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Mais il est vrai que ce n'est pas facile car pour le jour 2, il y a la solution « fâchés » et la solution « amoureux »... |
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Angela - épisode 10 : Gâterie à la piscine Dimanche 31 juillet 11:27 Il fait si chaud que, le temps de remonter à la piscine, mon débardeur est presque sec, au grand regret de Luc. - Luc, je vais aller chercher un autre soutien-gorge. Luc s'approche de moi et me retire le débardeur : - Et pourquoi ma Juju ne pourrait-elle pas laisser ses seins visibles ? Il n'y a que toi et moi. - Oui, mais si Lionel arrive ? - Il te suffit de garder ton bikini à portée de main pour le remettre s'il arrive. - Sauf que je n'ai plus le haut... - Hum... je n'ai pas été très honnête avec toi. Il me fait un sourire coupable et ouvre la paume de sa main dans laquelle je découvre mon haut de bikini rouge roulé en boule. - Je m'en doutais. Pervers et manipulateur. - Épicurien ! - Il a bon dos Épicure. Rends-moi mon soutif. Comme il ne semble pas disposé à obtempérer, je tente de lui arracher des mains, mais il esquive mon geste : - Attends, Juliette. Écoute, j'ai une proposition : tu oublies ton bikini et je me mets moi aussi à poil. - T'es gonflé ! Je n'avais pas imaginé être la seule à faire du nudisme. Devançant la négociation, il retire son maillot et exhibe son sexe nu, illustrant parfaitement que Luc est gonflé, au propre comme au figuré. La vision de son sexe en érection me donne aussitôt chaud au ventre. J'ai très envie de l'imiter. Je vais le faire, mais je dois lui laisser croire que je le fais à contrecœur, uniquement pour le satisfaire. - Ce que tu fais, c'est du chantage. - Tout de suite les grands mots. Ose dire que ça ne t'excite pas de te baigner nue ! Je préfère ne rien répondre et je lui tourne le dos pour abaisser ma culotte. Luc rigole : - Je t'avoue que je ne croyais pas que ce serait si simple ! - Si simple ? Je prends sur moi. J'ai de la pudeur et me mettre à poil n'est pas si simple, même devant toi. Mais je t'avoue de mon côté que c'est de te voir nu qui me stimule. Une fois ma culotte et mon soutif posés sur le bord de la piscine, prêts à être attrapés en cas de besoin, j'inspecte le portail de la propriété : - Tu es certain que Lionel ne t'a pas dit qu'il passerait aujourd'hui ? - Et alors ? Même s'il passe, tu sais ce qu'il pense du naturisme, non ? - Oui, toi il t'a déjà vu nu, évidemment... - Oui, on se connaît plutôt bien. - Vous avez déjà fait des choses... ensemble ? Je veux dire... sans Angela ? - Ahah, c'est ton fantasme, c'est ça ? Que j'ai une relation homosexuelle ? - Bah oui, ça m'exciterait de voir deux mecs se câliner... - Je vais te décevoir : on ne l'a jamais fait et ça ne m'attire pas particulièrement. Je suis effectivement déçue, mais j'essaye de ne pas trop lui montrer, perdant mon regard dans le parc. Je découvre alors soudain qu'il y a un vélo appuyé contre un arbre non loin du portail. - Mince ! C'est le vélo de Joann ! - Je croyais qu'il ne venait qu'un jour par semaine ? - Il a sans doute des trucs à finir... Je ne le dis pas à Luc, mais je me demande s'il ne fait pas des heures supplémentaires ici, juste pour le plaisir de faire le voyeur. - Bon, désolée Luc, mais moi je vais remettre mon bikini. - Allez, c'est bon. Joann aussi nous a dit qu'il avait l'habitude de voir des locataires pratiquer le naturisme. - Moi je veux bien faire du naturisme, mais pas de l'exhibitionnisme. Même si je ne vois pas Joann, peut-être de l'autre côté de la maison ou dissimulé par un des massifs d'arbustes, je décide de remettre mon bikini. Quand je rattache mon soutien-gorge, Luc fait une tête d'enterrement : - Allez, Juliette, t'es pas drôle. - Pas drôle et pudique. Désolée. Luc insiste : - Si tu remets ton bikini, je remets mon maillot. - Eh bien tant pis, remets ton maillot. Mais si tu le fais pour me punir et pas par pudeur, c'est ridicule. J'achève de remettre ma culotte. Je vois Luc hésiter, puis attraper son maillot pour l'enfiler en pestant : - Quel gâchis... - J'en déduis que tu as toi aussi un peu de pudeur ? - Sache que ce qui me désole le plus c'est que tu vas sans doute perdre cette belle érection. Luc me jette un regard noir : - Pour ça, pas de risque. Tu restes très bandante, même en bikini... - C'est étonnant, je trouve, que ça te gêne qu'un inconnu voie ta queue, mais pas de montrer que tu es en érection dans ton maillot. - Que veux-tu, l'âme humaine est complexe. - Même pour un épicurien tel que toi ? Luc rigole : - Fais gaffe que l'épicurien n'ait pas l'idée d'imiter les deux types de la plage tout à l'heure et qu'il ne vienne pas t'arracher ton bikini. - Si je suis mise nue sous la contrainte, ce n'est pas de mon fait, donc il est possible que je me sente moins pudique. - Ah ouais ? J'aurais dit l'inverse. Mieux assumé quand c'est un choix. Tu veux que je te pique ton bikini pour voir ce que tu ressens ? - Non, je te remercie. Je préfère descendre dans l'eau pour me rafraîchir avant que Luc ne décide tenter l'expérience sans mon consentement. Appuyée au bord du bassin, j'interroge Luc en voyant qu'il bande toujours : - Et selon qui te voit en érection, la pudeur n'est peut-être pas la même, si ? - Sans doute, tu penses à quoi ? - Je me dis que si c'est un mec ça te gênera, alors que si c'est une nana tu auras peut-être une certaine fierté à exhiber tes attributs ? - Je pense que c'est plus complexe que ça. Devant toi par exemple, j'ai clairement envie d'exhiber mes attributs. Devant d'autres filles, je dirais que ça dépend de l'âge. - Évidemment, majeure, mais pas encore à la retraite... - Et pour les mecs, j'imagine que je ne ferais pas le malin devant un mec hyper bien gaulé et monté comme un taureau, alors que je serai plus à l'aise devant des types moins bien dotés par la nature que moi. - Et devant Lionel ? - Lionel, sans s'être tripotés l'un l'autre, on se connaît presque intimement. Angela nous a souvent dit qu'on était "jumeaux de bite" parce qu'on avait des calibres très proches. L'évocation d'Angela me fait regretter ma question. En même temps, je m'attends à quoi ? J'aime bien qu'on parle sexe avec Luc, donc ce n'est pas étonnant qu'à un moment ou à un autre la conversation touche à son expérience avec Angela. Mais si, depuis hier, j'ai l'impression de mieux connaître Luc, chaque échange faisant référence à Angela me fait prendre conscience que j'ai encore beaucoup à apprendre sur lui. Une idée me vient alors et je me tourne vers Luc pour lui poser ma question : - Si Lionel propose de faire du nudisme avec nous, ça ne te posera pas de problème que je puisse voir sa queue, voire son érection ? - Non, ça ne me posait pas de problème avec Angela, donc si ça arrive, tu pourras te rincer l'œil autant que tu voudras. - Mmmm, ça me donne presque envie de me remettre nue dans l'espoir qu'il arrive et qu'il demande à nous rejoindre. - Tu deviens une petite coquine, Juliette. - Et je vois à ce fier chapiteau dressé que tu apprécies quand je suis coquine. - Alors que tu gardes ton bikini. Ce hideux bikini qui va te faire des marques de bronzage. - Et toi, alors ? - Moi, c'est différent, je suis un mec et j'assume le chocolat-vanille. - N'importe quoi. Les filles aiment autant voir un mec avec un bronzage uniforme que les mecs apprécient le bronzage uniforme des nanas. Mais je te rejoins sur le fait que ce n'est pas très beau. Regarde un peu mes fesses toutes blanches. - Tes fesses, blanches ou bronzées, restent appétissantes quoi qu'il arrive. - Tu aimes autant chocolat que vanille ? - J'aime tes fesses. - Et pas mes seins ? - Bien sûr que si ! Je les adore ! - Bon, alors pour te faire plaisir, j'accepte de retirer le soutif. - Malgré Joann qui peut surgir ? - Cela te gêne qu'il voie mes nichons ? Je commence à dénouer le nœud de mon soutif. Luc sourit : - J'espère bien qu'il bandera quand il verra tes seins. - Il les a déjà aperçus dans mon décolleté hier. - C'est différent. Hier, c'était une vision volée ; là, c'est généreusement offert. - Oui, c'est vrai que c'est un peu différent. Luc a les yeux qui brillent dès qu'il voit mes seins libérés de l'emprise du soutien-gorge. Une voix derrière moi me fait sursauter : - Ah ! C'est bien que vous commenciez à vous lâcher un peu. Je reconnais la voix de Joann et me retourne en dissimulant ma poitrine avec mes mains. - Bonjour Joann. - Bonjour Mademoiselle. Bonjour Monsieur. - Je croyais que vous ne veniez qu'un jour par semaine ? - Heu... normalement oui, mais là, j'ai vu qu'il y avait pas mal de taille à faire, des branches mortes à cause de la sécheresse. Il ne semble pas gêné par mes seins nus et ne les quitte pas des yeux, attendant sans doute que je retire mes mains. Il sourit et se tourne vers Luc : - Si c'est le fait que je sois habillé qui vous met mal à l'aise pour faire du naturisme, je peux moi aussi retirer mes vêtements, comme hier soir. Moi, ça ne me pose pas de problème. - Heu, oui, si Juliette est d'accord, moi non plus, ça ne me gêne pas. Joann se tourne vers moi, attendant ma réponse. Je prends un air détaché, mais je réponds avec une toute petite voix : - Oh... Oui. Si vous voulez. Le jardinier s'exécute et se débarrasse de ses vêtements en quelques secondes. Son sexe, au repos, est déjà de fort belle facture. - Voilà, j'espère que ça vous mettra plus à l'aise. Je repense alors à ce qu'a dit Luc avant l'arrivée de Joann : il serait ravi que Joann bande en voyant mes seins. Sans non plus, m'exhiber comme une salope, je retire mes mains et dévoile mes attributs. - Merci Joann. Effectivement, ça me met plus à l'aise. Je le vois porter un regard très accentué sur ma poitrine, comme s'il cherche à imprimer de manière durable cette image dans sa mémoire. Luc a un petit sourire en coin. Je me mets au bord pour m'approcher du jardinier : - Joann, vous avez beaucoup de jardins à vous occuper ? - Une petite quinzaine. - Mais vous prenez plus de temps pour celui-là ? - Oui, ils ne font pas tous la même taille. La plupart sont faits en moins de deux heures par semaine. Celui de M. et Mme Le Tarin est plus grand. C'est un parc. - Et peut-être plus agréable ? - Ah oui ! C'est le seul où il y a des locataires. C'est drôlement plus sympa pour discuter. Je me redresse un peu sur le bord pour faire ballotter un peu mes seins. Il ne cherche pas à détourner le regard et profite du spectacle. Toutefois, son sexe, quoique long et légèrement gonflé, ne s'est pas redressé du tout malgré l'exhibition de mes appâts. Il finit par me faire un grand sourire, en me regardant, cette fois-ci, dans les yeux : - Bon, j'ai du travail. Je vous laisse. N'hésitez pas à vous mettre à l'aise. Il se retourne pour repartir au fond du parc et je profite une nouvelle fois avec plaisir de sa magnifique paire de fesses musclées ! - Merde ! Tu as vu ça, Luc ? Il a un joli petit cul ! - Ahah, tu te montres vraiment de plus en plus coquine... Je ne peux pas m'empêcher d'admirer ces magnifiques fesses musclées. Luc vient s'asseoir sur le rebord du bassin, les pieds dans l'eau, et se moque de moi : - Attention, ma chérie, je crois que tu baves... - Tu parles, je mouille, oui ! Je me hisse sur le bord de la piscine pour profiter du spectacle avant que le splendide séant de Joann disparaisse derrière un bosquet. Je me retourne vers mon Luc : - Tu vois, il semble habitué au naturisme, lui. Il ne se met pas à bander dès qu'il voit une paire de nichons. - Ah là, on peut dire que je manque cruellement d'expérience. Tu m'as donné une gaule terrible à discuter avec lui les seins à l'air. - Je vois ça. Toi, tu réagis positivement à mes seins. - Alors qu'est-ce qui fonctionne chez moi qui ne fonctionne pas chez Joann ? - C'est curieux, car hier, quand il est resté à profiter de mon décolleté, il bandait bien. - Peut-être la situation ? Il a peut-être l'habitude de voir des nanas topless dans cette piscine. - Ou bien il se contrôle parfaitement. - Ce serait balaise... Et il aurait délibérément exhibé son érection hier ? - Oui pour voir ma réaction... - Moi, je ne contrôle rien... Je crois que c'est toi qui contrôles mon érection, ma Juju. - Ah oui ? Fais-moi voir un peu ça. Je lui sors son membre tendu. Quand j'extrais la bête, Luc a un frémissement : - Tu n'attendais que ça, pas vrai, petit pervers... oups, pardon : épicurien. - Je l'espérais, mais c'est tellement meilleur que ce soit de ton initiative. Je penche la tête pour lui téter le gland. On pourrait faire cela en silence, mais Luc se sent obligé de m'encourager : - Mmmmmm, tes lèvres sont du velours... Je saisis la tige et la masturbe doucement tout en déposant un baiser sur ses bourses. Nouveau frémissement. Je décide de lui lécher les testicules, pour voir. Quand ma langue caresse ses bourses, il frémit encore. Je crois avoir découvert un point sensible et il me le confirme : - Oh putain, c'est bon ça ! J'embouche le paquet et aspire en faisant tourner ma langue autour. - Oooooh, diablesse, tu vas m'avoir. Dans le mille ! Je viens de découvrir une caresse qu'il semble particulièrement apprécier. Je sens qu'il est sur le point de jouir. Je m'interromps, espérant faire durer encore la séance. Je ralentis ma masturbation pour le maintenir bien raide sans qu'il éjacule. - On dirait que ça te plaît. - Putain, oui ! Où as-tu appris ça ? - Initiative personnelle. Expérimentation. - Stoooop ! Je... Oh merde... Je comprends qu'il n'a pas réussi à se retenir. J'enserre la base de son membre alors qu'il est pris de convulsions. La pression semble trop forte et du sperme parvient à s'échapper, s'écoulant doucement le long de sa hampe et sur mes doigts. - Oh, ça manque cruellement de contrôle, ça, Luc. Alors que je relâche la pression, pensant que la plus grande partie était déjà sortie, je reçois au menton une puissante giclée de sperme, qui me fait prendre conscience que c'est loin d'être terminé. Il se cambre pour tendre son sexe vers moi, tout en râlant comme un pendu : - Haaaaaaaan... Haaaaaaaaan... Je le prends en bouche, presque instinctivement et je serre bien les lèvres autour de la colonne turgescente pour accueillir le reste de sa semence. Il y en a plus que prévu. Beaucoup plus. Je n'ai pas envisagé de l'avaler, mais comme l'éjaculation semble ne pas se tarir, je me vois dans l'obligation de déglutir pour faire de la place. Quand Luc semble enfin vidé, il retombe allongé en arrière sur le bord de la piscine et lâchant un profond soupir. Je me redresse, heureuse : - J'adore quand tu perds le contrôle, mon chéri. Il met un peu de temps à reprendre son souffle et finit par me répondre : - Je n'ai rien pu faire. C'est toi qui m'as fait perdre le contrôle. Je te l'ai dit, tu as un contrôle total sur moi. - Tu veux dire que tu es mon jouet sexuel pendant le reste des vacances ? Il rigole, sans répondre. Je pense que l'idée ne lui déplaît pas. Et moi non plus. Je décide de le narguer. Je me redresse et me décale là où le bassin est moins profond pour avoir les fesses hors de l'eau. - C'est dommage que tu aies éjaculé si vite... J'avais d'autres projets. J'abaisse alors ma culotte lentement. Luc se redresse en fronçant les sourcils : - Oh, non. Ne fais pas ça... - Pas quoi ? C'est bien toi qui voulais que je me mette nue, non ? - Oui... - Tu regrettes que je t'aie sucé ? - Bah non. Tu es plutôt douée. Zut, je scotche sur le "plutôt douée" puisque je m'imagine aussitôt qu'il me compare à Angela. Est-ce qu'elle lui a déjà sucé les couilles ? Probablement, une salope comme Angela doit avoir ça dans le sang. Je dois arrêter de penser à elle. - Luc, tu ne me rejoins pas ? - Je reprends mon souffle. Je reprends mes esprits... Bref, je reprends un peu tout. Tu m'as vidé ! - Hihi, j'ai vu ça, oui. - Mais je sais ce que tu veux. Et ne t'inquiète pas, tu auras le droit à un orgasme. - Un seul ? Je sors lentement du bassin, exposant volontairement ma croupe à Luc. - Ah diablesse. Je vais bientôt être en mesure de te donner tous les orgasmes que tu voudras. - Oh, te voilà bien présomptueux ! - Je ferai de mon mieux. - Tu as intérêt parce que tu n'imagines pas à quel point je mouille ! - Si, j'imagine assez bien... Mais il va falloir que tu patientes quelques minutes, Juliette. - Dans ce cas, une douche fraîche me fera le plus grand bien. Je vais ouvrir le robinet de la douche à côté de la piscine. L'eau est tiède, puis plus fraîche. Je me mets sous le jet et profite de sentir l'eau couler sur ma peau. Luc me regarde : - Là, tu vas m'aider à retrouver une forme olympique... - Une simple douche te fait de l'effet ? - Ce n'est pas la douche. C'est toi ! L'eau qui coule sur tes courbes... - Alors, profite... Toujours pour le narguer, je me cambre et lui expose ma croupe. Dans cette position, je pense qu'il voit ma moule et l'eau qui ruisselle dessus. - Et puis, Luc, ne t'en fais pas. J'ai déjà eu un orgasme tout à l'heure sur la plage... - Ah, ne remue pas le couteau dans la plaie ! - Et toi ? Tu ne veux pas venir remuer ton couteau dans ma plaie ? Nous rigolons. - Bah, regarde. Je pense que je suis apte au service, non ? Je me retourne et constate qu'il bande effectivement généreusement à nouveau. - Alors qu'attends-tu pour venir me rejoindre ? - Sous la douche ? - Oui. Ou dans la piscine, si tu préfères ? Mais c'est alors que surgit Joann, toujours totalement nu. On l'avait oublié, celui-là... - Bien, je vois que vous vous êtes enfin décidés. Alors, pas si difficile ? Luc, exposant son membre fièrement en érection, lui sourit : - Non, moi j'aime bien. - Et vous, Juliette ? Je me sens un peu gênée de répondre à des questions intimes au jardinier que je ne connais pas vraiment : - Heu... Oui, c'est agréable. - Excitant, non ? Son regard sur mes seins m'indique qu'il a probablement noté que mes mamelons sont érigés. - Je... non... c'est la douche. Elle est un peu froide. - Ah non, je sais d'expérience qu'elle plutôt tiède. Votre ami semble l'assumer facilement, il ne faut pas avoir honte d'être excitée. C'est une réaction naturelle de vos tétons. - Mais arrêter de mater mes tétons ! Je cache mes seins et me penche en avant. Luc intervient en faveur de Joann qui semble embarrassé par ma réaction : - Juliette, tu exagères ! Joann a vu tes seins tout à l'heure. Il m'a même semblé que tu lui exposais assez facilement. - Oui, mais il n'était alors pas question de mon excitation. - Et alors ? Moi aussi je suis excité et je l'assume. - Toi, je me demande si tu ne serais pas capable de te masturber devant Joann, tant tu es excité. - Effectivement... À ma grande surprise, Luc semble considérer cela comme un défi. Il empoigne son érection et fait coulisser sa main dessus en me faisant un grand sourire. - Tu es vraiment un pervers... - Tu veux dire épicurien ? Joann fronce les sourcils : - Un quoi ? Luc lui répond : - Un épicurien. Quelqu'un qui veut jouir de la vie. Les deux gars me détaillent, considérant sans doute que jouir de la vie passe par moi. - Eh ! Arrêtez de me mâter comme ça ! Luc se défend : - Désolé, ma Juju, tu es tellement excitante. Regarde dans quel état tu me mets... Je saisis la balle au bond : - Toi, oui. Mais pas pour Joann qui semble assez indifférent à mes charmes. Joann réagit : - Oh, Juliette, ne vous formalisez pas. Ce n'est qu'une question de contrôle. Je ne voulais pas vous embarrasser avec mon érection. Cela semblait vous avoir choqué hier, en haut de l'escalier. Et il nous prouve qu'il maîtrise effectivement son érection : je vois son sexe gonfler, se tendre et se dresser. Magnifique. Joann sourit en voyant mon trouble : - Juliette, ça vous choque ? Ou bien vous êtes à l'aise avec ça. - Disons que ça ne me choque pas, mais je ne suis pas vraiment à l'aise non plus... - Et qu'éprouvez-vous de cette situation ? Je n'en reviens pas. Il est jardinier ou psychologue ? Comme je tarde à répondre, c'est Luc qui le fait à ma place : - Je crois que ça l'excite, si j'en juge par ses mamelons et son regard sur vous. - Luc ! Tu exagères ! Je leur tourne le dos pour qu'ils arrêtent de se servir de mes mamelons érigés comme argument pour me faire admettre que je suis excitée par leurs érections. - Oh, ne te fâche pas, ma Juju. C'était pour rire. J'attrape une serviette et commence à me sécher, mal à l'aise d'être nue entre ces deux hommes en érections. Immanquablement, je ne peux qu'assimiler cette situation à celle d'Angela. - C'est bon, je vais aller préparer le repas. Il est déjà tard. Bien sûr, Luc négocie. - Allons, Juliette. Reste un peu. Je m'en occuperai après du déjeuner. - Après quoi ? - Je ne sais pas, on discute. C'est intéressant de partager avec Joann ce qu'on ressent à faire du nudisme, non ? - Eh bien, discutez-en et tu me feras un résumé pendant le repas. Je souris en imaginant Joann et Luc parler quéquette tous les deux et s'autocongratuler sur leurs érections respectives. Évidemment que ma présence féminine est indispensable à cette discussion puisque la finalité est de parler de choses excitantes pour faire monter la tension. Me voyant pousser la porte de la villa, Luc exprime sa déception : - On a l'air de quoi nous ? - De deux mecs à poil au bord d'une piscine ! |
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Le mois de décembre commence doucement... Le froid semble nous saisir, mais il nous reste les histoires pour nous réchauffer le cœur et entre les cuisses ;) Merci à Camille et Boris de continuer à faire vivre le site avec cette histoire toujours aussi palpitante et excitante (et merci à Parker au passage aussi). Rencontrera-t-on Angela à la fin de ce séjour ? |
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et entre des grosses boules :) |
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The Good Place - Episode 14 La nuit de Julien a été très agitée et, pour la première fois, ce n'est pas un rêve issu de sa vie passée qui l'a visité mais un cauchemar généré par les évènements de la veille. Tout avait pourtant bien commencé dans ses songes puisqu'il observait, en voyeur assumé, Dakota s'amuser avec une autre fille. L'âme sœur de Julien léchait avec gourmandise la chatte de cette inconnue et le regardait avec passion et, aussi, une pointe de provocation. Dakota était clairement joueuse et s'amusait à s'exhiber devant un Julien impuissant, incapable d'interagir, avant de retourner batifoler avec cette belle inconnue. A mesure que la frustration de Julien grandissait dans son rêve, la scène évoluait. Dakota était à présent avec non pas une mais deux femmes et le ravissant trio s'apprêtait manifestement à bien s'amuser. Mais, détail étrange, les cheveux de Dakota étaient différents, passés du blond au brun auburn. Le jeu des trois filles était loin d'être sage. L'une d'elle avait manifestement décidé de s'amuser avec l'anus de ses deux partenaires dont Dakota. Celle-ci se faisait goder le derrière sans ménagement et semblait adorer cela. A nouveau, Julien ne pouvait qu'assister à la scène sans pouvoir intervenir. Le cul de Dakota est le centre de toutes les attentions et les deux autres femmes s'amusaient à le pénétrer dans toutes les positions. L'âme sœur de Julien gémissait bruyamment sans que celui-ci n'arrive à savoir s'il s'agissait de plaisir ou de douleur... Cette sensation d'impuissance avait, à nouveau, fait évoluer le rêve vers quelque chose de bien plus sombre. Dakota était dans une rue déserte, en pleine nuit et son apparence avait encore changé. Elle avait les cheveux gris violacés, des yeux profonds et sombres et elle fumait. Un détail qui embarrassait beaucoup Julien car au bon endroit, surtout lorsqu'on est ancienne addictologue, on ne fume pas ! Dans ce rêve devenu cauchemar, l'ambiance était glauque et Dakota regardait Julien sans lui prêter attention, se contentant de marcher dans une direction inconnue et de fumer. Ses yeux étaient de plus en plus sombres et le corps de Dakota était plus maigre, plus tatoué. Elle avait l'allure d'une camée, se dira Julien plus tard après son réveil. Une allure presque... démoniaque. Mais Julien n'en a pas fini avec le glauque ! Son rêve se développe et la scène évolue. Il voit Dakota, toujours à l'apparence si anormale en pleine action avec un homme qui n'est manifestement pas Julien vu la couleur de sa peau et la taille de son membre ! Elle le suce avidement et enfonce cette énorme queue dans son gosier pendant que l'homme lui titille l'anus. Puis, après avoir joué avec le petit trou de Dakota, l'inconnu, à l'allure humaine mais avec une voix très grave, très profonde, presque démoniaque là encore, saisi Dakota et l'empale directement sur sa queue en pénétrant sans ménagement son anus. Dakota se fait enculer brutalement mais n'est que très peu active. Elle regarde simplement l'énorme bite de l'homme disparaitre dans son fion puis réapparaitre dans un rythme infernal, en gémissant bêtement de plaisir. Ses mots sont à peine articulés et elle se comporte presque comme une possédée. Elle gémit, tire la langue, bave et louche au rythme de l'homme qui lui ravage le cul. Le corps de Dakota dans ce cauchemar est maigre et recouvert de tatouages. Mais il est également porteur des traces de l'intense baise en cours. Les seins et les fesses de Dakota sont marqués par les pincements et les claques que l'homme à la voix de démon lui inflige sans que cela ne semble la gêner. Surtout, ce corps est déformé par la bite monstrueuse qui, lorsqu'elle change de trou, laisse derrière elle un orifice béant, grand ouvert. Le cauchemar a duré bien trop longtemps au gout de Julien qui, dans son sommeil, s'est retourné à de multiples reprises, en sueur. Après de nombreux changements de trous et des gorges profondes brutal, le ravage de Dakota se termine par une éjaculation faciale massive qui recouvre sa peau et rempli sa bouche. Mais la jeune femme, à l'allure toujours aussi déroutante, ne se contente pas de se faire recouvrir. Elle avale goulument la semence de l'homme en récupérant tout ce qu'elle peut sur son visage et en faisant cela, elle regarde Julien dans les yeux. C'est ce regard, à la fois provocateur, soumis et vide de sentiment qui réveille Julien, en sueur. Ce cauchemar, horrible, laisse Julien bouleversé en ce début de journée. Et il lui donne un sentiment de trahison de la part de Dakota alors qu'il sait pertinemment que cette dernière n'y peut rien. Alors qu'il envisageait d'aller voir son âme sœur aujourd'hui pour parler avec elle, obtenir des explications sur ce qui s'est passé hier et se rabibocher, Julien estime qu'il est préférable d'attendre encore un peu, de peur que sa rancœur ne gâche cela. Il décide donc d'éviter Dakota aujourd'hui et préfère se concentrer sur son travail, c'est-à-dire... pervertir le quartier et sauver sa peau ! Sa mission du jour, si son plan fonctionne comme il le souhaite, est de pousser Julia dans les bras d'Asa après avoir, hier, préparé le terrain. Cette victoire serait pour Julien un élément crucial dans la stabilisation de sa situation au bon endroit car elle lui offrirait le soutien inconditionnel d'Asa et, accessoirement, une belle maitresse en plus. Souhaitant d'abord s'assurer que la discussion entre Julia et Dakota puis la séance de sexe lesbien qui a suivi ont portés leurs fruits, Julien se rend directement chez l'architecte. En entrant dans le bureau, Julien découvre Kaylin à son bureau en train de ranger des dossiers. - Bonjour Kaylin, tu travailles aujourd'hui ? Je croyais que ce serait au tour de Linda d'assurer le poste. - Bonjour Julien. Oui c'était au tour de Linda normalement mais a priori, sa soirée a été chargée hier et elle avait besoin de repos ce matin. Elle a fait des heures supp' ? - Oh oui ! répond Julien en souriant à Kaylin. Elle a eu une grosse soirée en effet et aura au moins besoin de sa journée pour s'en remettre... - Ils étaient combien ? demande alors Kaylin en ayant très bien compris en quoi avait consisté le travail de Linda. - Cinq, je crois... Mais il est possible que d'autres résidents aient rejoins le groupe par la suite. - Ah oui quand même... - Voilà ! Julia est là ? - Oui, dans son bureau. A plus tard, Julien. - A plus tard. Julien passe l'accueil de Kaylin et entre dans le bureau de Julia après avoir frappé à la porte. Julien la découvre vêtue d'un magnifique ensemble de lingerie noire. Julia tourne la tête vers la porte et salue le jeune homme. - Bonjour Julien ! - Bonjour Julia... Tu es bien joyeuse... - Oui ! Je m'amuse depuis hier à essayer de nouvelles enveloppes pour moi, j'adore ça ! - Des enveloppes ? - Des corps, si tu préfères. Je change d'apparence en essayant de voir si je ne pourrais pas ajuster mon enveloppe extérieure à la nouvelle ambiance qui règne dans le quartier. - Ok... d'ailleurs là, on dirait qu'il s'agit de ton corps numéro 2, enfin, pas celui de d'habitude. - Exact ! Tu deviens observateur... Je l'ai ressorti du placard, si je puis dire, après avoir essayé plein d'autres versions. Tu veux les voir ? - Heu, je venais pour te parler d'un truc mais ça peut attendre. Vas-y, montre-moi les autres versions de toi ! - Formidable ! Bon déjà, j'ai commencé par me demander ce qui plaisait aux résidents dans mon corps « classique » en regardant mes bases de données humaines. J'ai pris les critères les plus récurrents et j'ai poussé les curseurs un peu plus loin. Et voilà ce que ça donne. Sous le regard médusé de Julien, le corps de Julia se met à se transformer de manière progressive, presque naturelle, avec sa peau qui se déforme harmonieusement, ses traites qui changent et ses vêtements qui se transforment. Apparait alors une femme que Julien aurait pu caractériser de stupide bimbo s'il ne s'agissait pas en réalité d'un être tout puissant... Julia avait l'apparence d'une blonde peroxydée, à la poitrine exagérément siliconée, au ventre artificiellement plat et aux fesses artificiellement rebondies. - Houlà ! Ça change ! commenta Julien en essayant d'être poli. - Oui, n'est-ce pas... Tu aimes ? - Je peux être honnête ? - Que peux-tu être d'autre ? Le mensonge n'est pas spécialement bienvenu dans le quartier, Julien.... - Évidemment, je voulais dire être franc, sans que ça te vexe, se rattrape alors Julien en essayant de gommer sa bourde. - Vas-y ! - Je trouve que c'est trop. Trop artificiel, trop poussé. Ton corps d'avant était plus vrai, avec certains défauts, certes, mais dans un ensemble harmonieux et franchement plaisant à regarder ! Là, on dirait une... - Une bimbo ? Oui, je sais, c'est ce que mes capteurs d'apparence laissent entendre. Le taux de compatibilité visuel avec un humain mâle moyen est correct mais avec mes résidents, il est assez faible en réalité. Je suis d'accord avec toi que ce n'est pas concluant. Et c'est pour cela que j'ai revu mes critères à la baisse, sauf deux qui me semblaient important : l'âge et la taille des seins. Le corps de Julia change alors à nouveau sous les yeux de Julien et c'est une déesse d'un autre niveau qui apparait. Une femme plus jeune, plus naturelle en apparence, bien plus jolie que la précédente et, surtout, avec une énorme paire de seins. Une paire de seins à la taille démesurée, même d'après les critères de Julien. Et pourtant des seins qui se tenaient à peu près et exerçaient un réel pouvoir de séduction sur le jeune homme. - Julia, tu es superbe dans ce corps, c'est clair. Mais je crains que tu n'aies poussé le bouchon un peu loin sur la taille des seins. Je les trouve personnellement un peu gros et je pense que la plupart des résidents seront de cet avis. - C'est vrai que tu dois aimer les petits seins, vu que Dakota a été désignée comme ton âme sœur idéale. Alors, j'ai une version avec des seins un peu plus petits, regarde. Un nouveau corps apparait, avec en effet une poitrine plus petite bien que encore d'une taille plus que respectable. La fille devant Julien est une bombe, clairement. Mais ce n'est plus Julia, plus du tout. - Julia, tu es... superbe. Absolument superbe. Et je peux te garantir que ton taux de compatibilité avec la plupart des résidents sera exceptionnel. - Il l'est, en effet. Je suis très contente de ce corps ! - Oui mais, ce n'est plus notre Julia, notre architecte. Tu n'as pas 25 ans sous cette apparence. - J'ai 3500 ans d'existence, je te signale ! Et je ne suis pas si vieille comparée à certains collègues. - 25 ans en âge humain, Julia. Tu as l'air d'une jeune femme sortie du lycée ! Je ne suis pas sûr que les résidents te voient toujours comme notre cheffe toute puissante. - Oh, tu n'es jamais content on dirait, Julien. Je t'apparais dans une forme superbe, et tu n'es ni satisfait ni attiré ! - Oh si, je suis très attiré par ce corps, je t'assure. Simplement, je pense que ce qu'on cherche en toi, c'est aussi une certaine maturité. C'est toi-même qui m'avais dit que ton corps avait été choisi d'un certain âge pour représenter une figure rassurante... - C'est vrai... Bon, j'essaie une autre enveloppe. Je garde tous les critères physiques en l'état et je me rajoute une quinzaine d'années. Tu valides ? - Allez, on essaie. Le résultat de l'expérience dépasse alors toutes les attentes de Julien. L'architecte apparait sous la forme d'une femme superbe, d'un âge idéalement choisit entre la Julia de base et la précédente apparence. Sa poitrine est grosse mais pas trop. Son corps est magnifique. La MILF dont pourrait rêver n'importe quel homme. Un taux de compatibilité de 100 % à coup sûr ! - Whoaa, c'est fabuleux. Je n'ai... rien à dire. C'est parfait. - C'est vrai ? Pas de remarque ? Même pas sur la taille de ma poitrine, répond sarcastiquement Julia qui, aussitôt, révèle son énorme paire de seins. - Non, pas de remarque. Tes seins sont... beaux, gros, naturels, parfaitement dessinés... - Bien... et mon sexe ? Regarde bien mon sexe, tu as sans doute une objection quelconque... Julia retire alors son string et expose sa magnifique chatte sous le nez de Julien qui ne peut qu'admettre que, là encore, le résultat est parfait. - Par tous les architectes titulaires, j'arrive à satisfaire Julien ! Je n'y croyais plus ! s'exclame alors Julia. - J'ignorais que tu maîtrisais à ce point le sarcasme, Julia. C'est quelque chose de compliqué, même pour un être tout puissant comme toi ! - Je sais, je m'entraine avec toi car je sais que je peux me permettre bien plus de chose devant toi que devant un autre résident. - Ça me touche... répond Julien sans être certain que ce compliment ne cache pas une remarque plus profonde et potentiellement plus dangereuse. - C'était sincère, cher Julien. Au fait, tu voulais me parler de quelque chose ? - Ah oui. C'était à propos de votre conversation avec Dakota à propos des relations homosexuelles. Je voulais savoir comment ça s'est passé. - Oh, formidablement. Nous avons abordé le fait que certaines résidentes (mais j'imagine que c'est le cas également pour des résidents) rencontraient des difficultés à s'épanouir sexuellement et sentimentalement avec un partenaire du même sexe. Et j'ai convenu qu'il était évidemment hors de question qu'un tel mal-être perdure au bon endroit ! - Evidement. Mais... comment dire... j'ai l'impression que ton corps revient à la normale, Julia. En effet, la femme nue, jambes écartées, qui était devant Julien avait repris l'apparence que le jeune homme, ainsi que le reste du quartier, avait toujours connu. - Ah, c'est normal, ma toute dernière apparence, celle qui t'a tant plu, est trop récente, pas assez stable. Mon apparence de base reprend spontanément le dessus, surtout si je ne me concentre pas. - Ah ok... Mais tu pourras reprendre la forme précédente à l'occasion ? - Oui, et même durablement si nécessaire. On dirait que monsieur aimerait bien essayer en profondeur ce nouveau corps ! - Oui, en effet ! Mais nous verrons cela une autre fois... Tu disais que tu souhaitais que ce mal-être disparaisse ? - Evidemment et j'ai pu par ailleurs découvrir grâce à Dakota que le sexe lesbien pouvait être aussi bon que le sexe hétérosexuel. - Oh ? Tu as... couché avec Dakota ? - Oui et c'était fabuleux ! Elle ne t'a rien dit ? J'espère que cela ne te dérange pas. - Elle a évoqué une discussion « poussée » mais je n'avais pas compris à quel point ! Et non, il n'y a aucun souci, nous avons de toute façon des rapports toi et moi, il n'y a donc pas de raison que Dakota ne profite pas également de tes talents ! - Je dirais plutôt que c'est moi qui ai profité des siens ! Dakota est extrêmement douée lorsqu'il s'agit de faire jouir une femme... Rien que d'y penser, je sens ma production de cyprine monter en flèche, ajoute Julia en caressant son sexe en effet humide. - Oui elle est très douée, je le sais ! Et pas que pour faire jouir des femmes ! Du coup, je suppose que les résidentes lesbiennes ou bisexuelles n'ont plus de souci à se faire et trouver dans le quartier la même liberté que les hétéros ? - En effet, idem pour les hommes évidement. - Bien sûr. Au fait, je pense que tu es toi-même bisexuelle, Julia, vu la plaisir que tu as pris hier avec Dakota. - En réalité, comme pour le reste de mes capacités, je suis tout à la fois. Hétéro, homo, bi, qu'importe du moment que cela peut améliorer la vie de mes résidents. Simplement, je découvre cela progressivement. - Du moment que le quartier fonctionne bien ! - Tout à fait ! Soudain, Julia cesse les caresses qu'elle continuait de se faire doucement au niveau de son clitoris et se dirige vers une pièce au fond de son bureau en attrapant une serviette au passage. - Si ça ne te dérange pas, je vais attendre Asa qui doit venir me masser. Elle doit arriver d'un moment à l'autre. Julien sait alors qu'il a un coup à jouer mais doit d'abord aller voir Asa pour lui parler. Mais il est également bien excité par tous les corps de femme différents qu'il vient de voir et par le comportement de Julia. Cédant, une fois de plus, à l'excitation plutôt que de jouer la prudence, il suit Julia dans la pièce attenante au bureau. - Tu avais encore besoin de quelque chose, Julien ? demande Julia assise sur un rebord carrelé de cette pièce ressemblant à une salle de bain. - Oui... je voulais te demander un service... - Je vois... dit alors Julia en faisant tomber sa serviette et en écartant les jambes. Tu as envie d'une partie de jambe en l'air ? - Oh, je crains de ne pas avoir le temps pour une partie de jambes en l'air... Et pourtant j'en ai envie ! Par contre, j'aimerais beaucoup que tu reprennes l'apparence d'un des modèles que tu as essayé tout à l'heure. - Mmhh tu aimerais revoir la dernière version, celle qui t'a tant plus ? Julien pose alors la main sur la poitrine de Julia et, tout en la caressant, répond : - A vrai dire, j'aimerais revoir le deuxième modèle, celui où tu avais une énorme poitrine... Julia prend alors une mine contrariée et repousse Julien en se masquant les seins : - Je croyais que c'était trop ? Et que tu préférais les petits seins ? Comme ceux de ton âme sœur... Et du coup, les miens ne te plaisent pas tant que ça en fait ! - J'aime les petits seins, c'est vrai. J'aime aussi les moyens et les gros. Et les tiens, évidemment. En fait, j'aime tous les seins ! Mais je n'avais jamais vu de poitrine aussi grosse tout en étant aussi ferme. Sur terre, ce genre de chose n'était possible qu'avec du silicone. Je suis donc très curieux de les voir à nouveau. - Mouai... admettons, répond Julia, toujours avec un bras qui masquait sa poitrine, comme pour signifier sa contrariété. Tout en gardant son bras en position, Julia se fige et commence sa métamorphose. Ses traits se lissent progressivement et son visage semble rajeunir de plusieurs années à chaque seconde. La peau de son ventre se retend et s'aplatit. Ses seins, évidemment, gonflent de manière impressionnante et Julien pense à un moment que l'expansion de s'arrêtera jamais. La serviette qui était au pied de Julia se matérialise sur la tête de la, à présent, jeune femme blonde, et lui maintient les cheveux en hauteur pour bien lui dégager la poitrine. - Et voilà ! commente alors Julia en observant avec envie la bosse déformant le pantalon de Julien. - Tu sais que tu me tortures, là ? Et que ce n'est pas très « bon endroit » comme attitude ? répond, avec une pointe de défi, Julien. - De la torture ? Oh, tu parles de mon bras cachant mes seins ? Je t'assure que par rapport à ce que font subir mes collègues à tes congénères au mauvais endroit, ce n'est pas grand-chose ! Mais... soit... Avec un air d'une princesse accordant une faveur à un prétendant, Julia se tourne de côté et décale sa main de manière à ce qu'un de ses seins soit en grande partie visible avec seulement le téton encore caché par ses doigts. - Ahhrrr tu es diabolique, Julia ! Le regard de l'architecte se pose alors sur Julien. Ses yeux sont sombres et glaciales, son visage est fermé. Le temps semble comme suspendu... Un minuscule rictus déforme sa lèvre supérieure et lui donne un semblant de sourire parfaitement malsain. Julien avale sa salive en se disant qu'il a sans doute franchi une limite qu'il n'aurait jamais dû ne serait-ce qu'approcher. Puis soudain Julia reprend son sourire habituel et répond, comme si cet instant de tension extrême n'avait jamais eu lieu : - Diabolique ? Non, je suis angélique ! Bureaucratique et procédurière, certes, mais angélique. D'ailleurs regarde... Julia lève alors ses doigts et révèle son téton, jusqu'alors dissimulé. Le sein, enfin découvert est aussi gros que beau et il fait se dissiper le malaise qui venait de s'installer dans la tête de Julien. - C'est magnifique ! finit-il par commenter après de longues secondes de contemplation. - Tant mieux. Je pourrai ressortir ce corps pour que tu t'amuses avec... si tu es sage ! Et maintenant file, Asa ne va pas tarder et je ne veux pas qu'elle me voit dans cette nouvelle enveloppe. Cela fait 500 ans qu'elle est habituée à la version classique ! L'évocation d'Asa fait revenir Julien à la nécessité d'agir vite pour que son plan se concrétise. Il salue Julia et sort de son bureau avec l'intention d'aller au salon de massage d'Asa avant que celle-ci ne parte. Le destin, à nouveau, décide de placer un objet de tentation supplémentaire pour Julien. En effet, Kaylin, qui était sagement assise à son bureau il y a encore peu de temps, et à présent à quatre pattes sur ce même bureau en train de sucer un résident. Elle regarde, la bouche pleine, Julien qui s'approche en lui faisant un clin d'œil et en remuant ses belles fesses bien tendues. Julien sait pertinemment qu'il ne peut pas se permettre d'arriver en retard chez Asa. Il se contente donc de saluer le résident, de féliciter Kaylin pour son professionnalisme et pose une main sur son cul tendu pour le caresser. Du bout du doigt, il frotte le sexe de l'assistante au travers de sa culotte et enfoncer une phalange dans un vagin déjà trempé et bouillant. Kaylin gémit de plaisir et il faut la plus grande des déterminations et une volonté de fer pour ne pas céder à la tentation. Il retire son doigt, souhaite une bonne journée au résident et sort du bureau de Julia pour se rendre chez Asa, à quelques pas de là. Il entre dans le salon de massage géré par la belle asiatique et découvre celle-ci en sous-vêtement, en train de mettre sa blouse. - Bonjour Julien, si tu viens pour un massage, je suis désolée mais je dois aller chez Julia. - Je sais et c'est pour cela que je viens te voir. Je pense qu'aujourd'hui, tu vas pouvoir t'envoyer en l'air avec Julia ! - Pardon ? - Je t'explique... Julien revient alors sur les évènements de la veille après avoir discuté avec Asa, comment il a convaincu Dakota de jouer les frustrées du point de vue des relations lesbiennes, comment elle a discuté de ce problème avec Julia en lui faisant comprendre que certains résidents n'étaient pas aussi heureux qu'ils pourraient l'être et comment le sexe lesbien pouvait être jouissif (Julien ne donne que peu de détail sur cette partie pour ne pas énerver Asa, se contentant d'allusions). Puis il évoque sa conversation récente avec Julia et, enfin, aborde son plan pour qu'Asa mette enfin Julia dans son lit. - C'est très impressionnant, commente Asa, l'air visiblement emballée. - Tu crois vraiment que ça peut marcher ? ajoute-t-elle. - Oui, si tu suis mon plan, si tu montres clairement à Julia que tu es malheureuse. - Ce plan implique du mensonge.... Elle va sans doute s'en apercevoir. - Je ne pense pas. Depuis que je suis arrivé ici, je passe mon temps à mentir pour m'en sortir et transformer ce quartier en baisodrome géant. Soit Julia ne détecte pas les mensonges soit elle décide de les ignorer pour sauver le quartier. De plus, dans ton cas, tu souffres réellement de cette situation, de cette frustration. Elle verra ta peine qui est réelle et sincère et ne verra pas le bobard qu'on a construit autour. Va chez elle, masse là, laisse la te raconter sa soirée et ses récente découvertes puis fais comme je t'ai dit. Tu verras. - Ok Julien, je te crois, c'est parti ! Julien salue donc Asa et se dirige vers la porte de sortie quand la jeune femme le rappelle. Il se retourne et la découvre alors de dos, entièrement nue. - Ton investissement pour résoudre mon problème me fait réellement plaisir, Julien, dit-elle en s'approchant de sa table de massage. Elle grimpe alors sur les coussins en cuir et se place à quatre pattes, le cul tendu vers Julien. La vue sur sa chatte et son anus est parfaitement dégagée et Julien se demande alors s'il s'agit d'une invitation. Asa tourne la tête vers lui et dit : - Je sais que tu as très envie de me ravager, à cet instant présent. Et je sais que tu es un des rares résidents à ne pas avoir pu s'amuser avec moi ces dernières semaines. Je m'aperçois à présent que c'était sans doute un peu dur de ma part. - Côtoyer une bombe comme toi au quotidien sans pouvoir en profiter n'a pas été simple tous les jours, en effet. - Je sais. Mais si, aujourd'hui, je couche avec Julia, tout va changer. Et je le souhaite de tout cœur... - Ah ? - Oui... Vois-tu, j'ai eu à masser plusieurs de tes conquêtes ces derniers jours. Des femmes comblées, ne tarissant pas d'éloges concernant tes performances mais ayant le plus mal à se remettre physiquement des séances de sexe avec toi. Elles m'ont dit que tu étais une bête lorsque tu le voulais... - J'admets y aller un peu fort, parfois. - Ne te méprends pas ! Toutes ces histoires m'ont excitées comme jamais. Ce cul, tendu, qui est sous ton nez sera tout à toi si ton plan réussit. Si ce plan marche, tu pourras me faire tout ce que tu veux, quand tu veux. Et j'ai été la geisha d'un seigneur de guerre et de ses généraux : j'en ai vu des vertes et des pas mures ! - Alors... croisons les doigts pour que ça marche ! Et je peux te garantir que tu ne vas pas être déçue car, ce que t'ont raconté toutes ces femmes à mon propos, ça n'est que la face immergée de l'iceberg. Avec elles, je devais me retenir, mais toi, tu auras la vraie version de moi. - Bordel, tu me rends dingue ! Tu sais... si tu insistes... on pourrait... - A plus tard, Asa, tu as un rendez-vous important qui t'attend ! la coupe alors Julien qui, sachant sa victoire proche, préfère faire monter la pression et l'envie chez la belle asiatique. Il sort du salon de massage puis se dirige vers chez lui en sachant qu'il lui suffit à présent d'être patient. A suivre... |
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Bon soir tout le monde, Voici un nouvel épisode de The Good Place ! Bonne lecture |
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Merci Legul :) De notre côté, on vous propose un nouvel épisode pour "Angela"... Voilà une fin d'année qui reprend un peu d'activités ! |
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Angela - épisode 11 : Repas sur la terrasse Dimanche 31 juillet 12:54 Chose peut-être étrange, pour le repas, ma pudeur m'interdit de rester nue et, avant d'aller préparer le repas, je monte à la chambre passer une culotte, un soutien-gorge et un tee-shirt léger. Quand Luc vient enfin me rejoindre dans la cuisine, je viens de terminer de préparer une grosse salade niçoise pour le déjeuner. Il s'étonne de ma tenue : - Qu'est-ce qui se passe ? Tu as froid ? - Non. Juste que je ne me voyais ni cuisiner, ni déjeuner à poil. - C'est dommage... - J'ai quand même pris de la lingerie sexy. Tu aimes ? Je soulève mon tee-shirt pour lui montrer ma culotte dont la dentelle permet d'apercevoir ma minette. Luc ne semble pas emballé : - Oui, pas mal, mais j'aurais préféré sans. - Tu vas devoir te contenter de ça jusqu'à la fin du repas. Je n'ai jamais dit que je terminais la semaine à poil. - Non, tu as raison. Il faut faire des pauses. Tu veux que je passe un short ? - Tu fais comme tu veux. Moi ça me va si tu restes à poil. Cela me permet de voir ton... émotion. - Alors toi, tu t'habilles et moi je dois rester à poil ? - Ah non. Tu fais ce que tu veux. Mais te connaissant, je suppose que tu vas chercher à m'exhiber ta queue le plus possible pour me mettre en appétit. Luc sourit : - Tu commences à bien me connaître... Mais tu es tellement habillée que ma queue ne va pas se montrer sous son meilleur jour... - Même avec mon tee-shirt transparent ? - On voit que tu as un soutif en dessous... - Oui, mais regarde : c'est aussi de la dentelle transparente... Je soulève mon haut pour lui dévoiler ma lingerie. Là encore, Luc ne montre pas un grand enthousiasme : - Oui, c'est joli. - Juste joli ? Même pas excitant. - Bah, vois par toi-même. Il me désigne son sexe légèrement gonflé, mais pas du tout dressé. - Effectivement, tu ne sembles pas sensible à ma lingerie... Luc semble presque embêté : - Désolé, ma Juju... Cela étant, je suis d'accord qu'avec toute l'excitation que l'on a subit depuis notre arrivée ici, une pause ne fera pas de mal. - Je suis quand même un peu vexée que ma lingerie te fasse si peu d'effet. - Ce n'est pas ta lingerie, je pense que c'est moi. Je suis certain que si on demande à Joann, il la trouvera très excitante. Il veut que je demande à Joann son avis sur ma lingerie ? Cette remarque m'a tellement surprise que je veux qu'il prenne conscience de ce qu'il vient de proposer. - OK. - Quoi "OK" ? Je sors donc sur la terrasse et pars retrouver Joann qui est en train de passer le râteau sur la pelouse, totalement nu. J'en profite pour admirer son charmant fessier avant de l'interrompre : - Joann ? On voulait vous demander quelque chose avec Luc. Il pose son râteau et se tourne vers moi - Oui ? - Qu'est-ce que vous pensez de ma tenue ? Ma question ne semble pas le gêner et il semble même ravi d'avoir un prétexte pour me détailler. Curieusement, Luc reste en retrait et écoute passivement. Joann finit par me dire : - C'est une tenue très sexy. Le jeu de transparence est très bien choisi. - Pourtant, ça ne vous fait pas bander tellement... - Votre tenue est sexy, mais elle n'est pas coordonnée au contexte. Celle-là, je ne la comprends pas : - Coordonnée au contexte ? - Oui. C'est une tenue qui, à mon sens, est beaucoup trop déshabillée si vous comptez la mettre en public, et à la fois trop habillée pour vos vacances dans cette villa. Je me retourne et vois le sourire de Luc, satisfait de la réponse du jardinier. - Je vois, vous vous liguez contre moi. J'accepte de faire un effort. Sans retirer mon tee-shirt, je passe mes mains en dessous pour dégrafer et retirer le soutien-gorge. Je le présente aux garçons, sachant qu'ils regardent davantage ma poitrine qu'ils devinent par transparence sous le tissu de mon haut. Luc hoche la tête : - C'est effectivement déjà mieux. - Et tu n'obtiendras rien de plus ! - Je suis têtu. - Je sais. Et moi j'ai faim. Allons manger. À la fin de repas, je constate que Luc bande un peu : - Alors ? Il y a aussi des tenues qui peuvent être excitantes, non ? - Oui, j'aime bien deviner tes seins par transparence, surtout quand ils bougent sous ton tee-shirt. Et toi, ça t'excite de me voir bander ? - Regarde. J'écarte les cuisses pour qu'il puisse voir ma culotte un peu humide. Il fait la moue : - Charmant, mais on ne voit pas grand-chose avec cette culotte... - Quoi ? - J'imagine que tu veux me montrer que tu mouilles ? - Oui... ça ne se voit pas ? - Tu veux que j'aille chercher Joann pour lui demander son avis ? Je le sens très sarcastique... - N'exagère pas. Quoique tu en penses, je ne la retirerai pas. Tu vas devoir te contenter de ce que tu vois à travers la dentelle. - Oui, mais c'est toi qui veux me montrer que tu mouilles. Moi je ne vois pas tant que ça à travers la culotte, donc je te le dis. C'est tout. - Ah d'accord. Tu m'informes. Tu n'éprouves aucune frustration à ne pas voir ma minette qui dégouline de mouille ? - Oui, forcément, si tu commences à me parler comme ça, ça ne va pas arranger les choses. - Arranger quoi ? Ta queue que je vois se dresser de plus en plus ? - Oui, je crois que ça m'excite davantage de parler sexe avec toi que de te voir en petite tenue. - Ah ? Donc on ne se regarde plus ? On ne se touche plus ? On se contente de discuter ? C'est une conception très platonique de l'épicurisme, non ? - Tu vas trop loin dans ton interprétation. Parler de sexe ne remplace pas le sexe. On pourrait considérer ça comme un préliminaire, comme l'observation, les caresses... - Mmmmmm, moi, j'ai quand même besoin de caresses, Luc. - Évidemment... Tu les auras, c'est promis. - Et tu hiérarchises, ces préliminaires ? - Je dirais d'abord la discussion, ça fait monter la tension. Puis les jeux de regards et enfin les caresses. - Et là, on peut passer aux regards ? Je tire sur mon décolleté pour extraire un sein et lui exposer, comme si je lui présente le dessert. Nous sommes tirés de notre analyse érotique par la voix de Joann, dans mon dos : - Excusez-moi. Vous avez terminé votre repas ? Luc lui répond : - Heu, oui. - L'un de vous peut me donner un coup de main pour l'arrosage ? Je tourne la tête et vois que Joann présente une érection presque aussi fière que celle de Luc A-t-il entendu notre conversation sur les préliminaires pour être excité ainsi ? Avant que Luc ne réponde, je me lève : - Est-ce que ça nécessite de la force ? - Pas particulièrement. - Alors, j'arrive. Luc va en profiter pour ranger la table. Je suis Joann dans le jardin sous le regard amusé de Luc. Il a vu que mon décolleté bâille sur un sein. Joann ne semble pas l'avoir remarqué. Il me présente un tuyau d'arrosage qui passe sous la haie : - Voilà, je suis en train d'arroser derrière, mais au passage de la haie, le tuyau se plie et bloque l'eau. - Ok, vous voulez que je le soulève pour que ça coule mieux ? Je prends le tuyau et le monte en l'air. Je vois que Joann apprécie ma pose et que son regard s'intéresse plus à mes fesses qu'à la position du tuyau. Il finit par dire : - Heu non, pardon, ce n'est pas comme ça. Vous voyez, ça plie encore davantage le tuyau, au contraire, il faut prendre de part et d'autre du pli pour le forcer à rester droit. Ce n'est pas difficile, mais ça me permettra de terminer l'arrosage de cette partie. - Ah d'accord. Et vous, vous êtes donc de l'autre côté de la haie avec votre tuyau. En prononçant le dernier mot, je ne peux m'empêcher de laisser tomber mon regard sur son membre toujours en érection. Joann voit mon regard et semble un peu gêné. Il tente de forcer son sexe vers le bas, mais sa belle tige est bien trop tendue. - Excusez-moi, Juliette. - Oh ne vous excusez. Il me semble que c'est une réaction bien naturelle, non ? - Oui. Je ne suis pas insensible à votre charme. Il passe de l'autre côté de la haie. - Tant mieux, j'ai cru plutôt que je ne vous motivais pas beaucoup, même en culotte. - Disons que j'arrive parfois à me contrôler vu que ça m'arrive fréquemment de travailler nu. Mais là, c'est quand même difficile. - Mais dites-moi, j'ai une question, peut-être un peu personnelle... À être nu avec des locataires, il n'y a jamais eu de dérapage ? Vous n'avez jamais rien fait avec des locataires ? - Oh, habituellement, ce sont des couples nudistes beaucoup plus âgés. Personnellement, les femmes de soixante ans, même bien conservées, ce n'est pas mon truc. En revanche, j'en ai vu certaine qui se masturbait en me regardant travailler, sans doute attirées par ma jeunesse. - Je peux le comprendre... Je me penche en avant pour maintenir le tuyau d'arrosage droit et l'empêcher de se plier. Dans cette position, je sais que j'offre à Joann une formidable vue sur mes seins nus dans mon décolleté. - Comme ça, c'est bon ? - Oui, parfait ! Le débit est normal. Il pense sans doute que le bas de son corps est bien caché derrière la haie, mais je parviens à voir pas mal de choses. Tandis que je sens son regard qui explore mon décolleté, je vois son sexe se gonfler et se tendre significativement. Tout cela commence à m'exciter passablement. C'est un jeu de voyeurisme particulièrement chaud puisque Joann regarde mes seins en pensant que je ne le vois pas et moi je regarde son érection se former peu à peu. Sait-il que je le regarde ? J'entends alors du bruit derrière moi. Luc, toujours nu lui aussi, a fait une approche discrète par le côté de façon à ce que Joann ne puisse pas le voir. Mon homme est maintenant accroupi derrière moi. Ses chuchotements sont couverts par le bruit de l'arrosage. - Mmmm... Voilà une culotte de dentelle qui semble plus mouillée que tout à l'heure. Tout bas, je lui explique : - Notre jardinier a les yeux perdus dans mon décolleté, et il bande joliment. - Vous êtes donc tous les deux bien occupés. Je ne m'y attends pas du tout : Luc attrape ma culotte et me l'abaisse jusqu'aux chevilles. Maintenant, il est évident que ma fente trempée de cyprine exprime mieux que des mots mon excitation. Luc pose une main sur ma hanche. Je pense qu'il veut me caresser, mais en réalité, il imprime une légère pression pour me déséquilibrer. - Voilà qui est mieux... Je comprends d'où il tire sa satisfaction : pour me rééquilibrer, j'ai dû écarter les jambes, quittant ainsi définitivement ma culotte et exhibant ma vulve au regard de Luc. Toujours murmurant, il commente ce qu'il voit : - Oh, mais c'est que tu mouilles encore plus que je le pensais. Je veux lui dire d'arrêter, mais j'ai peur que Joann ne finisse pas détecter la présence de Luc. Il s'approche derrière ma croupe et je peux sentir son souffle sur ma moule. Luc ne résiste pas longtemps, pour mon plus grand plaisir : - Mmmmm, tu mouilles tant qu'on crève d'envie d'y glisser quelque chose. En l'entendant murmurer cela, je n'ai qu'une envie. Qu'il se relève, se dévoile à Joann, et me prenne en levrette devant le jardinier. Il en a certainement envie lui aussi. Pourtant, à ma grande surprise, Luc reste accroupi derrière moi, et il se contente de glisser son index dans ma fente pour me masturber lentement. L'érection de Joann semble être à son maximum. Je suis très fière que mes seins puissent le stimuler autant. Cependant, je prends soudain conscience que vu la profondeur de mon décolleté, il doit certainement voir bien plus que mes seins. Probablement voit-il mon ventre, peut-être mon sexe et sans doute Luc, entre mes cuisses qui est en train de me câliner les fesses et le sexe. Finalement, c'est un jeu de dupe. Joann sait que Luc est là. Il sait probablement que je regarde sa prodigieuse érection. Chacun offre à l'autre ce qu'il veut voir et fait semblant que ce soit accidentel. J'adore m'exhiber ainsi. Et le jeu commence à prendre des proportions incontrôlables. Sans doute que les mouvements de mon bassin trahissent mon plaisir d'accueillir le doigt inquisiteur de Luc. Je ne le vois pas, mais je suis certaine qu'il bande lui aussi autant que Joann. Je sais que je commence à avoir le souffle court. Joann doit probablement voir mes mamelons s'ériger. Moi-même, je les sens se tendre. Tout cela doit être trop excitant pour le jardinier. Il pose le tuyau d'arrosage au sol, coincé entre deux troncs d'arbustes de la haie, et porte la main à son sexe pour se masturber lentement. Il a les yeux toujours rivés dans mon décolleté. Sans doute voit-il le doigt de Luc quitter ma moule. Sans doute voit-il son menton s'approcher. Sans doute a-t-il perçu mon tressautement quand la langue de Luc s'est insinuée dans ma fente humide. Sans doute a-t-il entendu mon frémissement de plaisir : - Tout va bien, Juliette ? - Oui... J'ai du mal à formuler ma réponse avec la langue de Luc qui me fouille la vulve. - Je... Il faut encore arroser beaucoup ? - Oui, c'est très sec. Tout est bu au fur et à mesure. Et là, nouvelle surprise. La langue de Luc remonte plus haut et s'attarde sur mon petit trou. Il tourne autour et tente parfois de tendre sa langue comme une lance pour se glisser dans l'étroit canal. Là, ce n'est plus un frémissement, mais un terrible gémissement incontrôlable : - Ooooooh ! Joann sait très bien de quoi il s'agit, car il voit tout d'où il est. Toutefois, il continue à jouer le jeu de l'innocence : - Ne vous en faites pas Juliette, c'est bientôt terminé et je n'aurai plus besoin de vous. Est-ce une phrase à double sens ? Parle-t-il d'une prochaine éjaculation suscitée par décolleté ? - Je... Cela ne me dérange pas de vous aider... De l'autre côté de la haie. Joann semble avoir définitivement abandonné le tuyau d'arrosage et s'occupe d'un manche plus court, mais autrement plus large. Je suis fascinée de voir sa main astiquer son membre avec un rythme de plus en plus soutenu. Je soupçonne qu'il soit effectivement sur le point d'éjaculer. Difficile pour moi de me concentrer sur ce spectacle pourtant magique. Luc n'en finit pas de me câliner. Je ne sais plus ce que je veux. Ne pas jouir devant le jardinier ? Me laisser aller et montrer à Joann comment je suis pendant un orgasme ? Finalement, qu'importe ce que je veux : Luc a décidé pour moi. Comment pourrais-je l'arrêter maintenant ? Le voudrais-je seulement ? La honte serait de jouir alors que Joann ne prévoit pas d'éjaculer. Ne pas jouir sera difficile pour moi puisque Luc me prend d'assaut par plusieurs fronts. Sa langue semble toujours chercher à forcer mon passage secret tandis que ses doigts tentent de s'insinuer par la porte principale déjà entrebâillée. Je me laisse aller au plaisir de ces douces intrusions. Mais l'assaut final est soudain donné : la langue insiste sur mon anus ; je sens le majeur me pénétrer profondément, puis me pistonner avec une cadence soutenue. J'y suis. - Hhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! C'est un orgasme. Joann ne peut s'y tromper. Mon corps est pris de spasme. Je perds presque l'équilibre, mais Luc me tient fermement et continue son invasion sans faillir. Je perds presque conscience. Pourtant, j'entends très nettement un râle profond, retenu : - Onhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... C'est Joann qui éjacule, presque synchronisé avec mon orgasme. Je me force à rouvrir les yeux pour voir les longues giclées de sperme venir souiller l'herbe trempée au pied de la haie. Dès que je reprends un peu mon souffle et mes esprits, je me retourne pour voir mon bienfaiteur. Luc s'est arrêté. - Quand un jardinier te demande d'arroser, tu paies de ta personne. Il est à genoux et sourit bêtement. Je sens un long filet de cyprine s'échapper de ma fente et comprends sa remarque. Luc se penche sous ma fontaine et tend la langue et me disant : - Merci, ma Juju... Il recueille le fruit de mon plaisir et remonte pour finalement faire terminer la course de sa bouche sur ma moule et me la sucer doucement, m'arrachant encore quelques soubresauts de plaisir. Je me redresse enfin. Luc s'éloigne déjà, repartant d'où il est venu, comme un voleur. Pourtant, il m'a plus donné que volé. Je regarde au sol derrière moi et ne vois aucune trace. Il ne semble pas avoir éjaculé. Cela m'aurait pourtant amusée. Je le vois réapparaître au niveau de la villa. Son profil ne laisse pas de doute : il est encore en érection. J'entends la voix de Joann et, encore sous le coup de mon orgasme, je me retourne vers lui : - Je crois que ça ira. - Oui, c'est assez mouillé ? - Oh oui, tant qu'assez. Mais, dites-moi, Juliette, vous n'aviez pas une culotte tout à l'heure ? Je prends alors conscience de ma tenue débraillée : mon tee-shirt a glissé de mes épaules et dévoilent mes seins, tandis qu'il est retroussé sur mon ventre, laissant visible mon sexe, heureusement bien nettoyé de sa cyprine par la langue savante de Luc. - Oups, excusez-moi... - Oh ne vous excusez pas. Cette petite séance d'arrosage a été plaisante pour tout le monde, n'est-ce pas ? - Oui, plutôt ! Joann me fait un grand sourire et je peux constater que, malgré son éjaculation, il affiche encore une fière érection. Il voit mon regard fasciné. - Héhé, désolé. Là, je n'ai pas contrôlé... - Tout le plaisir est pour moi... Mais pourquoi je fais cette vanne-là au jardinier qui est à poil devant moi et qui vient d'éjaculer sous mes yeux ? Je me redresse vivement, ne sachant pas trop que penser de ce qui vient de se passer. Un mec presque inconnu s'est masturbé en regardant mes seins et a fini par éjaculer. Mon mec m'a arraché ma culotte et m'a donné un orgasme devant ce presque inconnu. D'où a pu lui venir une telle idée ? Était-ce le genre de jeux auxquels il jouait avec Lionel quand ils étaient avec Angela ? Tiens, je repense à elle, mais après, cette fois-ci. Il y a du mieux. Et si c'est Angela qui a appris tout cela à Luc, il faudra que je la remercie si je la croise. Ces petits jeux ont été du grand n'importe quoi, mais, avec du recul, cela m'a beaucoup excitée et je crois que j'aimerai beaucoup recommencer. Je vais aller aider Luc à débarrasser et à ranger, puis je lui proposerai qu'on retourne à la plage. |
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Offertes - 1- Je suis offerte à un inconnu Cela fait quelques semaines que Vincent me parle d'un homme de notre région qui a envie de soumettre une femme consentante qui ne pourrait rien voir et qui obéirait à tous ses désirs. Ce type de situations m'excite au plus haut point... Je lui fais part de l'excitation que me procure le fait de m'imaginer à la merci d'un inconnu ! Comme à son habitude, après avoir recueilli mon assentiment, il me dit qu'il va s'occuper de satisfaire ce fantasme. Je l'aime, mon chéri ! Il me comprend si bien ! Dimanche matin. Marc s'est levé avant que je me réveille. Je suis humide. Sans doute un rêve coquin de fin de nuit. J'ai une grosse envie de sexe et je vire mon t-shirt pour me présenter toute nue dans la cuisine, histoire de me faire prendre tout de suite. Dans ce genre de situation, mon chéri bande instantanément et me prend immédiatement sur la table ou devant l'évier. Mais là, en riant, il me dit que je vais avoir besoin de garder des forces et qu'il ne me prendra pas, malgré l'envie qu'il a de me baiser. C'est ce matin qu'il va me livrer en pâture à cet inconnu. Mon chéri choisit ma tenue. Il a sorti de l'armoire une parure rose qui met bien en valeur mes gros seins et mes hanches bien larges. Il me tend une jupe qui m'arrive à mi-cuisses et un petit haut qui laisse ouvert de manière qu'on puisse voir le sillon de mes seins. Il termine avec des talons hauts. Il prend un sac dans lequel il a glissé d'autres vêtements... - Tu seras amenée à changer plusieurs fois de tenue... Pour notre plus grand plaisir... Nous montons dans la voiture. Après un quart d'heure de route, il m'aide à sortir de la voiture, après avoir passé sa main sous ma jupe, dans ma culotte. Je suis déjà toute mouillée à l'idée d'être un objet de désir pour un homme que je ne connais pas. Il me tient par la main. Je suis toute émoustillée. Il me fait monter un petit escalier et frappe à une porte. Il me lâche la main pour me mettre un bandeau sur les yeux et il me dit : - Tu fais tout ce qu'il te dit, tu me raconteras tout à l'heure. La porte s'ouvre. J'entends une voix masculine. - Entre. Il me prend par la main, ferme, et j'imagine qu'il me dirige vers une grande pièce. Il retire mon manteau. Me voici debout dans une maison inconnue, n'y voyant rien et à la merci de cet homme. Sans un mot et sans préliminaires, il déboutonne mon petit haut. Je l'entends s'asseoir dans un fauteuil. J'imagine qu'il regarde mon soutien-gorge et mes gros seins qui sont prisonniers. Le fait d'avoir les yeux bandés facilite la création d'images. --- Cela me renvoie à la première fois où j'ai montré mon soutien-gorge à un homme très intéressé par les attributs féminins de sa camarade, la seule à être aussi bien dotée dans le groupe de copains à l'époque. Cet attrait pour l'interdit ! Ce goût pour l'inconvenant qui ne m'a plus jamais quitté ! Ce pouvoir que je sentais naître sur les hommes ! --- Je reviens vers mon mystérieux mateur qui doit prendre le temps de les imaginer tout en sachant qu'il peut me les mettre à l'air quand il le souhaite, ce qui m'excite. Il me demande de me mettre à genoux. Pas très facile avec ma petite jupe très serrée qui laisse voir mes jambes nues. - Approche-toi. Passe ta main sur mon pantalon. Je me place à genoux contre le fauteuil entre ses jambes et je sens son sexe très dur dans son pantalon. Il passe ses mains sur mes épaules et me retire le petit haut en tirant le vêtement par les manches. C'est vraiment très excitant de savoir qu'il peut mater ma poitrine, qu'il choisit de faire comme il veut pour me dévêtir et me soumettre à ses caprices. Il dégrafe mon soutien-gorge et le retire. Me voici à genoux entre ses cuisses, les seins nus. Je sens l'air frais sur mes seins. Il me fait languir, car rien ne se passe. Je sens presque son regard scruter ma poitrine. Depuis toujours les hommes ont été attirés par ma grosse poitrine et ils n'ont qu'une idée en tête lorsqu'ils me voient, c'est de m'imaginer les seins à l'air. --- Encore un souvenir dans ma tête. Celui du premier baiser et du pelotage en règle qui s'en suivit. Me voyant peu farouche, mon premier flirt avait soulevé les bonnets et admiré ma poitrine avant de pétrir mes seins tout nus pour la première fois. J'avais adoré et lui aussi, d'après ce qu'il avait hélas raconté à ses amis, tout fier d'avoir vu les seins d'Ève, la fille que tous les garçons imaginaient nue au moment de se branler. --- - Ton mec m'avait envoyé des photos de tes seins. Quand je les avais vus, j'ai aussitôt bandé. Elles sont vraiment à mon goût tes grosses loches. Branle-moi ! Ce faisant, il prend ma main et la place entre ses cuisses. Il a retiré son pantalon. Je le branle. Lui, il est sans doute en train de mater mes seins. Il a choisi de faire durer le plaisir et de prendre son temps pour me consommer comme un produit dont Vincent lui a fait la promotion. Après avoir fait durer le plaisir, il passe sa main sur mes seins et il les pétrit, me tire les tétons et me caresse la totalité des globes. Cette sensation délicieuse me renvoie encore à mon premier pelotage en règle ! Mes seins n'en durcissent que davantage ! Il me demande ensuite de me lever et de baisser ma petite jupe. Je m'exécute. Ma culotte est le dernier rempart à ma nudité complète. Son regard se porte sûrement entre mes cuisses. Il prend le temps de déguster la vision, retardant d'autant le moment de découvrir le fourreau qui accueillera sa verge. Il me demande de baisser ma culotte, ce que je fais. Hormis mes chaussures et mon masque, me voici totalement nue devant lui. Il m'intime l'ordre de me lever. Il m'admire quelques instants sans doute. J'imagine son regard porté sur mon intimité et mes seins. Je me sens mouiller. Une autre image me revient en tête. --- Je me souviens d'un mercredi après-midi, un copain, beau garçon, m'avait raccompagnée chez moi, espérant sans doute bénéficier d'une faveur de ma part, comme de lui montrer mes seins, ma réputation ayant fait le tour du village. Au moment d'arriver chez moi, je n'avais pu m'empêcher de le provoquer, sachant que j'avais la maison seule pour moi tout l'après-midi. Nous avions discuté des couples qui se formaient et, peu à peu, la discussion avait glissé sur des aveux d'inexpérience nous concernant tous les deux. Je me sentais mouiller et ses yeux brillaient. Sa sœur venait d'accoucher et il m'avait fait part de son étonnement sur le fait qu'un bébé puisse téter de si petites choses (les tétons). J'avais saisi alors la balle au bond en évoquant le fait que nos tétons étaient plus gros que ceux des hommes. En disant cela, je les sentais d'ailleurs grossir sous mon soutif. Il ne savait ou n'osait rien répondre alors je l'avais provoqué. Il n'attendait que cela. - Tu veux voir ? Évidemment qu'il voulait voir ; il était là juste pour ça ! Il avait acquiescé. C'est avec un grand sourire que j'avais défait t-shirt et soutien-gorge. Ce fut Noël avant l'heure pour lui, surtout quand je n'opposai aucune résistance lorsqu'il posa ses mains dessus, pour découvrir sa première paire de seins. Il en eut bien plus ! --- Mes pensées vagabondes sont interrompues par la presque surprise du contact d'une main sur ma vulve. Mon inconnu me donne confirmation de sa curiosité lorsqu'il me demande d'écarter ma chatte. Je sais qu'il pourra faire ce qu'il veut de mon sexe et j'écarte mes grandes lèvres. Je lui montre ce que j'ai de plus intime. - Elle est bien luisante, ta chatte ! Tu es une grosse cochonne ! Ton mec doit être souvent entre tes cuisses. --- Ces doigts qui se promènent sur mes grandes lèvres, qui tirent mes petites lèvres et visitent l'entrée de mon vagin me renvoient à ce fameux après-midi avec mon beau copain qui, sans ambage, après avoir joui de la découverte de mes seins, m'avait avoué n'avoir jamais vu de sexe féminin. Curieuse et pas trop stupide, je lui avais rétorqué que je n'avais jamais vu non plus de sexe masculin. Sans chichi, il avait balancé son pantalon et son slip, me permettant d'observer mon premier mâle en rut. J'étais déjà avide et mes mains avaient parcouru son membre dressé et ses testicules, durcis et recroquevillés. Il avait trouvé cette découverte très agréable, car il s'était brutalement reculé, se pliant presque en deux, je le compris après, au bord de l'éjaculation au simple contact, certes fugace, mais néanmoins inquisiteur. Devant ma réelle surprise face à cette réaction, il m'avait demandé de montrer à mon tour ce dont il retournait entre les cuisses des filles. J'avais très envie de tout lui montrer et surtout que d'autres doigts que les miens lors de mes explorations nocturnes ou sous la douche, me parcourent la vulve. Je m'étais donc débarrassée aussi vite que lui de mon pantalon et de ma petite culotte en coton maculée de mouille. J'avais alors bien écarté les cuisses afin que ses yeux brillants puissent examiner le mystère qui se cache entre elles. Ses manipulations de mon sexe furent des plus agréables et je ne l'ai interrompu qu'au moment où il envisageait de me doigter, alors que seuls mon auriculaire ou un stylo me permettaient, à l'époque, de visiter tactilement mon vagin. J'ai pris sa main pour la poser sur mon clitoris et j'ai saisi sa verge. Il a juste fallu que je le décalotte pour qu'il lâche tout son sperme dans ma main. Souvenir d'un liquide poisseux, collant et blanchâtre, qui ne fut pas impérissable, en tout cas moins que l'extase dans laquelle cet événement avait plongé mon copain. --- Je suis rappelée à la réalité du moment quand, toujours assis dans son fauteuil, mon inconnu me demande de me mettre à genoux au sol entre ses cuisses. Il bande dur. Sa queue n'est pas très longue, moins que celle de Vincent, mais d'un diamètre assez intéressant. - Prends-la dans ta bouche. Après avoir léché son gland, je prends sa verge d'une main à la base. Je le suce un long moment ; je sens sa respiration s'accélérer, il semble apprécier ma caresse. - Ton mec ne ment pas : tu es une bonne suceuse. Il prolonge son plaisir. Ça n'en finit pas, il semble vraiment apprécier de me voir le sucer. - Prends-la totalement dans ta bouche, profondément. Allez, salope, pompe-moi. Tu es une bonne pute. Je le sens bientôt se raidir et il repousse ma tête, proche de l'éjaculation. Il se lève et se dégage de ma caresse. - Mets-toi à genou, grosse salope. Non, pas au sol ! Sur le fauteuil ! Tu as vraiment un cul de rêve ! Écarte un peu plus les cuisses ! Comme sur la photo que m'a envoyée ton mec ! Ça fait une semaine que je me branle dessus tellement ta croupe est bonne à regarder ! Un cul de déesse ! Me voici devant lui, offerte en levrette sur son fauteuil. Je n'imaginais pas que Vincent lui avait envoyé des photos aussi crues de moi. C'est toujours pareil avec les mecs. Dès qu'ils me voient, ils ne rêvent que de deux choses : mettre mes seins à l'air pour bien me les peloter et me mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette. Je suis totalement surprise en sentant sa verge s'introduire dans mon vagin, sans aucun préliminaire. Il commence à venir en moi en me tenant par les hanches. Le fauteuil balance et ça accentue sa pénétration durant les va-et-vient. Je ne peux m'empêcher de commencer à gémir ceci d'autant plus qu'il m'adresse quelques claques sur les fesses. C'est si bon d'être possédée sans ne pouvoir rien faire. Il me tient bien par les hanches et me besogne presque avec brutalité. Ses coups de boutoir me donnent du plaisir. Je suis saillie par un étalon et je pousse des petits cris. Ça claque fort. Je suis presque au bord de l'orgasme. Il alterne rudesse et douceur. Ce sadique s'en aperçoit et se retire. - Tu ne jouiras que lorsque j'en aurai décidé ! Il me met debout puis je l'entends s'asseoir sur le fauteuil. - Viens sur moi, salope. Mets-la dans ta chatte. Allez, active-toi. Fais-moi du bien avec ton fourreau. Je sens le contact de sa peau. Il me tient par les hanches. Je bouge mon bassin pour lui donner du plaisir. Il pétrit mes gros seins durcis tandis que je m'active. J'avance et je recule en même temps mon bassin pour que sa verge frotte bien les parois de mon vagin. C'est bon ! À son tour de souffler. Je le sens presque au bord de l'extase quand il m'interrompt et m'ordonne de me lever. Qu'est-ce qu'il va vouloir faire de moi ? Il me demande de m'allonger, il se met à genoux et me tire par les jambes. Je sens ses cuisses contre les miennes et sa queue posée sur mon pubis. Il m'écarte les cuisses en grand et se couche sur moi pour me prendre en missionnaire sans ménagement pour mon confort, sans aucun effort pour alléger le poids conséquent de son corps. Je me sens être juste un vagin dont il use pour se donner du plaisir en glissant à l'intérieur de moi. Je dois néanmoins bien avouer que c'est très bon, car il ondule du bassin pour bien me labourer. Je recommence à gémir très, très fortement. Après de longues minutes de ce délicieux traitement, il se retire et se remet à genoux puis saisit mes chevilles pour placer mes jambes sur ses épaules. Il me visite profondément de sa queue en faisant basculer mon bassin. Ça déclenche chez moi un gros orgasme. - Sale garce ! Tu as quand même réussi à jouir avant moi ! Me voyant anéantie, il me demande de me mettre à genoux et de le terminer en le suçant. Il me saisit la tête à deux mains et se branle littéralement avec ma bouche. C'est lui qui imprime le rythme ! Après quelques minutes, je manque de m'étouffer, car il éjacule dans ma gorge. Il se retire de ma bouche. - Avale, ma petite pute ! C'est terminé, salope ! Tu peux te rhabiller maintenant ! Il me balance les vêtements et je me rhabille. Il prend ensuite son téléphone : - C'est bon, tu peux venir la chercher. Elle a été bien docile. Elle est vraiment très bonne. Un vrai bonheur à voir, à caresser et à prendre. Je te livre la mienne comme prévu demain. Cette phrase m'excite ! Ainsi, mon chéri, Vincent, va rendre la pareille à sa femme... ! |