Sexelove
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1er avril 2011
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Peu satisfaite de mon absence de réponse concernant son fils, Chantal reporta à nouveau son attention sur moi :
- Et donc toi, tu n'as jamais eu de petite amie ?
- Non... Je ne connais aucune fille... Je... Je suis trop timide pour...
- Peut être que tu devrais être initié par une vraie femme, qui pourrait te montrer comment faire, me proposa-t-elle.
- Vous avez raison, m'empressais-je de répondre, n'osant quand même lui proposer d'être cette femme.
Alors, elle déplaça sa chaise pour s'asseoir face à moi. Ses cuisses étaient assez écartées, provoquant un écartement assez important du peignoir. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens et je remarquais que lorsque je baissais mon regard pour loucher sur ses cuisses dévoilées, Chantal, dans un mouvement naturel croisait ou décroisait ses jambes dans un mouvement large, ce qui m'offrait une vision intégrale sur son sexe. Je pensais que ce mouvement était en fait du au hasard, mais comme je dirigeais de nouveau mon regard dans la direction de ses cuisses, elle les décroisa pour les recroiser, ainsi qu'elle venait de le faire, m'offrant avec une impudeur certaine une vue imprenable sur son sexe.

Je commençais à transpirer et à rougir. Extrêmement troublé j'avais du mal à parler et la gorge serrée. Ma bouche était étonnamment sèche. Je me sentais réellement mal à l'aise, et je remarquais bien vite que Chantal se rendait compte de mon tourment et semblait prendre du plaisir à me voir dans cet état.
- Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda-t-elle mettant ainsi un terme à ma gêne.
Avant que j'aie pu répondre, elle se leva pour aller chercher la boite de biscuits. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que l'espace entre moi et le bar était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Chantal m'appuya sur les épaules de ses deux mains m'obligeant à me rasseoir :
- Reste assis, me dit-elle... Je suis capable de passer, je ne suis pas grosse !
Comme elle s'approchait de moi, il me prit une idée perverse, je laissais mon bras dépasser sournoisement de la chaise sur laquelle j'étais assis, raccourcissant le passage déjà bien étroit. Lorsque Chantal, malgré sa fine ligne et l'étroitesse de l'accès passa dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Elles me semblèrent extrêmement fermes. J'attendis son retour avec impatience, le cœur battant. Lorsqu'elle revint, le paquet de biscuit à la main, mon coude s'accrocha sur le bord de son peignoir, l'écartant largement. Aussitôt je sentis la douceur de sa cuisse sur mon bras. Et comme je remontais celui-ci, mon coude se trouva au beau milieu de ses deux cuisses chaudes. Etonné, je sentis un liquide chaud mouiller mon bras.
Le visage empourpré, Chantal m'offrit ses biscuits. Mais avant que j'aie eu le temps de porter la friandise à ma bouche, mon hôtesse, s'approcha rapidement de moi et me saisissant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes. J'avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment fine et gluante envahit ma gorge. D'abord surpris par ce baiser, inconnu pour moi, je me laissais faire, passif. Puis comprenant que je devais moi aussi me montrer actif je lançais ma langue à la rencontre de celle de la femme, la caressant maladroitement.
- Tu n'as jamais embrassé de filles ? me demanda Chantal en se reculant.
- Non... Avouais-je timidement.
- Je suis la première ? continua-elle en me fixant d'un air extasié.
- Oui...
Comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, Chantal se jeta sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Je tentais cette fois de m'appliquer en imitant les mouvements de l'organe féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, sous ces assauts, ma timidité disparut. J'osais alors avancer une main dans l'ouverture du peignoir pour me saisir d'un sein, que j'entrepris de malaxer sur toute sa surface. Prenant un extrême plaisir, je fis rouler le téton entre mes doigts. Il était dur et certainement sensible, car Chantal se mit aussitôt à pousser des petits gémissements.
Jamais je n'avais bandé aussi fort. J'avais l'impression que ma verge allait jaillir de mon Bermuda. Haletante Chantal se redressa me tirant à elle pour me faire lever de ma chaise. Une fois debout l'un contre l'autre, ma sensuelle hôtesse repoussa les pans de son peignoir et s'emparant de mes deux mains, elle les posa sur sa poitrine généreuse à la peau si soyeuse.
- Caresse mes seins, gémit-elle.
Je m'exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien les tétons étaient durs et énormes. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble.
-Oh oui, gémit Chantal en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés, m'encourageant à continuer mon malaxage.
Soudain, alors que je venais accidentellement de pincer fortement l'un des boutons de chair durci, Chantal se jeta sur ma bouche pour m'embrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement l'intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu de mon bermuda.
Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Chantal me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que je t'apprenne ce qu'un homme doit savoir faire à une femme ?
Comme si je pouvais refuser. Je n'avais pas lâché ses seins que je continuais à presser des mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements Chantal me repoussa, me forçant à m'asseoir sur ma chaise.
- Regarde, me dit-elle. Je vais te montrer à quoi ressemble une femme.
Elle fit deux pas en arrière et dénoua la ceinture de son peignoir, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps nu si proche de moi. Me faisant face, la mère de mon ami se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Presque machinalement je posais une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, Chantal approcha sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée m'offrit une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante.
Subitement, comme pris d'une ferveur païenne, je tombais à genoux aux pieds de la femme dénudée. Se trompant sur mon geste, Chantal me demanda d'une voix soudain changée.
- Tu veux embrasser ma chatte ?
Je savais par ouïe dire que ce genre de baiser se pratiquait, mais jamais je ne l'avais pratiqué moi-même. Je ne savais pas vraiment comment je devais m'y prendre. Heureusement pour moi, Chantal, follement excitée m'attrapa les mains et m'entraîne dans le salon. Elle s'installa sur le fauteuil en cuir noir les cuisses grand ouvertes. Je m'agenouillais entre ses jambes pour être bien en face de son sexe. Chantal m'agrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve.
- Embrasse là, me commanda-t-elle d'une voix hachée.
Je maintenais alors de mes mains ses cuisses ouvertes et ma bouche se colla contre les lèvres humides de son sexe. Une odeur épicée me monta aux narines. C'était la première fois que je voyais une chatte de si près. Même si j'en avais follement rêvé, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m'y prendre. Heureusement pour moi, Chantal me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle m'encouragea d'une voix rauque :
- Embrasse ma chatte, mon chéri... Tu sens comme je mouille...
Pour le sentir, je le sentais, mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançais à l'eau. Timidement, je commençais à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.
- Oui, c'est bien, m'encouragea Chantal... Lèche-là... Enfonce ta langue à l'intérieur...
Obéissant, je m'exécutais, tachant de faire de mon mieux. Je promenais ma langue à l'intérieur de cette faille humide, l'enfonçant légèrement à l'intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Chantal se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma tête pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre ma bouche et mon menton. Je ne tardais pas à m'apercevoir que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion, j'avais un goût de liquide gluant et assez salé dans la bouche, ce qui me surprenait beaucoup, sans vraiment me déplaire.
Cependant au bout d'un instant, Chantal cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de du salon. Puis au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- C'était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire...Assied-toi !
La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s'était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je m'installais sur le canapé, curieux de connaître la suite des événements.
Sans un mot, Chantal pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe, que je trouvais magnifique. Devant la fixité de mon regard, Chantal me lança :
- Elles te plaisent mes fesses ?... Regarde !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit d'admirer ses fesses, son anus rose et les grandes lèvres de sa longue vulve. Penchée en avant, la tête effleurant presque le carrelage, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées, Chantal lança ses deux mains entre ses cuisses afin d'écarter les bords de sa chatte. J'eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de l'intérieur de sa vulve. Je mourais d'envie d'y enfoncer mes doigts, de sentir ces chairs palpitantes enserrer mes phalanges voir ma queue. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté le sexe féminin me paraissait immense.
- Tu n'as pas envie de me faire l'amour ? me demanda soudain Chantal ... Tu ne veux pas enfoncer ta queue dans ma chatte ?... Regarde tu serais bien à l'intérieur de mon ventre!...
N'attendant même pas ma réponse, qui de toute façon n'aurait pas été négative, Chantal se redressa et me saisissant la main elle me tira jusqu'à sa chambre. Là, debout l'un en face l'un de l'autre, nous nous embrassâmes de nouveau, passionnément. Ayant perdu toute timidité, j'en profitais pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, caressant ses hanches, ses fesses et sa poitrine. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Chantal, accrochée à mon cou, commença à s'agiter contre mon corps, frottant son bas-ventre nu contre l'imposante bosse que faisait ma verge tendue.
- Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain en se reculant, échappant ainsi à mes attouchements de plus en plus précis en direction de son sexe.
Avec des gestes désordonnés, elle voulut m'aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvais aussi nu que mon initiatrice. Au bas de mon ventre, ma bite se dressait fièrement, tandis qu'une douleur me tordait les entrailles.
Sans un mot, Chantal grimpa sur le lit conjugal où elle s'allongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissais pas elle écarta largement ses cuisses.
- Viens ! M'appela-t-elle... Viens entre mes cuisses mon chéri... Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, c'est très doux et très chaud...
Tout en me parlant, elle écarta de ses deux mains sa fente cramoisie et ses lèvres intimes qui me cachaient l'entrée de son sanctuaire. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, que je profitais pour caresser au passage, je pouvais contempler sa vulve. Je remarquais à la brillance des parois internes qu'elle était excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je remarquais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l'avoir vraiment vu.
Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m'offrait généreusement la mère de mon ami, je m'approchais de cette dernière avec ma bite douloureusement tendue. Ecartant encore plus largement l'entré de son vagin, Chantal m'invita à la pénétrer d'une voix oppressée.
- Oui, mets-la-moi... Enfonce ta queue dans ma chatte, regarde je l'ouvre bien pour que tu puisses entrer dans mon ventre... Viens mon chéri... Prends-moi...
Je n'en croyais pas mes yeux de voir ce sexe féminin offert à mes désirs, à ma disposition. Pensant sans doute que je n'arriverais pas à la pénétrer, Chantal se saisit de ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à l'entrée de sa fente humide. Alors je me laissais aller et m'allongeait sur elle, m'appuyant sur mes coudes.
Avec une énorme émotion je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d'une extrême onctuosité. J'étais terriblement excité par cette situation. C'était la première fois que j'enfonçais mon membre viril dans le sexe d'une femme. J'en avais tellement rêvé. Durant quelques secondes, j'eus un peu honte de voir la mère de mon meilleur ami complètement nue sur son lit et moi aussi nu qu'elle, en train de la baiser. Cependant ce sentiment s'envola très vite, remplacé par un indicible contentement. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.
J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaisait énormément.
- Plus vite ! Gémit soudain Chantal... Va plus vite mon chéri... Baise-moi bien à fond.
Puisqu'elle me le demandait, j'accélérais alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui m'enfonçaient violemment dans la chatte de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux. Plus mes coups de reins se faisaient violents, plus ma compagne se cambrait en poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s'accroche à mon cou pour m'embrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses gros seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine.
J'étais au paradis. Depuis le temps que je rêvais de faire l'amour à la mère de mon ami, qui ne loupait aucune occasion pour m'aguicher avec l'ouverture de son peignoir, j'étais enfin arrivé à mes fins, elle était pour moi tout seul, toute nue dans mes bras, ma langue dans sa bouche, ma bite entre ses cuisses, bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait, s'offrait à mon membre viril. Ses mains me griffaient le dos. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je sentais et voyais ma queue entrer et sortir de ce sexe ruisselant de mouille. Chantal avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents qu'elle aimait ça, que je la rendais enfin heureuse.
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce la bien ta queue dans mon ventre... Vas-y baises-moi profondément... Défonce-moi la chatte, elle est à toi...
Elle soufflait comme un bœuf, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. Au début, devant les marque évidentes de jouissance, je pensais que Chantal me jouait la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver ; mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que mon initiatrice ne jouait en aucun cas la comédie. Sa jouissance était bien réelle, et elle m'offrait son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin. Sa chatte dégoulinait d'un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d'inonder les draps du lit.
Subitement je sentis le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Alors que mon éjaculation arrivait à sa fin, Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Je découvrais là, ce qu'était un véritable orgasme féminin. Ça dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait de joie et de fierté.
Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. J'avais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Chantal ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
- Oh oui, répliquais-je comblé. Si je n'ai pas perdu connaissance, c'est un miracle.
Chantal se mit à rire :
- Tu es sûr que c'est ta première expérience ?
- Oui, c'est la première fois.
- Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M'attirant à elle, Chantal m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu'elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives, ce n'était pas propre. Comprenant mon émoi, Chantal tint à me rassurer :
- Tu sais, en amour, rien n'est sale... Ton sperme ou mon jus, comme certain l'appelle, sont des liquides savoureux... Regarde je vais sucer ta queue et crois moi, je vais me régaler.
Je demeurais plutôt surpris de ce que je venais d'entendre. Evidemment, au lycée, certains de mes camarades avançaient, d'un air prétentieux, que des femmes leur avaient fait des pipes et qu'elles avaient avalé leur sperme. Mais peu d'entre nous les avaient crus.
Cependant, au bas de mon ventre, la mère de Luc, joignant le geste à la parole, se mit à me sucer la bite avec ardeur. Si bien qu'en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu'avant mon éjaculation. Je n'en revenais pas. D'habitude, lorsque je me branlais, le soir dans ma chambre, il suffisait que je me fasse jouir et j'étais tranquille pour 24 heures. Or sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que me procurait Chantal, voila que je mon sexe se durcissait de nouveau, dix minutes après qu'il eut déchargé sa réserve de sperme.
Profitant que ma sensuelle initiatrice était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me sucer d'une bouche experte, je n'eus qu'à tendre le bras pour pouvoir lui caresser les fesses. Je les pétris avec ferveur, les malaxant, les écartant largement l'une de l'autre pour contempler le minuscule orifice brun qui s'y cachait. Mais découvrant aussi la longue fente broussailleuse, dans laquelle je venais de m'épancher, l'envie me prit d'y coller mes lèvres pour en goûter le bouquet. Soudain Chantal abandonna ma verge frémissante pour me demander :
- Tu aimes que je te suce la bite ?
- J'adore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre d'autre.
Un moment passa, avant qu'elle reprenne la parole :
- Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses ?
Je restais sans voix. C'était trop beau. La mère de mon meilleur ami venait de m'offrir ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtienne : faire l'amour avec une vraie femme, pouvoir enfoncer son membre viril dans un sexe féminine. Et voila que cette même femme me demandait si je désirais l'enculer, comme on disait entre nous au lycée.
Devant mon silence, Chantal continua :
- Tu sais, jamais un homme ne m'a pénétré par là. Mais pour te remercier du plaisir que tu m'as donné, je veux bien essayer avec toi... Ça te ferait plaisir ?...
- Oh oui, réussis-je à bégayer.
- Attends-moi !
Étonné, je l'a vis se diriger vers la salle de bain. Elle en revint, tenant un tube à la main. S'installant de nouveau à mes cotés elle me précisa :
- Ça aidera... Pour moi aussi ce sera la première fois, il vaut mieux prendre quelques précautions.
Elle ouvrit le tube pour s'enduire la main d'une crème translucide avec laquelle, elle me massa la verge.
- Avec cette crème, ça glissera plus facilement, tint-elle à me prévenir.
Sous le prétexte de m'enduire le membre de cet onguent, Chantal me branla d'une façon plus qu'agréable, faisant grimper le désir dans mon bas-ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tendit le tube et elle se coucha sur le ventre écarta ses fesses rondes et rebondis de ses deux mains.
- À toi, me demanda-t-elle... Passe-moi de la crème dans mon petit trou.
Je n'en revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, Chantal, la mère de mon meilleur ami, celle qui quelques jours plus tôt m'accueillait comme son fils, m'offrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul. La gorge sèche, j'approchais l'embout de l'orifice anal, et je pressais le tube. La crème incolore en jaillit, pénétra l'anus relâché, avant de déborder de chaque côté du minuscule cratère.
- Fais-la bien pénétrer à l'intérieur avec ton doigt, me conseilla Chantal, m'offrant son cul dans une position des plus obscène.
Reposant le tube sur la table de nuit, j'étalais la crème à l'aide de mon index de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glissa jusqu'au centre du mini cratère de chair, s'y enfonça lentement. Lorsque ma première phalange se fut enfoncée dans le conduit anal, il me sembla que celui-ci s'ouvrait, s'écartait de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continuais donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouva fiché dans son cul, sans que cela ne m'ait posé de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin d'atteindre le volume de mon sexe bandé.
- Oui, frotte bien, m'encouragea Chantal en cambrant ses reins au maximum.
Puisqu'elle me le demandait avec une réelle insistance, j'activais mon doigt dans l'orifice anal, éprouvant un certain plaisir à explorer ce cul étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve que j'avais fouillé de ma bite quelques instants auparavant. Comblé, je fis coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
- Oh oui, c'est bon gémit Chantal au bout d'un instant... Continu mon chéri... Branle-moi bien le cul...
Étonné qu'elle puisse ressentir un tel plaisir par ce trou, j'accélérais mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l'esprit. Accolant mon index à mon majeur, j'enfonçais mes deux doigts dans son cul copieusement lubrifié par la crème que j'y avais versé et les activais fébrilement.
- Oh oui, c'est encore meilleure, grogna aussitôt Chantal en lançant furieusement son derrière au-devant de mes doigts... Viens maintenant m'e dit-t-elle ! Je veux sentir ta queue dans mon cul !... Mets-la-moi !
D'un coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite qu'elle dirigea entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland s'appuya sur son œillet rose, qui me semble extrêmement petit.
- Là, tu y es, me prévint Chantal d'une voix sourde... Va doucement, tu es si gros...
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l'introduction vaginale, qui s'était déroulée dans un glissement, l'orifice anal résista à ma poussée, faisant plier ma verge pourtant rigide. Chantal poussa un petit gémissement, je la voyais agrippée des deux mais le polochon.
- Oh comme tu es gros, gémit-elle... Vas-y pousse !
Doutant du résultat, j'exerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Chantal que je tenais fermement par les hanches. Celle-ci poussa un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m'arrivait, je me retrouvais fiché jusqu'aux couilles dans son cul qui venait de s'écartelé brusquement.
- Oui, oui, ça y est grogna Chantal... Ne bouge plus... Oooh c'est terrible, tu m'as défoncé le cul... Ne bouge pas, je t'en prie... Pas tout de suite.
Son anus était tellement serré que j'avais l'impression que mon gland était divisé en deux par un élastique trop petit, je sentais le bout de ma bite gonflé à l'intérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémissait et poussait des petits cris de douleurs. Je demeurais immobile, ivre de joie. J'enculais une femme. Quand je raconterais ça aux copains, j'allais tous les estomaquer.
- Vas-y, me demanda enfin Chantal... Mais va doucement, j'ai l'impression que tu m'as déchiré le cul.
Je commençais alors à m'agiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Chantal avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris en poussant des petits gémissements
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, encules-moi bien à fond, défonce moi...
La maintenant par les hanches, j'avais une vue incroyable sur son merveilleux fessier que j'admirais depuis des mois. Je voyais ma bite entrer et sortir de l'anus dilaté par mon membre. J'étais excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne m'encourageaient à continuer. J'accélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Chantal poussait de tels cris, que je me demandais si elle éprouvait du plaisir ou de la douleur.
Mais d'un seul coup je senti mon sperme monter de mes couilles gonflées à ma verge frémissante. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme par saccades dans les intestins de la mère de Luc, mon ami. J'eus l'impression de me vider entièrement, tant l'éjaculation dura. Chantal se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille. Etant penché sur elle, je lui caressais l'intérieur des cuisses que je trouvais abondamment mouillées, tant ma complice avait joui.
Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge de l'anus inondé. Elle était extrêmement sensible. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de l'endroit où je l'avais plongé. Se redressant, Chantal me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu'elle venait de vivre et partager avec moi.
- Tu sais, c'est la première fois que je me fais sodomiser et c'est toi que j'ai choisi pour me faire vivre ce moment spécial. J'ai eu un peu mal au début, mais par la suite j'ai jouis comme une folle, tu m'as procuré énormément de plaisir. Je n'aurais jamais songé que l'on puisse éprouver autant de plaisir de ce côté là... C'est toi qui me l'as fait découvrir...
Devant ses aveux, je me sentais gêné mais très fier d'avoir pour la première fois de ma vie, donné autant de plaisir à une femme mûre et expérimentée. Puis la journée passa, en grignotant des biscuits, nous avons continué à faire l'amour en s'embrassant.
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