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Simon
17 juin 2025
01:13:43
message 36121
Wahoo ! Un épisode généreux :)
Merci, Camille et Boris, on se régale !

Boris
19 juin 2025
19:15:37
message 36122
Merci Simon ! Tant mieux, c'est fait pour :)
Nous voulons par contre vous signaler que nous n'arrivons pas à trouver de temps pour avancer l'écriture (même si le scénario est presque bouclé), car le mois de juin est bien chargé... Donc ne vous étonnez pas si l'épisode suivant tarde un peu ou beaucoup. Si d'autres veulent publier : c'est le moment ! Il ne faut pas laisser le superbe site de Lisa s'endormir ;)

Lisa
19 juin 2025
20:50:08
message 36123


Boris, aucun souci !
C'est déjà admirable d'avoir pu nous régaler avec une régularité de 2 épisodes par mois depuis mi-juillet 2023, soit presque 2 ans !!!
Un grand merci à Camille et toi pour votre investissement et la confiance que vous accordez à mon site.
<3

Boris
1er juillet 2025
00:01:27
message 36124
Finalement, grâce à quelques soirées sacrifiées et à la réactivité de l'ami Parker pour nous relire, un nouvel épisode est prêt pour vous narrer la nuit passée par Juliette entre les bras des trois militaires...
Il s'agit du 1er épisode de la 7e journée... Il ne nous reste donc plus que 6 ou 7 épisodes... :(

Boris
1er juillet 2025
00:02:01
message 36125


Angela - épisode 43 : Nuit sous haute protection

Vendredi 5 août 00:04


Alors que le collyre perd de son efficacité, ma vue revient peu à peu et les formes qui m'environnent commencent à devenir plus nettes. Alors que nous prenons tous une petite pause bien méritée sur le canapé, Lionel est le premier à se lever :
- Bon, c'est une soirée que je ne suis pas près d'oublier. Merci Juliette. Je me rentre et vous souhaite une bonne nuit, même si je crois comprendre qu'elle ne sera que peu dédiée au sommeil pour certaines et certains d'entre vous.
- Merci à toi, Lionel.



- Je reviens dans la matinée avec un ami que je veux vous présenter.
Lionel se rhabille et nous quitte. Luc me raccompagne jusqu'à la chambre, suivi des trois militaires qui ont le droit de dormir avec moi.
- Le lit est king-size, mais à cinq on va être serrés...



Luc sourit :
- Ne me compte pas, ma chérie, je vais dormir à côté. Tu auras assez à faire.
- AH ? J'aurais voulu que tu sois là, quand même.
- Ne t'inquiète pas. Je viendrais sans doute jeter un œil de temps en temps.
- Pervers !



Luc sort et fait un clin d'œil en direction des trois hommes :
- Amusez-vous bien.
C'est un curieux sentiment que de me retrouver seule avec ces trois mecs dont les intentions sont connues et que mon homme cautionne. Épuisée, je m'allonge sur le ventre en attendant qu'ils me rejoignent.



J'ai relevé une cuisse pour leur exposer ma moule, mais, au lieu de venir me rejoindre pour profiter de moi, les gars partent dans des commentaires à mon sujet :
- Quel bol on a, quand même !
- Ouais. Je mène cet entraînement depuis plusieurs années et c'est la première fois que l'accueil est aussi sympa.
Je tourne la tête vers Laurent :
- Sympa ? Juste Sympa ?



Le sergent me sourit :
- Je pensais que vous dormiez, Juliette...
- Je ne vous cache pas que je suis crevée, mais je suis prête à tenir ma promesse.



- Une promesse audacieuse. Vous l'avez déjà fait avec trois mecs ?
- Non. Ce sera une première.
- Et ça ne vous effraie pas ?



- J'aurais tendance à dire que je suis plutôt excitée à l'idée de découvrir ça.
- Vous voulez faire comme Angela dont nous a parlé Lionel ?
Je suis surprise que le sergent fasse référence à l'ex de Luc et Lionel :
- Je ne suis pas certaine qu'Angela ait eu l'occasion de se taper trois mecs.



- Vous voulez donc la surpasser ?
- S'il y a compétition cette nuit, ce serait surtout pour savoir lequel de vous trois me donnera le plus bel orgasme.
Je me retourne sur le lit et, cuisses écartées, je les encourage à me rejoindre



- Allez-y, les gars.
Le chef reste à regarder alors que Marc et Milo montent sur le lit. Milo passe derrière moi : je sens son érection se caler entre mes fesses et ses mains viennent caresser mes seins. Marc s'agenouille devant moi et me caresse le ventre. Sa bouche vient gober un mamelon érigé et il me le suce délicieusement.



L'excitation dissipe rapidement la fatigue et me prend alors une irrésistible envie de jouir et de faire jouir :
- Vous ne venez pas, Laurent ?
- Je laisse les garçons profiter. Mais je vais venir, ne vous inquiétez pas.
- Je ne m'inquiète pas...
Exaspéré que je discute avec son supérieur, Marc se redresse, me fourrant son érection dans la bouche.



Milo s'étant un peu décalé, j'en profite pour saisir son érection. Les queues de ces militaires sont vraiment plus conséquentes que celles de Lionel et Luc et je mesure la chance que j'ai de pouvoir profiter des trois en même temps. Laurent s'amuse de me voir m'activer à masturber Milo d'un côté et à sucer Marc de l'autre. Il vient s'allonger à côté de nous, sans doute pour mieux voir.



De mon côté, je vois moi aussi bien mieux sa formidable érection et elle me met bien en appétit. J'abandonne alors Milo et Marc pour rejoindre leur chef. Aussitôt, les deux soldats se plaignent :
- Oh bah, non. Ce n'est pas juste.
Laurent rigole alors que je m'empare de son membre dressé :
- Privilège hiérarchique. On ne discute pas, messieurs.



Après l'avoir masturbé un peu, je m'apprête à m'empaler sur Laurent quand celui-ci m'arrête :
- Attendez, tournez-vous dans l'autre sens.
- Vous ne voulez pas voir mes seins ?
- Si, mais je veux que mes hommes vous voient bien, pour maintenir leur excitation.
Peut-être que ça les aurait aussi excités de voir mon cul, mais peut-être que Laurent veut justement se réserver ce privilège. Je tourne donc et le laisse guider son sexe dans le mien.



Alors que je commence à aller et venir sur son mât, je me rends compte qu'il grossit encore en moi et qu'il prend vraiment des proportions incroyables, me donnant un plaisir vraiment hors du commun. Je me redresse pour mieux en profiter et il me saisit à la taille pour donner à mon bassin les impulsions à la cadence qu'il souhaite que je prenne.



Le plaisir de cette imposante pénétration est intense et je pousse vite des vocalises que je ne contrôle pas vraiment...
Marc rigole et pose son index sur ses lèvres :
- Chut, Juliette ! Vous allez réveiller Luc.
Marc et Milo montent sur le lit et nous encadrent.



La suite est limpide : je saisis les deux belles queues offertes et je les suce alternativement. Est-ce pour me faire taire ? En tout cas, cela est trop tard, car je vois Luc arriver dans l'encadrement de la porte, apparemment ravi de voir sa copine aux prises avec trois mecs bien montés.



- Continue, ma belle. J'adore quand tu chantes comme ça.
Son érection me montre à quel point il aime m'entendre prendre du plaisir. Mais me voir semble aussi important : il s'approche et s'allonge au bout du lit. Il nous regarde tout en se masturbant.



- Essayons autre chose...
C'est Laurent qui derrière moi semble faire des signes à ses deux hommes. Ceux-ci semblent avoir compris et me prennent chacun sous une épaule pour me soulever. La tige de mon amant m'échappe et je sens aussitôt son gland qu'il fait appuyer contre mon anus. Voilà donc ce qu'il voulait essayer ! Il est gros, mais ça passe et il m'emmanche presque tout son gourdin.



Marc et Milo se sont écartés et observent l'énorme mandrin de leur chef qui me défonce le cul. Je crie de plaisir, ce qui doit ravir mon cher Luc. Je n'ose pas bouger tant Laurent me remplit et c'est lui qui mène le rythme des pénétrations : lentement, mais sûrement ! Mes cris s'accentuent encore quand ses doigts viennent à l'assaut de mon clitoris et que son autre main me malaxe un sein.



Je pensais qu'il me déchirerait, mais il faut croire qu'il n'est pas si gros que ça. Sans doute mon excitation a aussi aidé à faciliter le passage. Mon homme n'en perd pas une miette. Il se masturbe en prenant la même cadence (peut-être qu'il s'imagine être à la place de Laurent dans mon petit trou) et je vois que du liquide séminal s'échappe de son gland, signe d'une éjaculation proche.



Et de voir sodomiser sa copine ne semble pas suffire à Luc. Il fait signe à Marc et Milo :
- Je crois que vous pouvez y retourner, les gars.
Ils remontent aussitôt sur le lit, affichant des érections exceptionnelles, et reprennent position. Je gobe le membre turgescent de Milo pour commencer.



Quel délice de sucer une queue tout en se faisant défoncer. J'aimerais presque demander à Marc de venir me baiser puisque ma chatte est disponible, mais je me dis que j'ai déjà assez à faire comme ça. J'abandonne alors Milo, me contenant de le masturber, pour gloutonner la tige imposante de Marc.



Quand je reprends à nouveau le sexe de Milo en bouche, j'entends la voix de Luc qui semble avoir lu dans mes pensées :
- Marc, tu pourrais la prendre par devant au lieu d'attendre.
Marc hoche la tête et vient se positionner devant nous. Je mouille tant que, malgré la taille de son érection, il me pénètre sans la moindre difficulté.



Je crie de plaisir. Un plaisir inédit, inouï ! Une queue à chaque orifice. Quelle incroyable découverte ! Je me fais la réflexion déplacée que Luc et Lionel vont devoir me trouver un troisième gars. Interrompant momentanément ma fellation pour reprendre mon souffle et laisser échapper quelques cris, je découvre que Luc a arrêté de se masturber. Il me regarde, souriant, alors que son sexe est pris de soubresauts et, sans y toucher, explose de plusieurs giclées de sperme épais.



Mon plaisir atteint alors son paroxysme et un orgasme puissant m'envahit toute entière. Je sens mes muscles se tétaniser, mon corps perdre tout contrôle. Les garçons me tiennent heureusement pour que je ne bascule, mais je suis aussi bien calée par leurs bites. Mes amants semblent s'interrompre, restant immobiles. Ils tentent sans doute de ne pas éjaculer. Mais Marc se retire précipitamment et se met à éjaculer, maculant mon ventre de nombreuses giclées de sperme chaud.



- Désolé...
- Ahhhh... Aaaaah... Pas grave...
Je ne vais pas l'engueuler alors que Laurent est lui-même en train de se vider généreusement dans mon cul sans me demander mon avis.



Quand il semble avoir terminé, il me soulève pour se dégager et libérer mon anus. Je resserre alors les cuisses pour que toute sa semence ne coule pas sur le lit, mais Luc me dit :
- Garde les jambes écartées, ma Juju, que je vois tout ce qu'ils t'ont mis.
Je m'exécute alors Milo pousse un profond râle et se met lui aussi à jouir, expulsant plusieurs jets de semence épaisse dans ma bouche et tout autour.



Épuisée par ces assauts, achevée par mon orgasme, je me laisse aller sur le lit, trouvant à peine la force de dire aux garçons :
- C'était génial... Bonne nuit...
Et c'est en sentant la semence du sergent me couler du fondement que le sommeil me cueille.



Alors que je m'endors en chien de fusil, sur un coin de lit, je prends conscience que les garçons bougent. De toute façon, on ne peut pas tous tenir sur le lit, aussi grand soit-il. J'imagine qu'un ou deux gars ont rejoint la seconde chambre. Ils sont au moins respectueux de mon sommeil, car personne ne semble négocier qui reste et qui part.



Je suis réveillée par les premières lueurs de l'aube. Je suis trop fatiguée pour me lever, mais je veux en profiter pour voir qui est resté dormir avec moi. Entrouvrant les yeux, je constate qu'il s'agit de Milo, qui dort derrière moi, et de Laurent. Il est réveillé et m'observe. Ce qu'il voit doit beaucoup lui plaire vu l'érection phénoménale qu'il affiche fièrement.



- Réveillée ?
- Pas vraiment...
- Alors, rendors-toi.
- Ça va être difficile, maintenant que j'ai vu ta sucette... ça m'a ouvert l'appétit.
Je me glisse jusqu'au sergent pour sucer son beau membre dressé.



Je pense rester assez discrète et Laurent ne pousse pas les râles de contentement que l'on entend parfois dans les films pornos, mais il semblerait que notre discrète activité ait, malgré nos efforts, réveillé Milo. Je sens son gland contre ma fente, et ne montre aucune résistance quand il me pénètre tranquillement.



Il me baise ainsi pendant plusieurs minutes alors que j'ai la bouche pleine de la colonne de chair de Laurent. Je suis presque frustrée quand il ressort, mais, fort heureusement, c'est juste pour, à son tour, visiter mon autre passage. Lentement, il enfonce son gourdin dans ma rondelle. J'avoue y prendre un certain plaisir et mes gémissements ne sont étouffés que parce que j'ai la bouche pleine.



Quand Milo prend sa vitesse de croisière, je me cale sur son rythme pour appliquer ma fellation à Laurent. Je me prends à imaginer que je ne suis qu'une intermédiaire et que c'est comme si c'était Milo lui-même qui suçait son chef. Pas sûr que l'image plaise à ces hommes que j'imagine exclusivement hétérosexuels. Je suis tirée de mes réflexions par l'arrivée de Marc dans la chambre. En voyant son érection, je me dis qu'il nous mâte sans doute depuis quelques minutes.



Curieusement, il ne vient pas nous rejoindre. Peut-être parce que la place libre n'est pas si facile d'accès. Pourtant, Laurent se retire de ma bouche et Milo de mon cul. Se sont-ils concertés ? J'attends et j'observe, les laissant décider de la suite. Milo me tire par l'épaule pour m'indiquer qu'il souhaite que je me retourne. Je m'exécute et, aussitôt, il me soulève la cuisse pour venir introduire son sexe raide dans ma fente. À peine a-t-il pris position que c'est Laurent qui se manifeste en investissant la voie étroite.



Ainsi prise en sandwich entre ces deux militaires, je sens le plaisir grimper bien vite, malgré la fatigue. Leurs queues alternent dans mes deux orifices avec une coordination qui semble connoter une certaine habitude. Marc pourrait tenter de venir se faire sucer, mais il semble préférer admirer le spectacle en se masturbant, comme le ferait mon chéri.



Je l'observe, fascinée de voir sa main monter et descendre.
- Haaaa... Tu... Tu ne viens pas ? Hoooo...
En guise de réponse, il me sourit. Cela ne semble pas perturber le moins du monde mes deux partenaires qui continuent à me défoncer délicieusement.



Quel plaisir de les sentir tous les deux aller et venir en moi. Je me sens totalement remplie. Je ne retiens plus mes gémissements. Je m'étonne presque que Luc n'ait pas encore été réveillé. J'ai trop envie de sucer une queue, comme tout à l'heure, pour compléter le tableau :
- Oooooooh ! Marc... Viens...
Trop tard. Je vois Marc se tendre et la main crispée sur sexe, je le vois soudain propulser une fantastique giclée.



Et les jets de sperme se succèdent, puissants et généreux. Plusieurs nous atteignent aux cuisses, Milo et moi. C'est tellement incroyable que cela déclenche mon orgasme. Je ne saurais s'il est plus ou moins puissant que le précédent, mais je suis certaine qu'il est particulièrement intense. Comme un effet de dominos, les vibrations de plaisir de mon ventre semblent déclencher la jouissance de mes partenaires que je sens se répandre sans retenue dans mes entrailles.



Quand je reprends mes esprits, c'est pour constater que Laurent et Milo ne sont plus dans la chambre. Peut-être sont-ils allés prendre une douche. Je me prends à fantasmer qu'ils la prennent ensemble et que le chef se fait sucer par son jeune soldat. Seul Marc est toujours là. Et il continue à se masturber en me regardant, jusqu'à la dernière goutte, malgré ses doigts pleins de sperme.



- Tu ne voulais pas participer.
- Oh, mais je participe. Cela me plaît aussi de regarder.
Comme Luc. Marc ajoute :
- Tu veux que j'aille te chercher une serviette pour t'essuyer ?
C'est à ces mots que je prends conscience que la semence de mes deux amants s'échappe joyeusement de mes orifices



Et ce spectacle semble fasciner particulièrement Marc.
- Non, ça va aller, je te remercie...
Marc quitte alors la pièce, me laissant seule. Allongée sur le dos, il ne m'en faut pas moins pour m'abandonner aux bras de Morphée.



Je me retrouve à faire des rêves peuplés de nombreux sexes masculins vigoureux qui me pénètrent par mes trois orifices, de flots de sperme qui me couvrent les cuisses, le ventre, les seins et le visage. Quand je me réveille au petit matin, je me demande même si je n'ai pas joui pendant ces rêves que je n'ose même pas qualifier d'érotiques tant ils étaient plutôt franchement pornographiques. Portant mes doigts à mon entrejambe brûlant, je ne suis pas surprise d'y trouver une fontaine.



Laurent, nu, apparaît dans l'encadrement de la porte :
- Bonjour, Juliette. Vous êtes si en manque de sexe que vous vous masturbez, alors qu'il y a ici quatre gars qui sont à vos ordres pour s'occuper de vous.
- J'ai fait des rêves incroyables.
- Ah ? Et c'était comment ?
- Humide...
Je me lèche le doigt en le regardant entrer dans la chambre.



- C'était plus intense qu'hier soir ?
- Il y avait plus d'hommes. Ils se succédaient... C'était si bon.
- Nous ne sommes que quatre...
- Mais vous pouvez aussi vous succéder.
J'écarte les cuisses en grand, pour l'inviter.



Laurent semble apprécier l'invitation :
- Je dois aller chercher les autres ?
- Je pense que vous pouvez commencer et, si vous vous débrouillez bien, mes cris feront venir les autres.
- Oh, j'ai le sentiment d'être privilégié.



- N'ayez pas de scrupules, chacun en profitera.
- J'imagine assez bien. Et que vous faisaient les hommes de votre rêve ?
- Mmmmm... Un peu tout... Ce qui est sûr c'est que ça m'a fait bien mouiller, et pas que dans le rêve. Vous voulez voir ?



- Je veux surtout goûter.
Le chef s'approche et se met à quatre pattes sur le lit entre mes jambes. Son visage s'approche de mon abricot juteux et sa langue me lèche tendrement la fente. Je m'abandonne déjà à cette douce caresse buccale.



Je suis positivement surprise qu'il commence par des préliminaires, d'autant que ceux-ci n'étaient pas vraiment indispensables quand on voit à quel point je mouillais déjà abondamment. Et je prends conscience que, vu l'application qu'il met à l'ouvrage, il ne compte peut-être pas que ce cunnilingus soit juste un préliminaire, mais une fin en soi. J'en ai la confirmation quand sa langue se déchaîne sur mon clitoris dès qu'il sent que mon orgasme arrive. Alors que les premiers spasmes du plaisir me gagnent, je découvre que Milo est à son tour dans l'embrasure de la porte et nous observe en souriant.



Un ouragan de plaisir me fait crier de plaisir. La langue poursuit sa sarabande sur ma minette jusqu'à ce que mon orgasme retombe. Laurent se redresse et désigne ma moule dégoulinante de cyprine à Milo :
- Tu vois ça ? Elle mouillait déjà que je ne m'occupe d'elle. Maintenant c'est une vraie fontaine et je gage que Juliette ne va pas s'arrêter en si bon chemin.



Je réponds du tac au tac :
- Et vous allez me montrer qu'il n'y a pas que la langue que vous maniez avec dextérité, Laurent.
Venant s'agenouiller entre mes cuisses, il se masturbe un peu, même si j'ai le sentiment que son sexe est déjà parfaitement bandé, prêt pour l'action.



Milo demande :
- Besoin d'aide, chef ?
- Non, la petite a fait un rêve qui l'a excitée. Elle veut qu'on passe successivement...
- Oh ! Parfait.
Laurent pousse son sexe contre ma fente et me pénètre sans la moindre difficulté.



Il commence à me besogner tout en me pétrissant les seins. Après une minute, il me dit :
- Je ne suis pas sûr de pouvoir vous redonner un orgasme aussi vite.
- Pas grave... Aaaaah... Je veux que vous éjaculiez... Oooooh... Dans mon rêve... Aaah... il y avait du sperme... Ooooh... Plein de sperme... Mmmmmmh... du sperme partout.
Laurent est si excité par ce que je viens de lui dire que j'ai l'impression qu'il grossit encore en moi.



Il bégaye :
- Où... Hannnn... Où ça ?
- Oooooh... Partout... Aaaaaah.
Un nouvel orgasme me gagne, moins intense que le précédent. Laurent se retire précipitamment juste au moment où débute son éjaculation. Son sperme jaillit, épais, et me couvre le ventre et la moule.



Quand il se remet de ses émotions, il me sourit et demande :
- C'était comme ça dans ton rêve ?
- Je ne sais plus trop, à vrai dire, mais c'était très bien comme ça.
- Une petite pause avant que le suivant prenne ma place ?
- Non, je me sens d'attaque.
Le chef descend du lit et Milo s'approche pour le remplacer.



- Vous êtes vraiment incroyable, Juliette !
- Ce qui est incroyable c'est que vous discutiez au lieu d'agir alors que ce que j'attends me semble plutôt explicite...
- Désolé.
Un peu penaud, il guide son sexe dans ma fente.



Il me pénètre lentement, me regardant droit dans les yeux pour s'assurer du plaisir qu'il me donne. Puis lentement, il me baise. Le plaisir revient au galop, mais il semble que le sien soit plus rapide encore et il me demande maladroitement :
- Vous... Vous voulez sur le ventre aussi ?
- Non ! Restez dedans...



Ma requête semble déclencher son éjaculation. Je sens une puissante giclée envahir mon ventre, puis Milo semble se retirer, mais il laisse son gland juste à l'entrée de ma moule et poursuit son éjaculation en m'inondant d'une imposante quantité de sa chaude semence.



Quand Milo se retire, je sens son sperme qui s'écoule de ma chatte. Après la nuit qu'on a eue, je suis impressionnée que mes amants aient déjà pu reconstituer la réserve de leurs couilles.
- Et bien, messieurs, vous avez aussi généreux que dans mes rêves, mais dans mon rêve vous étiez plus nombreux.
Une tête de Marc souriante apparaît alors sur le côté de la porte :
- On a besoin de moi ?
- Oui, regarde, je crois que tu peux encore en mettre un peu...



Nu et déjà en érection, Marc entre dans la chambre et vient me rejoindre sur le lit avec les encouragements de son camarade et de son chef :
- Vas-y, mon vieux, Juliette est demandeuse.
Sans discuter, Marc plonge son dard tendu dans ma fente dégoulinante de sperme.



Sous les regards attentifs de Laurent et Milo, il me pistonne tranquillement, faisant gicler à chaque assaut un peu du sperme de Milo. Luc arrive alors qu'un nouvel orgasme me gagne et que mon amant se déverse à son tour dans mon fourreau.
- Oh ! Te voilà copieusement fourrée dès le réveil.
- Aaaaaaah ouiiii ! C'est si bon, Luc !



Quand Marc se retire, la semence s'écoule en gros bouillon de ma fente.
- Aaah... C'était... presque comme dans mon rêve... Mmmmm...
- Ton rêve ?
- Oui, mais plus de gars, du sperme partout, ma bouche, mon cul... Mais peut-être quand même pas autant dans la chatte !



- Effectivement, ils ont beaucoup donné. Ils ont tous les trois éjaculé en toi ?
- Non, Laurent m'a tout mis sur le ventre. Tout ce que tu vois là, c'est juste Milo et Marc.
Je me mets deux doigts dans la fente pour l'écarter et aider le jus blanchâtre à sortir.



Luc bande copieusement et me sourit, apparemment ravi de mon appétit sexuel :
- Bravo, ma Juju !
- Et c'est ton tour, mon chéri...
- Merci, mais la journée ne fait que commencer et je préfère garder mes ressources pour plus tard.
Il s'approche et, en vrai gentleman, il m'essuie méticuleusement l'entrejambe avec des mouchoirs en papier.



Je me demande si cela ne le dégoûte pas un peu de mettre sa queue là où trois autres gars viennent de passer et laisser leur semence. Mais je me dis que c'est une idée stupide puisque ça ne lui pose aucun problème avec Lionel et ils en avaient déjà l'habitude avec Angela. Quand je me redresse, les trois militaires m'applaudissent et Laurent me dit :
- Juliette, félicitations ! C'était une soirée incroyable et nous avons aussi passé une nuit inoubliable.
- Merci à vous, les gars. À passer la nuit avec trois militaires, je ne me suis jamais sentie aussi bien protégée.





Lisa
1er juillet 2025
00:04:34
message 36126
Et pile à l'heure !!! Bravo pour la régularité :)
Merci Camille et Boris !

Lisa
15 juillet 2025
03:05:13
message 36127
Bonjour à toutes et à tous,
Pour laisser à Camille et Boris le temps de souffler un peu, je vous propose une histoire que Simon aime bien et que j'ai illustrée pour lui.
Bel été aux coquines et aux coquins ;)

Lisa
15 juillet 2025
03:07:00
message 36128
Safari


Les kilomètres défilent sur la piste menant à Tsavo (Kenya). Notre chauffeur est concentré sur sa conduite, car en dehors de l'état déplorable de la piste, tout peut arriver. Un animal peut surgir de tout côté, des enfants qui traversent au milieu de nulle part, d'autres conducteurs essayant d'échapper aux ornières.

Mais que le paysage est magique ! Depuis notre descente de l'avion à Nairobi, nous sommes sous la magie du pays. Nairobi n'est sans doute pas la chose à retenir du pays, car il y a une pauvreté et un grouillement contact de population. Mais dès la sortie de la banlieue, les paysages traditionnels de l'Afrique apparaissent.

Une piste couverte de terre rouge nous emmène vers le parc. À son entrée, notre guide nous laisse sur un grand parking pour aller régler notre droit de passage. Sophie remarque quelques boutiques dans une pseudo galerie construite en bois et abritant plein de sculptures en bois et en pierre. Un monde fou est devant et dedans correspondant à la population de deux autobus allemands. Ma jeune épouse descend tranquillement pour aller voir cela de plus près. Je la vois traverser le parking, rejointe par une dizaine de gamins. Elle est avec une petite jupe de couleur kaki qui lui moule les fesses avec bonheur.



Cette jupe lui arrive à mi-cuisse et s'ouvre en portefeuille à chaque pas. Elle a complété avec un débardeur beige et un joli chapeau style Ranger.



Elle a de petites bottines beiges également. Sa démarche est élastique, féline, érotique. Je saute du 4 x 4 pour la rejoindre. Nous déambulons dans la boutique, entre des étagères surchargées de sculpture en pierre et en bois, de masques, de tambours, de sièges. Une boutique entièrement en bois sombre et maintenant une température chaude, mais constante. Une odeur épicée imprègne chaque recoin. Un vendeur Massaï me guide à travers le magasin. Deux autres vendeurs avaient pris Sophie en charge et nous nous retrouvons d'un bout à l'autre de la boutique. Mon accompagnateur me montre une ribambelle d'objets sculptés de plus ou moins bon goût.

Nous nous dirigeons vers un angle un peu plus encombré du magasin et mon vendeur me désigne une magnifique statue en bois représentant un homme avec un pagne rouge Massaï autour des reins et des épaules. Le visage ressemble étrangement à celui du vendeur et je lui fais remarquer. Dans son anglais approximatif, il me fait comprendre qu'il s'agit bien de lui. Avec un sourire coquin, il soulève le pagne de la statue et me fait découvrir un sexe qui descend jusqu'aux genoux. Un vrai serpent ! Il éclate de rire devant mon étonnement et ma gêne. Mais notre guide revient avec les pass pour la réserve et nous remontons dans le véhicule 4x4. Jusqu'au véhicule, les trois marchands nous suivent. Le jeune massai qui m'avait fait l'honneur de sa boutique me dit que son père réalise des sculptures à la demande et qu'il serait fier de faire cela pour ma gazelle. Pour être tranquille, je lui dis « pourquoi pas ! » et nous lui souhaitons bonne journée.



La journée est dense en émotion avec la rencontre de nombreux éléphants, des hippopotames et des crocodiles en grand nombre. Les lions, les gazelles sont également là. C'est une journée magnifique où l'appareil photo est très sollicité. Cela nous a fait des souvenirs extraordinaires. Vers les 17h30, nous entrons dans le périmètre d'un lodge de toute beauté. Nous sommes accueillis avec des serviettes bien fraîches et un cocktail très désaltérant à l'hibiscus. Puis, nous prenons possession de notre chambre.



Magnifique, avec un esprit tente, mais tout le confort d'un quatre étoiles. Sophie se précipite sous la douche et en ressort au bout de quarante-cinq minutes dans une magnifique petite robe blanche sans manche. On devine en dessous une absence de soutien-gorge et un joli string tout en dentelle. En passant devant un éclairage, je me rends compte que cette robe est très coquine et que les fesses de ma jeune épouse se dessinent tout fait sous le tissu tendu.



Je file sous la douche également et j'entends peu après Sophie me dire que quelqu'un nous attend à la réception. Elle va voir et me tient au courant. J'en profite pour traîner sous l'eau tiède et relaxante et j'émerge de la salle de bain au bout de trois quarts d'heure. Sophie n'est toujours pas de retour.

Je me dirige tranquillement vers la réception et le bar, pensant la retrouver avec cette rencontre inattendue. Quelle ambiance douce, bercée par les parfums et les bruits des animaux proches. Rien ! Aussi, je demande au réceptionniste qui me dit que « Madame est partie visiter un atelier de sculpture sur bois avec un jeune Massaï ». Il m'explique comment m'y rendre. Je déambule entre les bungalows jusqu'au village des artisans. Il s'agit d'un ensemble de plusieurs bâtiments entièrement en bois agencés autour d'une cour circulaire. De la musique, des rires et le bruit des instruments s'élèvent de chaque échoppe. Je reconnais, avec surprise, le jeune homme de la boutique que nous avions visitée le matin même. Il me dit que ma gazelle a été tentée par une sculpture d'elle et que son père a commencé le travail. Je lui fais remarquer que nous repartons demain vers 10 heures pour Amboseli et nous commençons à discuter du prix. Bien sûr cela sera « moins cher que pas cher » et le travail sera prêt pour demain.

Je rentre alors dans l'atelier, un intérieur tout en bois avec une quinzaine d'ouvriers répartis sur des postes. Et là je me retourne vers le fond et je découvre ma femme entièrement nue sur une petite estrade drapée de tissu rouge.



Je suis sidéré de la voir ainsi assise sur le bord de l'estrade, légèrement de profil, une main sur une cuisse et l'autre main derrière sa nuque. Sa poitrine darde insolemment vers la salle.



Je vois tout de suite le père de notre Massaï, qui donne des grands coups d'un instrument à bois sur un billot qui me paraît bien grand. Je doute que cela puisse être terminé à temps. Sophie me fait un sourire complice devant mon air médusé. Je vois ma femme entièrement nue devant une ribambelle d'hommes noirs de tout âge et je vois bien à leur sourire qu'ils trouvent cela bien agréable.



Le jeune massai, Awa, m'explique qu'il a trouvé ma gazelle très belle et que cela aurait été dommage de ne pas faire une sculpture pour l'honorer. Je remarque d'ailleurs que plusieurs artisans réalisent le même travail. Awa en riant me dit que Sophie servira de modèle et que sa sculpture ira dans le monde entier. Je trouve cela extraordinaire !

Mais l'heure avance et le buffet est déjà servi. Sophie se lève et se dirige toute nue vers le père d'Awa. Elle ne semble pas se rendre compte de l'émoi que cela crée dans la salle.



Elle regarde l'ébauche du travail en tournant autour et va même jusqu'à s'accroupir devant l'artisan en caressant le bois encore rugueux. Je perçois le regard brillant du sculpteur qui se perd entre les cuisses de ma femme pour explorer la petite chatte toute lisse.



Mais cela est fugitif et tout de suite Sophie se redresse et se saisit de sa robe qu'elle enfile en un tour de main.



Je vois qu'elle abandonne son string sur le tabouret et nous partons dîner. Durant le repas, elle m'annonce qu'elle devra retourner poser encore quelque temps pour permettre aux sculpteurs de finir pour demain.



Le buffet est grandiose, avec un mélange de plats de tous les pays du monde. Nous discutons avec beaucoup de touristes et nous échangeons nos émotions du jour sur la faune et la flore de la réserve.

Je remarque que les déplacements de Sophie sont suivis avec intérêt, principalement quand elle passe devant les torches. Elle apparaît pratiquement nue de façon fugitive pour le plaisir des voyeurs à l'affût.



Dès le repas achevé, nous retournons dans l'atelier où l'entrée de mon épouse se fait sous les applaudissements des artisans. Sophie est charmée par cet accueil et, avec grâce, fait passer sa robe au-dessus de sa tête.



Elle se réinstalle sur l'estrade et Rhodi, le père d'Awa, pose sans hésitation ses mains sur Sophie pour la guider dans sa pose. Le travail reprend avec acharnement et concentration.



Après beaucoup d'hésitation, je retourne dans notre bungalow pour lire et je croise Awa qui se dirige vers l'atelier. Il me dit qu'il me préviendra quand la séance de pose sera achevée. Je m'allonge sur le lit king size avec un bon bouquin qui n'arrive pas à me maintenir éveillé. Morphée me plonge dans une douce torpeur où le temps n'a pas de prise.

Tout engourdi, je me réveille et regarde le réveil dans un brouillard : 1h30. Mon regard circulaire ne perçoit pas la présence de Sophie. Je me redresse et me dirige vers l'atelier en traversant le village endormi. Je croise un gardien qui déambule débonnairement. La cour devant l'atelier est dans le noir et je me dirige vers le seuil. Le bruit des tailleurs de bois est toujours énergique, mais un peu assourdi. J'entre dans l'atelier et je tombe en arrêt devant le spectacle. Je vois Sophie assise sur le bord de l'estrade avec un homme debout entre les jambes.



Je le vois de dos qui donne des grands coups de reins déclenchant des soupirs de ma femme. Un autre homme est assis sur l'estrade, derrière Sophie, la maintenant tout en lui massant les seins et les épaules. Il lui embrasse le cou et les épaules.

L'homme qui baise Sophie pousse un feulement en restant planté dans le corps accueillant de ma jeune femme. Celle-ci l'entoure de ses bras et de ses cuisses et rejoint son cri. Je vois les fesses contractées de l'homme qui recule pour se libérer de l'emprise de Sophie. Je le vois, avec soulagement, jeter un préservatif, remettre son short et un vieux pull vert tout élimé et repartir avec un grand sourire sur son poste de travail. D'un geste souple l'homme derrière Sophie bondit entre ses cuisses, enfile un préservatif qu'il avait en main, soulève les deux jambes de ma jeune épouse et la perfore d'une seule poussée.



Sophie ne m'a pas encore vu, mais je remarque à son visage un mélange d'extase et de fatigue. Ses traits sont détendus, apaisés, les mouvements de son corps sont souples et accompagnent ceux de son amant.

Je suis toujours en admiration devant la gourmandise de ma jeune épouse. Elle fait l'amour avec la vie et ses soupirs envahissent l'espace déclenchant plein de commentaires que je ne comprends pas, mais dont je devine la teneur. C'est merveilleux de voir ce corps noir s'active sur cette forme blanche. C'est une ambiance animale qui gagne l'ensemble de l'espace. L'homme n'en peut plus et dans un dernier élan plonge au fin fond de ma femme en grognant.



Il recule en embrassant mon épouse à pleine bouche sans que celle-ci n'ait un mouvement de recul. Il retire sa protection et la jette dans une poubelle proche et remet son short en riant. Je distingue que la poubelle est déjà bien garnie et je soupçonne que le spectacle avait commencé bien avant ma venue. Ma femme s'allonge sur l'estrade en s'appuyant sur ces avant-bras, les jambes dans le vide et le pubis bien proéminent accessible à tous les regards.



Une main se pose sur mon épaule en me faisant sursauter. C'est Awa qui me dit « Viens, tu vas voir comme ta gazelle est affamée ». Et il m'entraîne vers l'estrade en nous faufilant entre les postes de travail. Sophie me voit alors et me dit en riant qu'elle a aidé pour la réalisation de la statue. Elle est couverte de sueur et semble fatiguée. Je lui propose de rentrer nous reposer, mais Awa nous dit qu'il a quelque chose à nous montrer. Je vois dans ses yeux le désir et l'envie de surprendre. Un regard d'adolescent dans un corps d'adulte très musculeux.

Il retire son maillot de foot trois fois trop grand, puis son short long. Et là apparaît un membre qui descend presque jusqu'au genou devant les encouragements des artisans qui se regroupent autour de nous.



Je suis sidéré devant la bête, le diamètre ne paraît effarant, mais la longueur est tout bonnement incroyable. Sophie regarde ce sexe avec les yeux remplis de surprise et d'interrogation. Le cercle des artisans se resserre autour de nous poussant Awa vers les cuisses de mon épouse. Le membre s'anime doucement en se redressant en une harmonieuse courbure.



Son propriétaire le saisit d'une main qui entame un doux va-et-vient. Il accentue son mouvement et rentre en contact avec les cuisses de Sophie. Le serpent grossit en diamètre et surtout se tend, sa tête oblongue pointant obstinément vers la vulve offerte.



Il tient son sexe et le frotte entre les lèvres accueillantes et humides.

Tout le monde semble hypnotisé par le spectacle. Sophie ne quitte plus des yeux cette lance vivante qui la menace. Avec la main, le jeune homme introduit délicatement son sexe dans les replis roses. Il pousse doucement pour s'enfoncer dans les trésors de Sophie. Celle-ci après avoir fait, du regard, un tour de l'assistance, ferme les yeux et soupire d'aise. Son visage est tendu sous le désir et sans doute sous cette massive pénétration.



Tendrement, l'homme interrompt sa progression et lui caresse le bas-ventre de son autre main. Puis délicatement reprend son impitoyable progression et tout le monde voit les lèvres roses de Sophie se refermer et épouser le membre noir.

Elle se cambre davantage et passe une main pour toucher la poitrine du perforateur afin de le guider. Il commence de lents va-et-vient et progresse à chaque poussée de quelques centimètres.



Son membre se couvre de sécrétion blanche marquant l'acceptation de cette petite chatte. Il pousse et travaille de plus en plus énergiquement les muqueuses de ma femme sous les commentaires des spectateurs. C'est irréel !



Bientôt des mains saisissent les mollets de Sophie pour lui écarter et relever les cuisses pour l'offrir davantage. D'autres mains investissent son corps pour des caresses sur les seins, le cou, les épaules, le ventre. C'est la bousculade pour poser ses mains sur cette femelle si coquine.

Awa, de son côté, continue son mouvement de piston avec de plus en plus d'amplitude et en maintenant toujours son sexe d'une main. La moitié du membre ne pénètre pas dans les moiteurs de Sophie.



C'est extraordinaire ! Le souffle court de ma femme accompagne les mouvements. Ses cuisses tremblent, ses paupières papillonnent sur des yeux où seul le blanc est visible. Régulièrement la jouissance la submerge et elle tente de refermer les cuisses, mais des mains fermes la maintiennent et la jouissance remonte doucement lui faisant s'offrir encore et encore.



Les mouvements du jeune homme se font plus rudes, plus brusques, bousculant ma femme dont la tête part en arrière en tendant tout son corps. Elle est couverte de transpiration et même de sperme, car certains ont profité de l'aubaine pour éjaculer sur son corps. Soudain Awa crispe l'ensemble de ses muscles, s'enfonçant au plus profond de la foufoune tant aimée de ma jeune épouse. Il éructe et se vide dans les fins fonds de Sophie qui geint également avec de violents mouvements de tête de droite à gauche.



La foule applaudit. Il se retire et je constate qu'il n'y avait pas de préservatif. Il est bousculé par d'autres camarades qui veulent profiter des charmes de ma femme, mais je vois qu'elle est épuisée et très faible.



Je m'interpose et la soulève dans mes bras pour sortir de l'atelier. Je suis accompagné par quelques résistants qui glissent leur main et leur doigt où cela est possible. Une fois dans la cour, le calme revient et nous nous retrouvons tout seuls. Nous retournons dans notre bungalow avec Sophie nue dans les bras et je la couche avec tendresse.



Aujourd'hui, il nous arrive souvent de reparler de cette incroyable aventure et nous nous disons que nous avons eu beaucoup de chance.


Sophie et Didier (2021) : http://revebebe.free.fr/histoires/rvb200/reve20043.html

Boris
17 juillet 2025
00:29:22
message 36129
Merci Lisa !

Bien belle histoire effectivement, il me semble être effectivement tombé dessus il y a longtemps. C'est un vrai plaisir de la lire illustrée :D
Effectivement trop court pour publier la suite d'Angela au 15 juillet, mais nous avons bon espoir pour 1er août (croisons les doigts)...

En revanche, avec cette thématique du black bien monté, tu nous coupes un peu l'effet de surprise car c'est justement l'objet des quelques épisodes qui suivent... Sans doute qu'avec le soleil qui cogne, on partage les mêmes inspirations ? ;)

Lisa
18 juillet 2025
01:14:09
message 36130
C'est moche, les clichés... :(
Ou pas !!! :D

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