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14. La consultation Quand Axel rentra de sa formation le week-end suivant, je lui racontai en détails ce qu'il s'était passé durant la semaine avec son cousin sans omettre le semi-viol de la veille de son départ. Axel sembla un peu choqué et je lui fis part de mes interrogations personnelles concernant ma nymphomanie. Il émit l'hypothèse que c'était peut-être parce que j'avais mené le jeu trop loin qu'Alan avait craqué. Il se sentait un peu impuissant face à mes interrogations et me conseilla d'aller voir un sexologue. Parler avec un spécialiste m'aiderait peut-être à comprendre ce qu'il fallait faire pour éviter de devenir la putain de tout mon entourage. Je réussis à prendre un rendez-vous pour le samedi en fin de matinée (ils n'ont pas l'air débordé les sexologues). J'étais assez excitée à l'idée de me mettre psychologiquement à nue, d'étaler mes frasques sexuelles devant un inconnu. Pour lui donner le ton, je m'habillais "normalement", à savoir avec une petite jupe et un tee-shirt sans le moindre sous-vêtement. Le docteur était assez jeune et plutôt bien foutu. Il m'accueillit avec un grand sourire et resta quelques secondes à m'admirer. ![]() images similaires Il me fit asseoir et me demanda ce qui m'amenait. Sans rien cacher, je lui décrivis en détail ma semaine avec le cousin d'Axel, le type de relation que j'entretenais avec Axel, le fait que ça ne me posait aucun problème, mon goût immodéré pour les éjaculations faciales, mon besoin d'avoir un orgasme assez souvent et ma difficulté à résister à mes désirs. Je terminais en lui expliquant ma crainte de devenir davantage qu'une fille facile et que cela pourrait me jouer des tours. - Il est vrai que l'épisode avec le cousin de votre ami fait se poser la question. Vous semblez susciter le désir des hommes autant que vous semblez vous-même rechercher à les exciter, non ? - Oui... Vous savez, rien que de vous raconter mon histoire, ça me fait mouiller... - Je vous avoue que votre histoire ne me laisse pas indifférent non plus. Mais vous devez comprendre que nous sommes là pour travailler à vous aider à surmonter vos problèmes. - Peut-être n'est-ce pas un problème docteur ? - Alors pourquoi seriez-vous venu me voir ? - Docteur, je crois que j'ai une crise et que j'ai encore un e furieuse envie de sexe... - Vous fantasmez sur le fait que je vous fasse une éjaculation faciale ? - Oui... et je crois qu'on ne pourra pas vraiment en discuter tant que je serais excitée comme ça... - Vous souhaitez prendre un autre rendez-vous ? - Pas exactement. Je me levai et retirai ma jupe. ![]() Sexe nu, luisant de mouille, je ne pouvais pas être plus explicite sur ce que j'attendais de lui... - L'idéal, docteur, serait que vous satisfassiez mon désir et qu'on reprenne ensuite sereinement cette conversation. - Il n'est pas vraiment dans mes habitudes de procéder ainsi avec mes clients... - Mais la bosse de votre pantalon indique que ça ne vous déplairait pas, non ? - Certes, mais je ne peux me le permettre. - Qui le saura ? En plus, en répondant favorablement à ma demande, vous agirez en professionnel. Le sexe, c'est votre métier. En parler c'est bien, mais rien ne vaut la pratique, n'est-ce pas ? - Je crois que si je ne cède pas, vous continuerez à insister jusqu'à ce soir, non ? - Vous avez tout à fait raison, docteur ! ![]() images similaires - Je n'ai pas d'autres patients avant cet après-midi mais j'aimerais quand même avoir le temps de manger ce midi. - Vous êtes raisonnable. Je retirai mon tee-shirt. - Désolé, je n'ai pas les seins adaptés aux fantasmes de la plupart des mecs. ![]() - Je n'ai pas vraiment d'apriori là-dessus et je vous trouve absolument ravissante. Il retira en un seul mouvement son pantalon et son caleçon. Son sexe en érection exprimait tout aussi bien ce qu'il venait de dire. Je m'approchai de lui. ![]() images similaires Il m'attrapa aux hanches et me fit basculer contre la table de consultation. Il se calla derrière moi, me souleva une cuisse pour bien ouvrir mon sexe et positionna son sexe contre le mien. Il me pénétra tout doucement. Sa queue était courte mais assez large et m'emplissait parfaitement. Sa pénétration était très agréable. Il alla rapidement au fond et je sentais ses couilles caresser le haut de ma cuisse droite. ![]() images similaires Après cette entrée en matière un peu directe, il se retira et s'allongea sur la table, la queue dressée et luisante de mes sécrétions. Je vins m'empaler sur lui, accroupie sur les bords de la table. Je criais de plaisir en sentant sa bite s'enfoncer en moi. J'étais en train de chevaucher ce bel étalon quand la porte de son cabinet s'ouvrit. Sa secrétaire entra, sans s'offusquer de ce que nous faisions. ![]() images similaires Elle me détailla et s'adressa au docteur comme si je n'étais pas là : - Docteur, votre frère a appelé pour annuler votre match de tennis de demain matin. - Aaaa, il fait... aaaa... chier, j'ai réservé le cours... aaaa... la troisième fois qu'il me fait le coup... aaaa... ce mois-ci. - Voilà... Elle s'apprêtait à repartir sans réponse de sa part mais le docteur lui demanda d'attendre, cherchant la réponse qu'il allait faire à sa secrétaire. Je ne m'en occupai pas et me mis en soixante-neuf sur le docteur. Sa bite était bonne. - Mmmh, docteur, votre bite est délicieuse. Je lançais un regard à la secrétaire : - Vous y avez déjà goûté ? ![]() images similaires Elle me regarda avec mépris : - Mademoiselle, vous êtes là pour vous faire soigner, je suis là pour travailler. Chacune à sa place et je vous remercierais d'éviter ce genre de commentaire déplacer. Le docteur n'a de compte à rendre à personne, mais je ne tolère pas de subir les réflexions déplacées de la clientèle. Le docteur profita de ce répit que je lui donnais pour formuler sa réponse : - Catherine, dites à mon frère que c'est la dernière fois qu'il me fait ce coup-là ! - Et j'annule la réservation du cours ? - Non... je vais essayer de trouver quelqu'un pour jouer. J'ai besoin de me défouler. - Vous semblez déjà le faire... - Merci Catherine. Elle quitta enfin la pièce. Le docteur se releva, me mit à quatre pattes sur la tables, et vint se placer debout devant, la bite à hauteur du visage. Le message était clair. Je le pris en bouche et le suçai. ![]() Je le pompai énergiquement jusqu'à ce que je sente qu'il soit mûr. Je me basculai alors sur la table de consultation et l'attirait pour qu'il vienne se placer au-dessus de moi. Je le branlai tranquillement alors que je sentais palpiter sous mes doigts son membre prêt à exploser. ![]() images similaires Il éjacula en poussant un râle libérateur, comme si cela faisait plusieurs mois qu'il n'avait pas joui. Recevoir tout son sperme au visage déclencha mon propre orgasme et je ne me privai pas de l'exprimer malgré la présence de la secrétaire dans le bureau juste à côté. ![]() images similaires Quand nous fûmes remis de nos orgasmes respectifs, nous nous rhabillâmes et on reprit la conversation là où on l'avait laissée. Selon lui, la solution était là. Pour éviter de faire n'importe quoi avec n'importe qui, il m'est peut-être nécessaire de me soulager tant que je contrôle la situation plutôt que d'attendre et que mon désir devienne incontrôlable. J'étais assez d'accord et je ne voyais de toute façon pas d'autre possibilité... Il m'indiqua de régler ses honoraires auprès de sa secrétaire et alors qu'il allait me saluer, me demanda : - Vous jouez au tennis ? - Non, j'y ai joué étant gamine, mais il y a très longtemps... - Vous voudriez faire un tennis avec moi demain matin ? Je vous donnerais quelques trucs pour vous remettre en jambe. - ... D'accord ! Dimanche matin, j'étais donc en jupette avec une raquette à taper dans une balle, face à Fabrice, mon beau docteur. J'aurais dû préparer mon exposer de lundi mais la perspective de l'issue du cours de tennis me stimulait davantage. ![]() images similaires Forcément cela faisait plus de quinze ans que je n'en avais pas fait et j'avais beaucoup perdu. Cela amusait Fabrice et semblait aussi prendre un malin plaisir à me faire des balles hautes et à me voir sauter pour attraper les balles, faisant ainsi voler ma jupette et le laissant apercevoir mon minou et mes fesses libres de toute culotte. Même mes coups droits terminaient dans le filet. Aussi finit-il par venir me rejoindre afin de me montrer le bon geste. ![]() Alors qu'il était collé derrière moi, je me rendis compte qu'il bandait très dur contre mes fesses. - Eh docteur ! Ne pensez-vous pas que je devrais saisir cet autre manche ? Il avait bien compris de quoi je parlais et revint devant moi pour m'embrasser. Il en profita pour soulever mon tee-shirt et me caresser les seins. ![]() images similaires Ses caresses étaient délicieuses et je laissai ma main partir explorer ce qu'il se passait de ce short incroyablement déformé. Je fus surprise de découvrir qu'il ne portait rien sous son short et cela me plut beaucoup. Je baissai son short et libérai son sexe imposant. Je me mis à le branler pendant qu'il me pelotait. ![]() En m'agenouillant pour le sucer, je me rendis compte que deux gars arrivaient pour jouer sur le cours à côté du nôtre. Fabrice ne les avait manifestement pas vu, trop occuper à goûter son plaisir. J'entrepris ma fellation consciencieusement, sans tenir compte d'eux. Ils nous avaient bien sûr aperçus et s'approchèrent du grillage. Je continuais à sucer Fabrice, leur lançant quelques regards pour bien montrer que je les avais vus. ![]() images similaires Les deux gars ne disaient rien et observaient. Fabrice me fit relever pour me retirer mon tee-shirt. Je me remis aussitôt accroupie pour reprendre son sexe en bouche. Fabrice ne semblait pas du tout avoir remarqué nos deux voyeurs discrets. ![]() Je lui proposai de s'allonger, ce qu'il accepta. Je m'installais à côté de lui et repris son sexe en le suçant comme s'il s'agissait d'un sucre d'orge géant. D'où il était, il avança sa main et me caressa la moule. Un de ses doigts s'inséra entre mes lèvres humides et commença à me branler délicieusement. A chaque fois qu'il ressortait, il faisait un petit détour par le clitoris avant de replonger dans ma fontaine. ![]() images similaires J'étais passablement excitée et je le pompais de plus belle. A sentir son doigt de moins en moins aventureux, je me dis qu'il allais bientôt jouir. Aux palpitations de son sexe entre mes lèvres, je sus que c'était imminent. ![]() images similaires Je le laissai se redresser et je me mis à genou devant lui pour le masturber. Il ne tarda pas : je reçus son sperme sur le menton et dans le cou, plusieurs jets assez liquides que je sentais couler jusque sur mes seins et sur mon ventre. Mon orgasme monta rapidement, intense, violent. Secouée de soubresauts, je vis dans une demi-conscience que nos deux voyeurs se masturbaient à travers leur short. Une fois remise, je nettoyai le sexe de Fabrice par de petits coups de langue en jetant un regard amusé aux deux garçons derrière le grillage. ![]() Mon beau docteur n'avait toujours pas repéré les deux voyeurs mais se rendit compte de leur présence quand ils lâchèrent presque simultanément des râles de plaisir alors que l'on pouvait voir leur short se tâcher par de larges auréoles. Au sourire que je lui lançais, Fabrice comprit que je m'étais rendue-compte de leur présence depuis un bon moment. Fabrice sortit une serviette de son sac et m'essuya tendrement. Les deux gars sortaient aussi leur serviette et retirèrent rapidement leur short, s'essuyèrent à la va-vite et renfilèrent un pantalon de jogging. Fabrice alla les trouver : - Messieurs, est-ce que je peux vous offrir un verre ? - Volontiers, mais je pense qu'on va prendre une douche avant, si ça ne vous dérange pas... - Au contraire, je pense que Sylvie sera ravie de pouvoir en prendre une également. Je lui fis un grand sourire qui sembla le ravir. |