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Un week-end du 15 aout. Samedi matin Il faisait un temps superbe ce matin la. La température ayant accepté de redescendre en dessous des 20° j'avais pu pleinement profiter de cette nuit de repos. Et je peu vous dire qu'après le nettoyage du jardin ce n'était pas du luxe. Mes rêves avaient été peuplés de naïades en tout genre. Lorsque je m'éveillais vers 10h00 du matin je pris une bonne douche revigorante et je m'installais pour un « brunch » sur la terrasse. Pendant que je mangeais lentement je regardai la piscine et le jardin, tout était en ordre et le calme régnait. Dans ces conditions mon esprit vagabondait et les rêves de la nuit sortant des limbes de mon cerveau revinrent doucement à mon esprit. Et le contenu de mes pensées oniriques n'était pas sans m'inquiéter. En effet si mes songes commençaient toujours par l'apparition de joyeuses nymphettes minces, sveltes et revêtues de dessous affriolants ![]() ![]() Immanquablement celles-ci me conduisaient dans la chambre de femmes beaucoup plus avancées en expérience et pourvues de charmes plantureux. ![]() Lorsque je m'approchais du lit de ces matrones les demoiselles disparaissaient et me laissaient seul en tête à tête, si j'ose dire, avec leur mères, leur belle-mère ou leur tante, je ne sais pas. Invariablement ces beautés callipyges se déshabillaient et laissaient apparaitre des seins aux formes pleines des ventres rebondis et des chattes agrémentées de buissons dignes du bush australien. ![]() ![]() De plus, loin d'être effrayé par le départ des jeunes filles, je me sentais presque rassuré, il me semblait tout au fond de moi que j'allais enfin pouvoir être rassasié et ne plus jamais manquer de rien Maintenant que j'étais réveillé, le contenu de mes « ballades nocturnes » m'inquiéta quand même un peu : était-ce tout à fait normal de bander pour des femmes ayant l'âge de ma mère ? Après avoir englouti tout ce que j'avais sorti du frigo je ne pensai plus à tout cela et je décidais d'aller en ville. Mes intentions étaient claires, je devais absolument séduire une jeune fille, la ramener à la maison et m'éclater avec elle le plus possible. Aussitôt arriver en ville je déambulais dans les rues piétonnes de la cité balnéaire. Le cerveau en alerte maximum, les yeux aux aguets. Tout ce qui portait une jupe et passant à proximité était scruté, détaillé, jaugé. Mais dans l'égoïsme de ma jeunesse, une seule question cherchait vraiment une réponse : allais-je pouvoir la ramener dans mes filets ? Assis à la terrasse du café de la plage je n'arrivais pas à faire mon choix ou plutôt je ne me sentais pas assez de courage pour accoster les jeunes filles d'autant plus qu'elles baguenaudaient souvent en compagnie d'une copine. Et cela suffisait à m'intimider. Pourtant la chance me sourit une charmante jeune fille apparut dans le café. ![]() images similaires Elle était exactement le type que je recherchais : jeune et mince, habillée d'une jupe la plus courte possible et d'un gilet largement ouvert. Elle arborait une petite poitrine se passant allègrement d'un quelconque soutien gorge. Mais surtout le regard qu'elle posa sur moi enclencha directement le bouton on/off que tout homme possède dans son cerveau. Ce bouton de commande servant justement à déconnecter le cerveau du reste du corps pour ne laisser la place qu'a un seul objectif : baiser. Elle vint s'assoir juste à coté de ma table et commanda juste une coupe de fraise. ![]() images similaires La façon qu'elle eut de dédaigner l'usage de la cuiller et de saisir délicatement chacune des fraises par le bout des doigts et d'en croquer systématiquement la pointe avant d'avaler le reste du fruit d'une seule bouchée était tout bonnement diabolique. Quand elle eut finit de déguster ses fraises une par une elle commanda un cône vanille. Elle suçait sa boule de glace comme si c'était le gland de son petit ami tout en jetant des regards dans ma direction. ![]() images similaires Elle prenait tellement son temps que la glace finit par fondre et couler le long de son menton. C'est à ce moment que je saisis ma chance je pris une serviette propre sur la table d'a coté, me levait et sans rien lui demander je me permis de lui essuyer tout doucement le menton. Pendant que je m'asseyais tout naturellement à sa table, elle arborait un sourire narquois et je suis sur qu'elle pensait « et bien il lui en a fallut du temps ». Ce n'était pas grave l'essentiel est que je sois à ses cotés et que je puisse engager la conversation. Nous échangeâmes des banalités au premier rang des quelles venait la canicule et la difficulté de dormir la nuit.... Et bien sur j'abattais aussitôt mon joker « que diriez vous de venir dans la villa de mes grands parents, ils possèdent une piscine, certes modeste mais néanmoins fort rafraîchissante » Pas plus de cinq minutes nous suffirent pour payer et rejoindre ma voiture. Bien sur, pendant tout le trajet je ne perdais pas une occasion d'admirer ses jolies jambes qu'elle offrait généreusement à ma vue. ![]() images similaires |