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Sylvie
2 septembre 2010
13. Le cousin d'Axel

La semaine qui suivit, la routine fut un peu perturbée. En effet, Axel partait en formation pour une semaine complète. Alan, son cousin, de passage en ville en profitait pour squatter sa chambre. Axel n'avait pas manqué de le mettre au courant au sujet de ma nymphomanie particulière. Aussi avions-nous conclu un marché lui et moi. S'il acceptait de ne pas me harceler pour qu'on fasse l'amour ensemble, j'acceptais qu'il vienne se décharger une fois par jour sur mon visage. Ce marché sembla lui convenir puisque dès le premier soir, il vint me trouver dans ma chambre alors que je travaillais à mon bureau.


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- Ah... Tu as envie ?
- Oui... ça t'embête ?
- Pas du tout. Mets-toi à l'aise.
Il retira toutes ses fringues. Je découvris avec intérêt son sexe. Il ne bandait pas encore vraiment et semblait plutôt modeste. Pour le stimuler, je retirai mon tee-shirt et lui exhibai mes petits seins.



Cela ne sembla pas lui faire plus d'effet que ça. Peut-être, comme la plupart des hommes, préférait-il les poitrines plus imposantes. Puisque rien n'y faisait, je me dis qu'il me fallait sûrement tout déballer. Il me semblait que, quand il lui avait fait le tour du propriétaire, Axel n'avait pas manqué de lui signaler que j'avais "un cul à convertir un homo". Je me dis qu'en déballant aussi le bas, cela allait peut-être lui faire de l'effet. Je retirai donc mon pantalon et là un semblant d'érection commença à se former.



J'étais moi-même pas plus motivée que ça et j'avais l'impression de m'occuper du dépucelage d'un adolescent pas très dégourdi. Je devais avoir quatre ou cinq ans de plus que lui (il était encore au lycée ou en sortait tout juste) et c'est vrai que j'étais plus facilement attirée par l'expérience des hommes plus âgés que moi que par la fraîcheur des jeunes. Une fois en culotte, je me jetai sur lui, un peu agacée par son manque de réactivité, et me mis à sucer son sexe encore tout mou. A force de persévérance, je finis quand même par obtenir quelque chose de raisonnable.



Le pauvre Alan devait être éjaculateur précoce car en moins de cinq minutes, il éjacula. Ce fut rapide, peu fourni et insuffisant pour me donner un orgasme. Il resta béat de me voir ainsi devant lui, avec son sperme sur le visage.



Il me remercia quand même en se montrant désolé de ne pas m'avoir fait jouir. Je dois avouer que je n'avais finalement pas vraiment pris la chose au sérieux, considérant cet entracte dans ma soirée comme un passage obligé, une initiation que je me devais de lui donner, et non un échange sensuel entre deux corps qui s'attirent. Je n'étais donc même pas vraiment déçue... Je me rassis à mon bureau.



La semaine se poursuivit mais je commençai à prendre ma "mission" au sérieux. Il me fallait tenter de prendre du plaisir avec Alan. Pour cela je mis tout en œuvre pour l'exciter autant que possible et qu'il fasse lui-même des efforts pour moi. Enervée par son manque d'excitation, je m'évertuais alors à essayer de le stimuler en mettant de petites robes sexys, très courtes, un peu transparente.



Il me portait bien sûr un regard intéressé, mais ne semblait pas bander pour moi... Je faisais pourtant attention à ne pas mettre de dessous et ne manquait pas de lui montrer. Oh ! J'ai fait une tâche sur le bas de ma robe, voyons voir ça de plus près... Il eut donc à plusieurs reprise l'occasion d'admirer mon cul nu dont Axel lui avait pourtant vanter les mérites.



Malgré tout cela, ça ne le faisait qu'à peine bandé. Je décidai donc de rester intégralement nue dans l'appartement (sauf quand des amis passaient). Je lui disais quand j'allais à la douche et je laissais toujours la porte grande ouverte. Il pouvait ainsi m'y suivre librement. Mais il se contentait de venir observer sans manifester plus d'intérêt que celui de se soulager sur mon visage.


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Ne fermant jamais aucune porte, sauf celle des toilettes, je le lui laissais la possibilité de profiter de presque tous mes moments d'intimité, de faire du voyeurisme autant qu'il le souhaitait. Certes, il me voyait aussi quand je faisais ma toilette, nue, et me demanda une fois de se soulager mais jamais je ne le vis se masturber : il fallait que je le suce ou que je le branle moi-même pour arriver à mes fins.



Quand j'étais au téléphone avec Axel, je ne lui dis pas que la présence de son cousin m'était pénible. A dire vrai, je m'amusais quand même un peu à tenter coûte que coûte de le faire bander et je suis certaine qu'il prenait un malin plaisir à ne manifester aucune réaction et de me voir faire tous les efforts du monde pour l'exciter.



Ayant une activité sexuelle plutôt ralentie cette semaine-là, j'avais exceptionnellement réussi à suivre tous les cours de la Fac. Et ce fut pour moi l'occasion de me rendre compte que j'avais accumulée pas mal de retard. Aussi, quand je ne bossais pas un peu mes cours dans ma chambre, je me détendais devant la télé, nue, affalée dans le canapé. Alan passait sa soirée à me regarder, mais sans avoir réellement d'érection.


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La veille de son départ, je n'avais pas noté de réelles améliorations dans l'intérêt qu'il pouvait me porter et dans les désirs que j'avais pu susciter. Voulant malgré tout avoir la certitude d'avoir tout tenté, mais sans revenir sur ma décision de ne pas le laisser me pénétrer et de se contenter de jouir sur moi (et non en moi), je lui proposai de se masturber en même temps que moi, pour voir. Il accepta et me suivit dans ma chambre.


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Nous étions nus, l'un en face de l'autre, il fit l'effort de se masturber et de mon côté, je me mis un god dans la chatte. Ce fut un succès car je ne l'avais jamais vu bander aussi vite. Cela m'excita tellement de le voir ainsi en érection à se palucher que je me lassai aller à un orgasme (cela faisait longtemps que je n'avais pas eu d'orgasme avec un god)... Il jouit cependant peu après moi et je le regardai jouir, le god toujours enfoncé en moi, son sperme s'écoulant lentement le long de son poignet.


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Peut-être étais-je allée trop loin avec lui car le soir-même, je le vis au repas glisser quelque chose dans mon verre. Je fis mine de le boire et allais me coucher aussitôt le repas fini, prétextant une soudaine fatigue. Il frappa peu de temps après à ma porte. Vu que je ne répondais pas, il entra et s'approcha. Je sus alors qu'il avait essayé de me droguer, probablement pour abuser de moi. Je fis mine d'être complètement endormie, sous l'effet de son médicament. Il me trouva donc sur mon lit, étendue sur le ventre. Il tenta de me réveiller en me secouant légèrement. Je fis semblant de toujours dormir.



Il me retourna carrément et souleva mon t-shirt pour voir mes seins. Il les caressa. Ne me réveillant toujours pas, il me retira mon string et m'écarta les cuisses en équerre. Il commença à se déshabiller. Et j'aperçu du coin de l'œil qu'il bandait sérieusement.



Je ne me faisais que peu d'illusion sur la suite qu'il allait donner à son intervention. Il s'approcha et me doigta la moule. J'étais déjà une vraie fontaine et cela paru lui faire plaisir car il murmura "Houa la vache, quelle salope".


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Puis il s'étendit sur moi et pénétra la belle au bois dormant. Son sexe entra en moi sans difficulté. Même s'il était modeste, ses assauts maladroits me procuraient beaucoup de plaisir. Il est vrai que n'ayant pas été baisée de la semaine, n'importe quelle bite serait probablement arrivée au même résultat. Toujours est-il que je prenais du plaisir à cette pénétration et que je devais faire des efforts surhumains pour continuer à faire semblant de dormir.



Bien qu'il semblait lui aussi prendre beaucoup de plaisir, il ne me besogna pas longtemps et sortit au bout de cinq ou dix minutes. Il s'astiqua fébrilement au-dessus de mon ventre. Au moins, il respectait ma demande de ne pas jouir en moi !


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Il lâcha un râle étouffer au moment de jouir et éjacula tout sur mon ventre. Son sperme était chaud et cette sensation ne me fut pas désagréable. Il continua à se branler jusqu'à la dernière goutte.



Puis il se releva, sortit de la poche de son jeans un paquet de mouchoir et m'essuya le ventre avec application. Toujours nu (et d'ailleurs toujours en érection), il me remit ma culotte, rabaissa mon tee-shirt et me remit sur le ventre. Je l'entendis s'habiller et sortir de la chambre.
J'avais une drôle d'impression, le sentiment de l'avoir roulé, mais aussi de m'être faite rouler... Il m'avait violé, même si de mon côté j'étais plutôt consentante. Pourquoi avais-je accepté cela ? Est-ce que je n'étais pas en train de devenir nymphomane au point d'accepter n'importe quoi pour obtenir un orgasme et plus particulièrement une éjaculation facile.

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