Là, il faut que tu acceptes juste de recevoir. On ne te tiendra pas rigueur de ne pas nous reconnaître sur ces attouchements. Mais quand je vois le doigt trempé de... de ton dernier tripoteur, j'ai l'impression que ça ne te déplaît pas.
Je resserre les cuisses et cache mon entrejambe, car j'imagine qu'ils voient tous la cyprine qui dégouline de ma fente.


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- Oh, ma Juju, c'est bien inutile de te montrer pudique à ce stade. Tu es toujours dans le flou ?
- Oui... je ne vois que de vagues silhouettes. Je ne vois même pas si vous êtes à poil ou habillés.
- En tout cas, nous on n'est pas dans le flou et on voit ce qui coule entre tes cuisses...



- Vous pourriez y goûter à tour de rôle...
J'entends Luc se rapprocher :
- Oh, pas sûr qu'il y en ait encore assez pour tout le monde. Je pense qu'on peut continuer sur d'autres pistes pour que tu sois excitée encore davantage.
Il caresse ma moule, sans doute pour vérifier que je suis en capacité de produire plus de cyprine.



Quelqu'un s'approche de Luc et lui murmure quelque chose à l'oreille. Luc ajoute alors :
- Quelqu'un souhaite qu'on reprenne sur les baisers. Tu es d'accord ? Tu valides en tant que défi ?
- Oui, ça me semble beaucoup plus à ma portée.
Luc laisse alors la place à l'autre et je tends mes lèvres vers les siennes pour que nos bouches se rencontrent. Luc dépose un chaste baiser sur une de mes fesses tandis que je pose ma main sur l'entrejambe de mon nouveau défi.



Le baiser est long et agréable. Il ne me semble pas avoir déjà embrassé cet homme. Qui n'est passé tout à l'heure ? Il me semble qu'il n'y a que Laurent, mais je ne sais plus très bien. En caressant l'érection de cet homme à travers la toile de son pantalon, la paume de ma main rencontre une boucle de ceinture aux reliefs très marqués. Je suis donc maintenant certaine qu'il s'agit du sergent. Je me détache de lui pour faire ma déclaration.
- Je sais !



Personne ne répond. Puis, sachant que je ne pouvais pas le suspecter, Luc demande :
- Et bien ? Dis-nous !
Les sentant impatients, je décide de m'amuser un peu :
- En fait, j'hésite entre deux. J'aimerai recommencer le baiser.
Il semble que Luc valide, car l'homme revient et se colle à moi pour m'embrasser. Il en profite même pour me caresser les fesses !


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En fait, je suis certaine qu'il s'agit du chef. Mais nous n'avons pas fixé le taux de réussite qui conditionne ma victoire. Si je donne la bonne réponse et que c'est la fin du jeu, je pense que tout le monde sera déçu. Je décide de faire durer le plaisir. Je trouve extrêmement excitant d'être nue à la disposition de cinq garçons, et avec l'adhésion de mon copain !
- C'était Milo ?



Bien sûr pas d'applaudissement et même un genre de murmure qui s'apparente à de la déception. Lionel me dit :
- Non, Juliette. Je ne sais pas si on te le compte comme une erreur.
- Je n'ai pas dit que je serais en mesure de vous reconnaître tous, seulement Luc et toi.
- C'est vrai.
Lionel me place un verre dans la main. Je sens le même parfum alcoolisé que le premier verre.


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Je bois tout d'une traite. Lionel s'exclame :
- Doucement ! C'est hyper fort ! Ce n'est pas de l'eau...
- Houlala, oui, c'est vrai que je ne m'attendais pas à ce que ce soit si fort... Je n'ai pas fait attention la première fois. Si ça commence à tourner en plus d'être flou, ça ne va pas m'aider...



Comme je titube un peu, Lionel me prend par les épaules et m'amène le long du mur, contre lequel il me fait m'asseoir :
- Voilà, je pense plus raisonnable que tu t'assoies quelques minutes.
- Merci, oui. C'est épuisant ce jeu où je n'y vois rien...
Lionel me dit :
- Tu veux faire une pause ?
- Non, on peut continuer sur les baisers. Mais je reste assise pour le début.



- Ok, mais si jamais tu nous confonds moi ou Luc avec un autre gars, celui qui subit le préjudice pourra passer la nuit avec toi.
- Et si je me trompe plusieurs fois ?
- Il te faudra assumer...
- OK et si je ne me trompe pas ?
- Tu décideras de qui passera la nuit avec toi sans minimum ou maximum de nombre.
Le deal me semble acceptable puisqu'il me semble que je suis gagnante quoiqu'il arrive. Quelques secondes après, un des gars vient s'asseoir à côté de moi et se penche pour m'embrasser à pleine bouche.



La main de mon amant se pose sur mon ventre. Presque automatiquement, j'écarte les jambes. Le message est clair et bien compris : la main glisse entre mes cuisses écartées. Un doigt glisse sur ma fente humide et, après plusieurs allers-retours, le doigt me pénètre enfin.



Luc ! Impossible que je me trompe. Après vingt secondes de baiser, je m'écarte pour annoncer ma conclusion :
- C'est mon chéri !
Le doigt quitte ma moule frémissante qui aurait pourtant bien voulu être encore câlinée.


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Applaudissements. Je me relève. Quelqu'un s'approche et des mains se posent sur ma taille :
- Qui es-tu bel inconnu ?
Je pose mes mains sur son torse et remonte à son cou.



Je m'avance vers lui, car il ne semble pas faire l'effort de s'approcher.
- Ai-je affaire à un timide ?
Nos bouches se trouvent. Je sens un sexe bandé contre mon ventre, je ne résiste pas à m'en saisir.



Alors que nous prolongeons le baiser, j'entends quelqu'un murmurer :
- C'est long...
Je souris en me demandant si cela fait référence à la durée de notre baiser ou si cela concerne le sexe que j'astique.



Personne ne hurle au scandale, même si masturber ce membre pourrait m'aider à reconnaître mon nouveau partenaire. Je reconnais Lionel, à son baiser, mais aussi à son érection. Je fais pourtant durer le baiser un peu plus longtemps en jouant avec ma langue. C'est lui interrompt le baiser : trop excité, ma petite masturbation l'a fait éjaculer et je sens sa semence tiède qui s'écoule doucement sur mes doigts.



Peut-être un peu jaloux, Luc réagit quand même :
- C'est de la triche, ce n'était pas qu'un baiser, le fait de le masturber va forcément t'aider !
- Et alors ?
Je porte les doigts à ma bouche pour y lécher le sperme. Ils attendent ma réponse :
- Il s'agit de Lionel ?



- Que tu as reconnu grâce au goût de son sperme !
- Non, par son baiser. Lionel embrasse très bien.
Un autre garçon s'approche. Il me reste Milo et Marc. Là encore, je sens son gland contre mon ventre et décide de le masturber un peu pendant qu'il m'embrasse.



Je sens qu'il est lui aussi assez ému par ce contact. Entre mes doigts, son membre semble gonfler et se redresser encore. Ma petite branlette le perturbe et je sens qu'il n'est plus vraiment à son baiser, me laissant chercher ses lèvres, sa langue.
- Dis donc, tu es timide, toi...
Il se reprend et m'offre un baiser un peu plus ardent.



Luc me presse et me contraint à mettre fin à ce baiser :
- Tu m'as embrassé moins longtemps.
- Je t'ai reconnu plus vite, c'est tout. Cela devrait justement te rendre fier.
- Dis-nous surtout qui tu penses avoir embrassé.
Je réfléchis, mais ne parviens pas à trouver un argument plus en faveur de Milo ou de Marc.
- Puis-je embrasser le dernier avant de me prononcer ?



Petit silence. Concertation par échange de regards ? Luc annonce la décision :
- Nous sommes d'accord.
Le dernier s'approche. Comme je saisis également son sexe, il s'autorise à me caresser un sein, faisant tourner son pouce sur mon mamelon.



Le baiser ne m'aide pas. Je me concentre sur le sexe que je masturbe. J'y appose même ma seconde main pour caresser les testicules de mon amant. Lui aussi, je le sens perturbé : il n'est plus investi dans son baiser et semble apprécier particulièrement ce petit massage de ses bourses.



Il éloigne son visage de quelques centimètres du mien. Je le sens se contracter, puis son sexe se tendre. De puissants jets s'en échappent : je reçois plusieurs giclées de sperme sur mon ventre tandis que mon amant râle de plaisir. La voix ! Je reconnais celle de Marc.
- Je crois que ce garçon vient lui aussi de se laisser aller !



- Et qui est-il ?
Puisque je vais devoir passer la nuit avec ceux pour lesquels je me suis trompée, j'annonce volontairement Milo :
- Milo !
Luc me demande :
- c'est ta dernière réponse ?
Je porte les doigts au sperme sur mon ventre pour les porter ensuite à ma bouche :
- Mmmmh, oui, je dirais Milo.



Luc soupire :
- Le goût de son sperme t'est sans doute encore inconnu. Ce n'est pas ça, ma chérie.
- M'autorises-tu à vous sucer tous à nouveau, mais justement plus spécifiquement pour goûter chacun de vos spermes ?
- C'est une riche idée, ma Juju !
Les garçons se regroupent pour que je ne puisse plus distinguer lequel était Luc. Puis un s'avance vers moi. Il pose ses mains sur mes épaules. Je saisis son érection. Qui s'est présenté en premier ?


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Il appuie doucement pour m'inciter à me mettre à genoux :
- Voyons voir à qui appartient ce beau membre tendu.
Bouche ouverte et langue tendue, je guide le sexe pour commencer mon enquête.



Quand mes lèvres se referment sur la queue palpitante, mon amant laisse échapper un soupire de satisfaction caractéristique que je pense reconnaître. J'ai déjà entendu Lionel réagir comme cela à mes fellations. Je suis partagée dans ma stratégie : pour le moment, j'ai toujours réussi à reconnaître Luc et Lionel, ce qui les exclut de mon lit pour la nuit prochaine. Dois-je annoncer quelqu'un d'autre si je veux avoir aussi Lionel cette nuit ?



En même temps, trois militaires (car je pense que c'est ce qui m'attend puisque je suis incapable de les différencier), c'est déjà beaucoup pour une seule fille ! J'en suis à ces réflexions quand je sens Lionel se tendre. Ma main gauche vient en renfort pour caresser les testicules de mon amant afin de l'achever.


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Le râle de plaisir que j'entends semble bien être celui de Lionel. Quand la semence jaillit, je suis presque surprise : le sperme est épais et l'éjaculation peu puissante. Chaque giclée se pose délicatement sur ma langue tendue. Seul un petit jet, un peu plus sauvage, manque de peu ma narine.



Quelques applaudissements retentissent : on ne me félicite pas encore pour mon analyse puisque je n'ai rien annoncé, mais on semble apprécier l'éjaculation épaisse de mon amant. Quand il a terminé, je referme mes lèvres autour de son gland et aspire les dernières gouttes.



Nouvelle confirmation de l'identité de mon amant : le goût de ce sperme et indiscutablement celui de Lionel. Je décide de jouer le jeu sérieusement et de ne pas chercher à avoir de stratégie pour glisser le plus de gars possible dans mon lit. On me tend une serviette. Je la saisis et m'essuie le visage.



- C'était la queue de Lionel, bien sûr !
De nouveaux applaudissements, ceux-là sont pour moi. Lionel s'éloigne dans la pièce et une autre silhouette s'approche. Toujours à genoux, j'ouvre la bouche à son approche et il vient me fourrer son gland entre les lèvres.



Je saisis le membre et me rends compte qu'il est particulièrement imposant :
- Oh ! Ce n'est ni Lionel, ni Luc...
Ricanements. Sans doute que ma phrase laisse sous-entendre que Luc et Lionel sont moins bien dotés que le membre que je suis en train de sucer.



Dans mon souvenir, le chef a un sexe plutôt conséquent, mais difficile de dire si ce sera la plus grosse que je vais sucer puisqu'il m'en reste trois autres à découvrir. En moins d'une minute, mon jeu de lèvres et de langues amène mon amant à l'éjaculation. Moins épaisses que celles de Lionel, mais tout aussi abondantes, les giclées affluent et toutes ne finissent pas dans ma bouche.


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Quand la douche s'arrête enfin, je me tourne vers l'assemblée (sans doute avec beaucoup de sperme sur le visage) :
- Est-ce qu'il s'agit de Laurent ?
Pas de réaction. Je fais donc fausse route et Laurent assure sa place dans mon lit.



Mon mâle éjaculateur non identifié se recule, laissant la place au candidat suivant. Avant d'arriver à mon niveau, il se retourne rapidement, sans doute pour faire un signe aux spectateurs, et je vois alors le profil de son sexe bandé qui me confirme mon erreur de jugement sur mon précédent amant. Si Laurent à le sexe le plus imposant, c'est peut-être plutôt celui-ci. En le devinant juste sous mes yeux, je le trouve au moins aussi gros que le précédent que j'ai sucé.


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Toutefois, quand j'engouffre la colonne de chair dans ma bouche, j'ai quelques doutes sur mon jugement. En effet, il est sans doute un peu plus gros que celui du précédent (Milo ou Marc donc), mais pas significativement. Le chef pourrait bien avoir une queue encore plus conséquente que ces deux-là.



J'attends l'éjaculation pour déterminer si le goût de la semence m'inspire un nom ou pas. Je m'applique donc à une savante fellation, rapide et efficace, pour mener cet amant le plus vite possible à me cracher son identité. Après bien deux minutes de pipe concentrée, il se retire un instant de ma bouche, au moment de l'explosion, expulsant plusieurs jets de sperme çà et là sur mon visage.



L'amant est généreux et l'éjaculation longue et intense. Son jus me coule dans le cou, entre les seins, sur les cuisses. Il n'y a pas eu de râle. L'homme se contrôle. Je lèche le membre encore palpitant par le dessous, m'amusant à titiller la base du gland. Un petit frémissement se fait entendre. Peut-être Milo ?



Je tente ma chance :
- Serait-ce Milo qui m'a douchée de la sorte ?
Mais aucun applaudissement ne se fait entendre. Peut-être était-ce quand même Laurent, le sergent. Trop tard. Une serviette m'est tendue. Je m'essuie le visage.



À peine la serviette reposée, un nouvel amant se présente à moi. Discret, mais pas timide, ce nouveau candidat se place de manière à ce que son érection soit devant mon visage, mais il attend que je me saisisse de son membre et que je le prenne en bouche.



Dès que j'ai le sexe entre mes lèvres, je reconnais mon chéri. Je pourrai d'emblée annoncer mon expertise, mais cela serait injuste pour Luc qui ne profiterait pas de ma bouche comme ses petits camarades. Je décide donc de prendre mon temps et d'en profiter pour lui offrir une fellation à la hauteur de l'amour que je lui porte. Je commence par faire courir ma langue de ses bourses jusqu'à son gland.



Je fais cela pendant une bonne minute, puis je gobe son gland gonflé et entame de le sucer en jouant toujours de la langue sur le gland tandis que mes lèvres montent et descendent sur sa hampe palpitante. Je sais qu'il adore et son souffle caractéristique, que je reconnaîtrais entre mille, m'indique après quelques minutes qu'il va bientôt jouir.



Il étouffe son râle de plaisir, mais le grognement m'indique qu'il prend son pied. Sortant son sexe de ma bouche, il l'empoigne et se masturbe lentement alors que les premiers jets de sperme viennent s'écraser sur mon visage. Les suivants, moins puissants, s'épanchent sur ma langue et coulent dans ma bouche.


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Quand il a terminé, il se recule. Je garde la bouche ouverte, pleine de son nectar, et je laisse s'échapper quelques filets de semence qui s'écoulent dans mon cou et entre mes seins. Je n'ai pas besoin d'avaler puisque je sais quel goût il a et je n'ai aucun doute sur l'identité de mon généreux éjaculateur.



Je sens que tout le monde attend ma réponse. J'avale donc ce qu'il me reste et j'annonce simplement :
- Luc, évidemment.
Les applaudissements fusent. Luc me tend la serviette qui est maintenant poisseuse de l'accumulation de la semence de ces messieurs.
- Il m'en reste encore un, non ?



Luc me répond :
- Tu tiens les comptes à ce que je vois...
Puis il regagne le groupe, ne me permettant pas de distinguer qui vient maintenant vers moi et, sans préavis, me fourre son sexe dans la bouche.



Nul besoin de le sucer : le gaillard semble être déjà bien excité. J'ai l'impression qu'il s'agit de la queue la plus imposante des cinq. Il s'agit donc d'un des trois militaires. Je me suis déjà trompé pour les deux premiers : j'ai annoncé Laurent puis Milo en me trompant. Les ai-je juste inversés ? Comment savoir lequel des trois. Si c'est la plus grosse que je suis en train de sucer, peut-être est-ce celle de Laurent ? Et est celui qui vient demander du rab en me posant son sexe sur le front ?



Il y a quelques rires, des chuchotements secs et l'importun s'écarte, me laissant le loisir de me concentrer sur la fellation de sexe conséquent. Je vais mener ma tâche jusqu'au bout, même si je sais que le goût de sa semence ne m'aidera pas identifier le propriétaire de cette queue. Je sens qu'il n'est plus très loin.



Quand il se met à éjaculer, je garde la bouche ouverte pour recevoir sa semence, mais ses soubresauts le font s'échapper et il me gratifie de deux giclées qui s'égarent, l'une sur ma joue, l'autre sur mon menton. Je m'empresse de saisir le membre en pleine explosion pour le remettre au chaud dans ma bouche tandis qu'il termine d'éjaculer.


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Je reçois ensuite trois autres giclées dans la bouche. J'avale par acquit de conscience, mais le goût de cette semence ne m'inspire pas du tout. Peut-être serait-ce Laurent ? J'extrais le sexe énorme de ma bouche et m'apprête à proposer ma réponse quand je suis surprise par deux nouvelles giclées successives qui m'atteignent l'une au front, l'autre à la joue droite.



L'homme a indéniablement de la ressource. Je repense à cette notion de "corne d'abondance" qu'Angela avait trouvée pour qualifier les éjaculations de Luc et Lionel. Je me redresse. Je sens le sperme qui coule entre mes seins, sur mon ventre. Je tente ma chance, sans certitude :
- Laurent ?



Pas d'applaudissement. Je suis déçue, bien sûr, mais en même temps, je sais que cela m'assure d'avoir cette nuit les trois militaires dans mon lit. L'homme qui vient d'éjaculer sur mon visage me tend une serviette et dit :
- Dommage...
Je reconnais la voix de Marc. Tandis que je m'essuie, j'interroge sur un point de règle :
- Si je confonds Marc et Laurent, cela signifie qu'ils gagnent tous les deux une place dans mon lit ?



C'est la voix de Luc qui me répond (logique, c'est lui qui accepte ou non que sa copine se fasse tringler par d'autres) :
- Disons que c'est l'accumulation des erreurs qui permet de décider.
- Et donc ?



- Donc, il me semble indispensable que tu apprennes à mieux connaître nos trois invités pour être en mesure de les distinguer les uns des autres.
- Tu... Tu es d'accord avec ça ?
- J'ai établi les règles et je savais ce que je risquais. Maintenant, avant qu'on aille se coucher, j'aimerais te remercier pour ta persévérance.
- Ah oui ?



- Oui. Tu nous as tous fait jouir, parfois même plusieurs fois, donc il me semble juste qu'on essaye tous de te faire jouir avant qu'on aille se coucher.
- Mais... vous êtes cinq... Cinq orgasmes, je ne sais pas si je vais pouvoir...
- Comme tu es très excitée, je pense que si on dispose chacun de trois minutes, cela devrait suffire aux plus agiles d'entre nous.
M'appuyant à la baie vitrée, je vois un homme s'approcher et s'agenouiller devant moi. J'écarte un peu les jambes et sens sa langue contre mon abricot.


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Je ne pense pas qu'il s'agisse de Luc ou de Lionel que je pense pouvoir distinguer. Cette langue me semble nouvelle, c'est celle d'un des trois militaires. Le coquin s'aventure aussi loin que ma position debout le lui permet, glissant sa langue entre mes lèvres trempées.


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S'il parvient à me faire généreusement mouiller, ce garçon ne parvient pas à me donner un orgasme avant que Luc ne signale la fin du temps imparti :
- Trois minutes ! C'est fini Milo.
Milo s'écarte et je sens qu'un filet de cyprine s'échappe de ma fente.



Je suis un peu frustrée, car j'aurais bien voulu avoir un orgasme. J'espère que le suivant sera Luc : je sais qu'il est en mesure de me faire grimper au rideau en moins de trois minutes. Je me mets en position : je tourne le dos à ces messieurs, cuisses écartées et je me penche sur le canapé.
- Qui prend la suite ?



Un garçon s'approche et s'installe. Sa langue se pose sur mon coquillage, mais bouge à peine. Je me mets à bouger moi-même en ondulant de la croupe pour mieux profiter de cette langue qui manque d'initiative. J'entends des rires derrière moi. On se moque. L'homme s'écarte. Je suis si excitée que je sens encore la cyprine s'écouler.



- Hey, on n'a pas encore atteint les trois minutes !
Mon amant inconnu revient. Je sens son souffle tiède sur ma chatte, puis remonter. Je pousse un petit cri de surprise au moment où sa langue commence à me lécher l'anus.



Lionel met fin à ce pourtant délicieux anulingus :
- Luc, c'est terminé.
- Quoi ? C'était toi Luc ? Tu n'as pas été aussi reconnaissant que tu l'avais annoncé...
Tout le monde rigole de ma gentille petite moquerie. Je décide de changer de position pour la suite et je m'assois, cuisses écartées.
- À qui le tour ?



Un homme s'approche. Le collyre commence à perdre de son efficacité et il me semble reconnaître la silhouette de Lionel. Il s'agenouille devant moi et tend la main entre mes cuisses, me doigtant la moule :
- Dis donc, ce n'est pas un cunnilingus qui est prévu dans la règle du jeu ?



- Si, ça vient...
Sa voix me confirme qu'il s'agit de Lionel.
- Tu gaspilles ton temps...
L'instant d'après, je ne me moque pas de lui, car sa tête est entre mes cuisses et sa langue fait des merveilles sur mon minou.



Il ne lui faut qu'à peine une minute pour me donner l'orgasme tant attendu. Alors que mes cuisses et mon bassin sont secoués des soubresauts du plaisir, Lionel s'écarte et me laisse avoir mon orgasme seule, exposée aux regards de ces messieurs dont le silence m'indique le niveau d'excitation à me voir jouir ainsi.



Quand je recommence à émerger, les garçons applaudissent. J'exprime ma gratitude à mon amant pour son efficacité, là où mon propre copain avait échoué lamentablement :
- Bravo, Lionel. J'en avais bien besoin de cet orgasme.


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Je me laisse aller en arrière sur le canapé :
- Le collyre commence à perdre son effet. On va aller se doucher et puis après aller se coucher.
- Ah non, ma chérie, dit Luc. Il reste encore Marc et Laurent.
Je me demande presque si Luc ne veut pas m'épuiser pour que je ne puisse pas profiter de mes trois militaires pendant la nuit.



- Je me lance.
Je reconnais la voix de Marc. Même si j'ai déjà les cuisses écartées, il m'ouvre les jambes encore plus largement, faisant s'écarter naturellement les lèvres de ma minette. Quand sa langue vient me l'explorer, c'est un délice immédiat.



Lionel et Milo l'encouragent :
- Allez Marc ! Tu peux le faire !
Je confirme qu'il est sur la bonne voie quand je sens les petites décharges qu'il me donne à chaque fois que sa langue vient balayer mon clitoris.



Je me sens partir. Je ne sais pas à combien est le décompte, mais je pose ma main sur sa tête pour l'empêcher d'arrêter alors qu'il est en si bonne voie. L'orgasme est là.
- Ooooooh ! Oooh... Aaaaah oui... Ouiiiiiii... Oh Marc...



Je pense que les garçons lui ont laissé plus de temps que prévu pour que je puisse aller jusqu'au bout de mon orgasme. Quand je reprends mes esprits, je ne sais pas s'il s'est écoulé vingt secondes ou vingt minutes. Portant la main à ma moule hyper-sensible, je constate que celle-ci dégouline de cyprine.



J'ai à peine le temps de me remettre que je sens les mains de mon dernier amant se poser sur mes cuisses. Même si je commence à mieux distinguer ce qui se passe autour de moi, je devine seulement qu'il s'agit de Laurent. Sa langue vient me lécher délicieusement la minette.


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Je m'apprête à lui dire que je suis trop fatiguée pour jouir encore quand un nouvel orgasme me terrasse. La langue du chef se concentre sur mon clitoris et je pars à nouveau dans les affres du plaisir. Il ne se retire que quand mes soubresauts le forcent à m'abandonner. Alors que je jouis, encore et encore, à la vue de mes quatre amants, je sens une quantité conséquente de cyprine s'échapper de ma fente aux lèvres écartées.



La voix de Luc me sort de ma torpeur dans laquelle m'a plongé cet orgasme.
- Ma chérie, tu vas pouvoir aller te doucher. Trois vigoureux militaires t'attendent dans la chambre.
- Avec ce qu'on vient de faire, ils ont encore la force de continuer ?


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- Prends le temps de te doucher et repose-toi un peu.
Luc m'aide à me relever.
- Merci. Mais tu ne regretteras pas ce qui va se passer ?
- Si tu laisses la porte ouverte pour que je puisse pendre quelques photos, ça me va.
- Pffff... Quel pervers tu fais !





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