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32. L'achèvement d'Axel J'étais si excitée à l'idée de faire jouir Axel après déjà quatre jours d'abstinence que j'étais en proie à un dilemme compliquer : le faire craquer ou bien continuer à le charger à bloc pour que ce soit encore meilleur le moment venu ? Je me dis alors que le mieux était de continuer à l'exciter mais de le faire en public pour l'inciter à se tenir à carreau. En restant isolés, nous risquions un dérapage. Même le soir, j'avais décidé de dormir dans le salon car la tentation était énorme pour moi de me saisir du sexe d'Axel et de le faire exploser. Il avait d'ailleurs acquis une sensibilité telle qu'Axel bandait à la moindre occasion. Le pauvre devait bien souffrir et je le trouvais bien courageux alors que moi, le soir, seule dans le salon, je me masturbais discrètement pour essayer de calmer mes ardeurs vis à vis d'Axel. Le lendemain de notre escapade à la plage où le sperme avait coulé à flot (mais pas celui d'Axel), j'avais passé une petite robe assez courte. Je prenais un malin plaisir à montrer à Axel que je n'avais pas mis de culotte. Ayant prévue une promenade en ville, je savais qu'il se tiendrait alors tranquille, même si je voyais bien dans ses yeux la dure lutte qui faisait rage en lui à chaque fois qu'il apercevait mon cul ou ma moule. ![]() images similaires Malheureusement, il faisait un temps de chien. La pluie battante refroidit nos envies de promenades et je sentis également qu'Axel cherchait moins à regarder. Il se calmait et ce n'était finalement pas plus mal. Je m'étais allongée sur le lit pour lire alors qu'il était allé prendre une douche. Quand il revint de la douche, une serviette autour de la taille, nous manquâmes de peu l'accident. En effet, j'étais allongée sur le ventre et ma robe dénudait entièrement mes fesses et ma moule. Je vis la serviette se tendre et se soulever. ![]() images similaires Je crus un instant qu'il allait jouir juste d'avoir vu ça ! Heureusement, je me réajustait décemment et sortit de la chambre pour le laisser s'habiller tranquillement. Il m'avoua qu'à ce stade, c'était devenu une vraie torture. De mon côté, ce n'était pas facile non plus, mais mon envie d'aller encore plus loin était vraiment grande. L'après-midi, le soleil réapparut. Sitôt le repas passé, nous sortîmes en ville. J'avais mis un petit tee-shirt qui moulait mes tétons et une mini-jupe que soulevais de temps en temps pour m'assurer qu'Axel ne risque pas de débander. ![]() Le fait d'être dans un lieu public facilitait bien sûr mon audace car je savais qu'Axel n'allait pas oser sortir sa bite en public. Et l'après-midi se passa ainsi entre exhibitionnisme et voyeurisme. Et Axel ne fut pas le seul à en profiter ! Le soir, après un léger repas, je le décidais à m'accompagner en boîte de nuit. J'avais passé une petite robe noire assez sexy. Juste une petite robe noire. Sans rien dessous. Axel n'en ignorait rien bien sûr et je voyais à la bosse de son jeans que ça lui plaisait beaucoup. C'est moi qui conduisit jusqu'à la boîte de nuit. Avant d'entrer dans la boîte, je m'assis quelques secondes sur un banc, cuisses écartées. ![]() - Salope ! C'est ce soir que tu veux m'achever ? - Non, je pense que tu peux encore tenir... - Moi, je ne crois pas ! Il se lança sur moi mais je rentrai dans la boîte avant qu'il ne soit sur moi. Une fois à l'intérieur, il fut bien obligé de se calmer. Je dansai en m'amusant à soulever un peu le bas de ma robe pour dévoiler quelques secrets. Beaucoup de gens me portaient un certain intérêt et se demandait si je portais ou non une culotte. Axel avait bien sûr la réponse à cette question et je le voyais bien à l'état de son jeans. ![]() Quand nous sortîmes de la boîte de nuit, les deux videurs nous regardâmes nous éloigner. Avant d'être hors de vue, je m'appuyai à un pilier et je retroussai la robe sur mes hanches. Je savais qu'Axel était particulièrement sensible à ce genre d'exhibition. Les deux videurs rigolaient et l'un d'eux me siffla. ![]() Axel n'en pouvait plus : - Arrête où je te viole sur place ! - Devant ces deux armoires à glace ? J'aimerais bien voir ça ! - Ne me tente pas... Allez, rentrons ! Le lendemain, j'entrai nue dans la salle de bain alors qu'il était sous la douche. J'allai au lavabo. Dans le miroir, je voyais qu'il admirait mon cul et qu'il bandait déjà. Il ne se branla pas, mais je restai ainsi jusqu'à ce qu'il sorte, toujours en érection, et toujours les yeux rivés à mes fesses que je tentai de cambrer un peu. ![]() images similaires Il me laissa entrer dans la douche sans me toucher, comme si j'étais en nitroglycérine. Il s'habilla et je me lavai. Bien entendu, je ne résistai déjà pas à me caresser l'entrejambe et mes doigts finirent par se perdre dans mon intimité en un lent va et vient. ![]() Il me regardait dans le miroir tout en se rasant : - Bon, je crois que ce sera le dernier jour. - Oh non, s'il te plaît, tu peux encore tenir un peu, j'en suis certaine ! - J'ai failli jouir dans mon sommeil cette nuit. - Tu déconnes ? - Je fais des rêves torrides depuis plusieurs nuits et là cette nuit c'était moins une... - Tu me racontes ? - Quand cette histoire sera finie. Là je ne peux pas... J'attrapai une serviette pour sortir de la douche. ![]() images similaires Je commençai à me sécher. Axel me regardait toujours et j'imaginais qu'il bandait toujours aussi. Il finit par me dire : - Tu es de moins en moins discrète le soir... - Comment ? - Quand tu te masturbes, tu ne fais aucun effort pour que je n'entende pas, au contraire ! - Ah... désolée... Ce n'est pourtant pas pour t'exciter, mais plus pour m'éviter de céder à la tentation de venir te rejoindre pendant la nuit. Je me mis la serviette sur les épaules pour couvrir mes seins. Par contre mon sexe n'était pas caché du tout et cela n'échappa pas à Axel. ![]() images similaires Je lui demandai : - On sort se promener aujourd'hui ? - Non, je crois que je vais aller faire les courses tout seul, car si tu m'accompagnes, je ne réponds plus de rien. - Si tu veux. Moi je dois sortir ce midi et je reviendrai en milieu d'après-midi, ça va te permettre de souffler. J'enfilai un tee-shirt moulant et une mini-jupe sans mettre de culotte. ![]() - Tu vas sortir comme ça ce midi ? - Heu... comment ça ? - Sans culotte ? - Bah oui, gros béta, j'en mets presque jamais, tu ne t'en rends compte que maintenant ? - C'est pas ça, c'est juste que rien que de t'imaginer aller diner en ville dans cette tenue, ça me donne une gaule d'enfer. Je le laissai à ses considérations. Quand je rentrai dans l'après-midi, je trouvai un mot de sa part indiquant qu'il était sorti se changer les idées. J'étais très excitées à l'idée qu'il avait passé la journée à m'imaginer me baladant en ville sans culotte et qu'il n'avait pas débandé. Je me mis à préparer le repas du soir en l'attendant. Quand il rentra, je filai dans la chambre prendre un grand voile transparent que j'enfilais sans rien mettre dessous. Axel accueillit mon apparition de manière mitigée. ![]() - Alors c'est le grand soir ? me demanda-t-il. - Comment ça ? - Et bien mon supplice s'arrête ce soir et tu me fais la danse des sept voiles ? - Ah bah, non. Je n'ai qu'un seul voile et je comptais juste entretenir ta flamme. - Ma flamme ? Tu déconnes ! J'ai les couilles qui me font un mal de chien depuis trois jours et je bande quasiment en permanence. Le moindre geste déplacé de ta part pour venir à bout de près d'une semaine d'abstinence ! - Je vais donc faire attention à ne pas te toucher. Je sentis bien que le repas fut difficile pour lui. Tout en passant son temps à regarder mes seins, il tenta de me convaincre qu'il ne pourrait pas tenir cette nuit et qu'il risquait de tout éjaculer durant son sommeil. En moi-même, je me dis que ce serait effectivement vexant mais j'étais prête à prendre le risque d'attendre encore. Le soir, j'essayais de me masturber le plus discrètement possible. Au réveil le lendemain, j'étais décidée. Ce serait aujourd'hui ! Axel semblait dormir encore. Je passai une petite robe blanche. J'étais si excitée à l'idée que ça allait être aujourd'hui que j'eux l'irrésistible envie de me masturber. Seulement, je ne voulais pas prendre le risque de me faire surprendre par Axel au réveil. Comme sa chambre donnait directement sur le salon (où je dormais), je décidai de l'enfermer à l'intérieur de sa chambre. Je pris la clé sur la bibliothèque et verrouillai sa porte de chambre. Je m'installai assise sur le divan, jambes écartées. Je fis glisser les bretelles de ma robe pour dégager ma poitrine et ma caresser les mamelons. Puis je retroussai la robe sur mes hanches et je commençai à me caresser. Puis je m'insérai un doigt, puis deux. Et je me masturbai ainsi dans le salon en rêvant à l'incroyable quantité de sperme qu'Axel allait faire gicler pour moi, persuadée qu'Axel dormait dans sa chambre. ![]() Je jouis. Mon orgasme ne fut pas très violent, mais je comptais bien atteindre la jouissance extrême avec l'intervention d'Axel. J'avais un peu juté sur ma robe. Je la retirai et passai un petit débardeur. Axel était-il réveillé ? Je refis tourner la clé dans la serrure et retirai la clé pour regarder par le trou de la serrure. La lumière du jour envahissait la chambre mais je n'avais pourtant pas entendu Axel essayer d'ouvrir la porte. J'ignorai alors qu'il se tenait derrière moi et qu'il reluquait mon cul et ma moule. ![]() images similaires - Qu'est-ce que tu fais, Sylvie ? Il me fit sursauter. J'en perdis la clé. - T'es con ! T'es sorti quand ? - Je suis sorti il y a une petite demi-heure pour prendre une douche, tu dormais encore. Pourquoi ? Je compris que j'étais bien plantée et qu'il aurait pu me surprendre n'importe quand pendant que je me branlais... Je me mis à quatre pattes pour chercher la clé tombée. ![]() En me voyant ainsi à quatre patte, le cul dénudé, Axel n'y tint plus. La situation avait fini par réveiller en lui ses instincts les plus primaires. Il baragouina : - Une semaine ! Ça fait une semaine ! Il libéra une monstrueuse érection palpitante et je pris conscience que ses couilles avaient presque doublé de volume par rapport à d'habitude. Je m'en approchai avec précaution et je pris délicatement le gland entre mes lèvres en priant pour qu'il n'éjacule pas tout de suite. ![]() images similaires Je pus le sucer et le lécher pendant près de trois minutes avant que je sente qu'il allait jouir. Mais il était si excité que même si c'était un vieux routier qui l'avait sucé, il aurait jouit tout pareil. Au moment de jouir, il attrapa sa queue et la sortit de ma bouche pour se masturber. Le sperme ne tarda pas à venir m'inonder le visage. ![]() images similaires Il continuait à se masturber lentement en criant et son sperme n'en finissait pas se sortir. Les jets, très liquides et très chauds venaient s'écraser sur mon visage et me coulaient ensuite sur tout le corps avant de goutter sur le carrelage du salon. Mon orgasme monta avec une telle puissance que je crus perdre connaissance. Et mon orgasme me faisait vibrer de la tête aux pieds alors qu'Axel n'en finissait pas d'éjaculer en râlant son plaisir. ![]() images similaires Quand mon orgasme s'acheva, Axel finissait tout juste de me vider les dernières gouttes de son sperme. J'en avais partout au point que je me demandai si ça ne représentait pas autant de sperme que trois ou quatre éjaculation normale. C'était comme si un groupe de mec venait de me jouir dessus en même temps. C'était une expérience incroyable. ![]() images similaires J'étais ravie mais Axel me confia que ça lui faisait super mal aux couilles, depuis quelques jours, mais aussi après l'éjaculation. Il m'avoua avoir pris un pied d'enfer mais que le plaisir qu'il en avait retiré ne suffisait pas à faire oublier la douleur qu'il avait subie. Et il ne parlait que de la douleur physique alors que la douleur psychologique que j'avais moi-même endurée devait avoir été encore plus insupportable pour lui. Néanmoins, il me dit ne pas regretté de l'avoir fait... Et moi non plus !!! ![]() |