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Milan
19 février 2011
Un weekend du 15 aout.

Vendredi

Cette histoire s'est déroulée durant la dernière grande canicule.

A la recherche d'un peu de fraicheur j'avais demandé à mes grands parents de me prêter, pour le weekend du 15 aout, la grande maison de famille située en Normandie. Ils ne s'étaient pas trop faits priés, surtout que je m'étais engagé à entretenir le jardin, arroser les massifs d'hortensia et tondre la pelouse...

J'étais à l'époque âgé de 25 ans, j'avais un bon travail à Paris mais pour ce qui est de la bagatelle je n'étais pas trop à la fête. Ma «fiancée» du moment n'ayant rien trouvé de mieux que d'aller suivre un stage d'allemand au fin fond de la Bavière.

Ayant toujours été partisan de me débarrasser des corvées le plus tôt possible je commençais mon travail des mon arrivée le vendredi matin. Sous cette température assez élevée je ne gardais sur moi qu'un short, histoire de profiter pleinement de ce beau soleil et de prendre quelques couleurs.

Mon grand-père étant un adepte convaincu des bienfaits de l'écologie et de la nuisance apportée par les moteurs 2 temps je ne disposais que d'une faux et d'une tondeuse antédiluvienne composée d'un simple rouleau de Lames fort bien aiguisées au demeurant. Le travail n'avançait pas vite mais cela avait l'avantage de se faire dans un calme presque reposant.

Dans ce silence pratiquement monacal, lorsque je passais le long de la haie séparant notre propriété de celle des voisins j'entendis à plusieurs reprises des bruits que je qualifierais « d'aquatiques », Clapotis tout d'abord, plongeons, éclaboussures, et beaucoup moins aquatiques mais plus intrigants : gloussements, rires et joyeusetés en tout genres. Tant et si bien que n'y tenant plus m'approchant du lieu où les bruits étaient les plus intenses je tentais de voir de quoi il en retournait en profitant d'une éclaircie dans la haie.

A ce moment là, je crus que Saint-Pierre venait de m'ouvrir les portes du paradis. Où que mon regard ne se porte je ne voyais que des femmes. En général dans le plus simple appareil et ce qui n'était pas moins excitant parfois ayant conservé, qui de la lingerie, qui le bas du maillot, qui une chemise. Ayant passé toute ma jeunesse dans la bourgade je n'eu pas de mal à reconnaitre :

Chloé, une camarade de 6ème B

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Jennifer de la même classe

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Martine, la secrétaire médicale du dentiste

Carole, la caissière du Franprix,

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Mais je fus vraiment surpris de reconnaitre et en plus d'être fortement troublé par la nudité de :
Monique la pharmacienne

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Marcelle la boulangère

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Jocelyne la patronne du garage

Nathalie la femme du Notaire

mais surtout la voisine elle-même, Nicole la femme du Député

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Ce fut la vue de ma voisine qui me fit me rendre compte que j'étais en train de me rincer l'œil et de bander devant un spectacle inhabituel pour moi : les corps dénudés de femmes ayant vingt ans de plus que moi.
En effet, toutes les séances masturbatoires de mon adolescence s'étaient réaliser uniquement en compagnie des minettes de 20 ans du magazine Lui et cela suffisait amplement à mes besoins génésiques.

N'y tenant plus je décidais de plonger directement dans notre propre piscine afin de calmer mes ardeurs, du moins l'espérais-je.
Mais il me fallut vite déchanter, ni la fraicheur ni l'exercice ne faisaient rien à l'affaire.
Après dix longueurs, allongé sur un matelas flottant j'arborais toujours un sexe bandé au maximum.

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Je décidais donc de m'éloigner le plus possible et rentrant dans la villa je me dis qu'une douche bien froide résoudrait mon problème. Penses-tu, aussitôt dans la douche j'imaginais que Nicole m'avait précédé et ce à quoi je pensais

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N'étais pas vraiment de nature à me « détendre »

En sortant de la douche j'enfilais un jean et m'allongeais sur le canapé du salon

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Mais après quelques instant sans bouger, je compris enfin que si je voulais pouvoir terminer mon travail ce soir il fallait en passer par une séance «d'essorage complet». Je me mis à l'aise

et commençais aussitôt le « travail »

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Mais j'avais beau essayer de penser à la dernière fois où j'avais enlacé tendrement ma petite amie

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dès que je fermais les yeux,

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l'image de ma main sur les gros seins de ma voisine et celle de ma queue pénétrant dans la chatte de Nicole venaient s'interposer.

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.
Afin d'abréger ma souffrance je décidais d'avoir recours aux grands moyens et caressais alternativement mon périnée, mon téton et ma queue

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Ainsi le résultat escompté ne se fit pas attendre trop longtemps

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La tension étant retombée et après une nouvelle douche

je pus enfin retourné dans le jardin ramasser l'herbe coupée et laver la tondeuse.

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