Boris
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1er novembre 2023
10:15:08
message 35883
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Angela - épisode 8 : Réveil militaire
Dimanche 31 juillet 10:07
La lumière du jour me réveille. Je regarde mon téléphone portable sur la table de chevet : déjà plus de 10 heures. Je souris en perdant mon regard dans le blanc uniforme du plafond. Nous sommes en vacances et la journée de la veille et été riches de nouvelles expériences très excitantes. Le seul souvenir d'avoir fait l'amour à Luc avant de dormir hier soir me procure des vagues de chaleur : je sens mes mamelons s'ériger et je frotte avec bonheur mes cuisses l'une contre l'autre. Je tourne la tête vers Luc. Il est déjà levé et me sourit, nu debout à côté du lit. Quel plaisir de voir cela au réveil ! J'ai très envie de lui sauter dessus pour qu'il me fasse à nouveau l'amour. Je me redresse et m'étire, ondulant mes courbes pour l'inciter à venir me rejoindre.
Il rigole et me dit : - Voilà un réveil comme tous les hommes aimeraient en avoir. - Oui, mais là, c'est juste notre réveil à nous... Je vois son sexe se gonfler et se redresser peu à peu, mais il ne bouge pas et se contente de sourire. Je l'invite plus explicitement : - Tu viens ?
Un pincement de la bouche exprime son regret : - J'ai très envie, mais si ça ne te dérange pas, je vais commencer par prendre une douche. J'ai besoin de me rafraîchir. Je prends effectivement conscience qu'il fait déjà chaud dans la chambre. On avait laissé les volets entrebâillés et la fenêtre ouverte pour profiter de la fraîcheur relative de la nuit, mais l'air qui entre maintenant est plutôt tiède et c'est vrai qu'on transpire déjà beaucoup. Je me lève pour fermer la fenêtre. Il se dirige vers la salle de bain et me demande : - Tu m'accompagnes ? J'hésite. Si je l'accompagne, c'est sûr qu'on va faire l'amour sous la douche et j'en ai vraiment très envie. Mais en même temps, je ne veux pas qu'on attaque aussi directement. Même si j'ai très envie de sexe, j'ai peur qu'en commençant ainsi, la journée s'essouffle et que cela me déçoive. Je botte en touche diplomatiquement : - Va prendre ta douche pendant que je prépare le petit déjeuner. Après, j'aimerais bien qu'on retourne à la plage.
Dès que Luc disparaît dans la salle de bain, j'enfile une parure rouge pour descendre. Je sais qu'il serait déçu de me voir mettre des sous-vêtements, mais je ne me sens pas encore assez en confiance dans la villa pour oser m'y balader en tenue d'Ève. D'autant que je ne voudrais pas qu'on me voie par la fenêtre. Théoriquement, Joann ne s'occupe pas du jardin aujourd'hui. Lionel n'a pas indiqué s'il repasserait. Vu qu'il vient de retrouver Luc, avec lequel il a été très proche à la fin du lycée, il ne serait pas étonnant qu'il ait envie de venir lui rendre visite pour discuter. Quand je pense qu'ils sont sortis avec la même nana, cette Angela... La table du petit déjeuner est rapidement préparée et je décide de m'allonger sur le canapé pour écouter un peu de musique en attendant que Luc descende.
Je lance le dernier album de Coldplay, que je n'ai pas encore eu le temps d'écouter hormis le titre qui passe régulièrement à la radio. Au milieu du deuxième morceau, je perçois des pas dans les escaliers. Quelques instants après, je sens sa présence derrière moi. Je coupe la musique et tourne la tête : - Tu es prêt ? Je découvre avec plaisir qu'il ne s'est pas habillé.
En voyant mon sourire, il me répond : - Je suis douché et apparemment, la tenue que j'ai choisie te plaît. - Oui, beaucoup ! Surtout le bas. Et, toi, que penses-tu de la parure que tu m'as offerte il y a quelques semaines ? - Elle te va très bien. Mais ce n'est pas la thématique de nos vacances.
Je retire mes écouteurs et laisse mon téléphone sur le canapé pour me lever : - La thématique ? Quelle thématique ? - Tu sais bien. Celle évoquée par Joann et Lionel. Celle que tu as brièvement testée hier sur la plage. - Ah, le naturisme ? J'en déduis que mon petit ensemble ne t'émeut pas ?
- Oh ne soit pas triste ma chérie. Il est superbe cet ensemble et c'est un écrin qui met parfaitement en valeur tes courbes somptueuses, mais j'avoue que l'idée de faire des vacances naturistes me plaît beaucoup. - Ah oui, ton côté épicurien, c'est cela ? - Exactement. Je commence à abaisser ma culotte. - Donc, il faut que je retire cet écrin pour te dévoiler mon corps au naturel, sans artifice ?
Luc sourit : - Voilà. Je t'aime, ma Juju... La culotte à mi-cuisse, je me retourne, lui exposant mes fesses nues dont il semble se régaler, et dégrafe le soutien-gorge. - Tu m'aimes surtout quand je cède à tes petits caprices, non ?
- Je t'aime encore plus ! Il est si concentré sur chacun de mes gestes, que je sens presque le souffle de son regard dans mon dos, sur mes hanches, mes épaules. - Et qu'aimes-tu le plus chez moi ? Mes fesses ou mes seins ? - Les deux... et tout le reste. Que ferais-je en ayant seulement une paire de seins ou une paire de fesses ? - Tu triches. Ce n'est pas une réponse valable. - Alors, disons que j'ai une légère préférence pour ta poitrine.
Je retire le soutien-gorge, mais je continue à lui tourner le dos : - Je vois ça... Mes fesses ne suffisent pas à émouvoir ton petit soldat. - Il est pourtant déjà bien réveillé. - Oui, mais pas au garde-à-vous. Et si...
Je me retourne lentement, exhibant mes seins. Luc peut déjà constater ma propre excitation à l'érection de mes mamelons. - Voyons si le petit soldat peut se montrer davantage discipliné... - Il est à vos ordres, Capitaine. - Aux ordres de mes seins ? - Oui, Capitaine. - Dans ce cas, je peux remettre ma culotte, si le petit soldat ne reconnaît que l'autorité de mes seins. Je remonte ma culotte en m'approchant de Luc.
Luc réagit aussitôt : - Oh, mon petit soldat reconnaît toute forme d'autorité. - Ah oui ? Si mes fesses lui disent de se tenir bien droit, il le fera ? - Sans aucun doute. Je me retourne devant lui et me penche pour faire glisser la culotte à mes pieds, exhibant ma croupe.
Je garde un œil sur Luc et son petit soldat et constate à quel point il est obéissant : - Impressionnant ! Il est très discipliné ce petit soldat. - Une discipline de fer ! Mais est-ce encore un petit soldat ?
- Hum, tu as raison, mon chéri, c'est désormais un grand soldat que j'ai sous ma coupe. - Et bientôt, sous ta croupe ? - Oh, te voilà bien impertinent ! Je me mets de profil pour lui dissimuler à la fois mes fesses et mes seins.
- Je m'excuse, Capitaine ! - On ne s'excuse pas, soldat. On présente ses excuses ou on demande à être excusé. - Mince... Bon pour la cour martiale ou juste corvée de patate ? - Je ne sais pas encore, mais ce soldat va rentrer dans le rang !
Voyant mes mains à hauteur de mon sexe, Luc sourit en comprenant ce que j'appelle "le rang". Il rigole et répond : - Avec plaisir, Capitaine. - Pour le moment, assieds-toi et écarte bien les cuisses pour que je voie bien ton soldat.
- Repos pour moi ? - Oui, mais pas pour ton soldat ! J'exige une tenue impeccable. - Ce ne sera pas difficile...
- Pourtant, il me semble se relâcher légèrement... - Le Capitaine doit motiver ses troupes. Je m'assois face à Luc et poursuis notre petit jeu en relevant les jambes et en écartant les cuisses pour bien exposer mon sexe : - Ce signe de victoire l'aide-t-il à garder courage ?
- Oui, Capitaine. - Maintenant, prends ton soldat épuise-le. Je veux le voir transpirer. - Transpirer ? Tu veux que... ? - Oui. Branle-le lentement jusqu'au bout, mais je veux que ça sorte lentement. Donc maîtrise et contrôle. - Ok, Capitaine. Luc prend son membre en main et se masturbe lentement.
J'adore. Je n'avais jamais vu Luc se masturber devant moi et le voir faire à ma demande m'excite au plus haut point. Je vois ses yeux explorer mon corps ; son regard caresse mes seins, tourne autour de mes mamelons, tente de s'insinuer dans ma fente. J'imagine qu'il a déjà fait ça : se branler pendant que Lionel baisait Angela. Devant moi, c'est une première et je suis si excitée que j'ai moi aussi envie de me masturber. - Ton soldat est robuste ? - Jusqu'à un certain point... - Il n'a pas le choix : il faudra qu'il rentre dans le rang. Je me caresse la vulve, excitant mon clitoris.
Peut-être que Luc s'imagine déjà me pénétrer à cette nouvelle évocation de "rentrer dans le rang". J'ai sans doute poussé le jeu trop loin : mon homme est déjà au bord de l'éjaculation. - Soldat ! Maîtrise et contrôle ! Pas d'effusion. Luc resserre ses doigts autour de sa hampe palpitante pour bloquer l'éjaculation, mais quelques gouttes s'échappent déjà.
Cela m'excite tant de le voir éjaculer que je m'insère deux doigts dans la fente pour me masturber aussi. - Hoooo, ton soldat doit encore résister un peu... Je tente d'atteindre l'orgasme avant qu'il achève son éjaculation. Mon poignet prend un rythme furieux pour atteindre rapidement le plaisir. Je n'en reviens pas qu'on se donne l'un l'autre en spectacle de cette manière.
L'orgasme arrive. J'ai du mal à garder les yeux ouverts. Pourtant je vois la queue de Luc tendue comme jamais. Je ne sais pas si c'est un effet d'optique ou si sa queue est réellement beaucoup plus conséquente que d'habitude. Peut-être le fait qu'il en serre la base pour bloquer le sperme. Luc m'implore : - Capitaine, aaaah... la pression est trop forte ! - Oooooh, tiens bon, soldat ! On y est presque ! La pression est effectivement telle que je vois encore quelques petites giclées s'échapper et s'écraser sur le ventre et les cuisses de Luc.
Raté ! Il a éjaculé avant que je jouisse. Mon orgasme est pourtant là. - Aaaaah ! Vous... vous serez puni, soldat... Ooooooooh... Je laisse mes doigts immobiles. Mes cuisses et mon bassin sont pris de soubresauts terribles.
J'entends Luc pleurnicher : - Je... Je tiens... Capitaine, je tiens... Je mets quelques secondes avant de rouvrir les yeux. Surprise ! Luc garde le poing fermé sur son membre turgescent qui semble palpiter comme jamais. Mon homme est rouge et me regarde avec des yeux exorbités : - Ca... Capitaine... Je comprends qu'il retient toujours la majeure partie de l'éjaculation. Je dois le libérer : - Repos, soldat ! Il retire aussitôt sa main et un flot de sperme épais s'échappe alors de la colonne de chaire, tandis qu'il lâche un puissant râle de soulagement.
Je vois le liquide blanchâtre s'écouler le long de la tige et de ses couilles pour venir souiller le carrelage du salon. Je me lève : - Soldat ! Je vous dois des excuses. Certes, vous n'avez pas contenu toute l'effusion, mais vous avez néanmoins réussi à maîtriser la plus grande partie de votre fluide jusqu'au signal. Je suis fière de vous. Luc rigole alors qu'il peine à reprendre son souffle : - Putain, j'ai cru crever... Mais la libération, c'était le nirvana ! - Tu aimes qu'un militaire te donne des ordres ?
- Si c'est toi, indéniablement ! - En tout cas, je n'aurais pas cru que tu puisses tenir aussi bien... - Le Capitaine a une récompense pour ses meilleurs soldats ? - Oh, il veut un bisou de son Capitaine ? Je m'agenouille entre ses cuisses écartées et me saisis sa hampe pleine de sperme pour lui lécher le gland amoureusement.
- Mmmmh... Jamais mon soldat n'aurait imaginé que le Capitaine lui-même s'occuperait de sa toilette. - Le Capitaine sait récompenser ses soldats à leur juste valeur. - Le soldat s'en souviendra et obéira à son Capitaine. Je prends son membre en bouche et le nettoie aussi bien que possible.
Luc garde une érection superbe, et je me demande même s'il ne serait pas en mesure de jouir à nouveau quand je m'attarde à lécher le sperme sur ses bourses. Mais il maîtrise et contrôle, semble-t-il... Je me relève avant qu'il ne croie qu'il s'agisse d'une fellation. Il semble déçu de me voir me mettre debout. - Le Capitaine va remettre sa parure flamboyante ? - Si le Capitaine doit rester nu pour faire régner la discipline, le Capitaine consent à rester nu à l'intérieur de la villa. Mais pour l'heure, on va prendre le petit déjeuner et après on descendra à la plage. - Faire du nudisme ? - En bikini dans un premier temps. Après, on verra. Pour le moment, à table.
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