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Le fétiche : 11. Abus Quand Fabienne rentra à la maison, nous terminions tout juste la réunion avec les collègues. Elle empestait le sperme à plein nez et cela n'échappa à personne. Elle avait l'air à la fois en colère et épuisée. Je me levai aussitôt pour m'enquérir de son état : - Est-ce que ça va, Fabienne ? Je vis alors qu'elle avait du sperme séché sur le visage, dans les cheveux et dans le cou, détails que mes collègues durent remarquer également. ![]() images similaires Elle bégaya : - Il faut que je prenne une douche. - Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? - Pierre nous a bien eus... Je la laissai rejoindre la salle de bain et mes collègues comprirent que la situation était grave et que c'était le moment pour eux de nous laisser. Ils prirent congés en me souhaitant bon courage. Je retournai aussitôt à la salle de bain où Fabienne était en train de se doucher. ![]() images similaires - Fabienne, est-ce que tu es blessée ? - Plusieurs dizaines de mecs me sont passés dessus ce soir. - A cause de la statuette ? - Oui... ce salaud de Pierre me l'a fait toucher au milieu de la boîte de nuit. - Merde... ça a dû être l'enfer ! Comme elle sortait de la douche pour se sécher, elle semblait avoir retrouver meilleure humeur. ![]() images similaires - Bon, c'était épuisant et carrément dégueu, mais je dois bien avouer que j'ai quand même eu quelques orgasmes. Je ne savais pas quoi répondre. J'étais à la fois furieux contre Pierre qu'il ait pu abuser d'elle ainsi mais je sentais également une sorte de déception d'avoir manqué cela et l'érection que je commençais à avoir trahissait cette excitation. Je sortis de la salle de bain afin que Fabienne ne la remarque pas. Elle me rejoignit quelques minutes plus tard dans le salon ![]() images similaires - Ecoute Cédric, je ne veux plus entendre parler de cette statuette... - Tu veux qu'on aille l'enterrer en forêt ? - Non, ce serait prendre le risque que n'importe qui la découvre. Ce qui est vraiment dangereux, c'est quand moi j'y touche. Alors si toi tu veux t'amuser de temps en temps avec, je ne suis pas contre mais essaie juste de rester modéré. Et surtout, cache-la. Nous ne parlâmes plus de la statuette pendant plusieurs semaines et je la cachai aussi soigneusement que possible. Pourtant, un soir où nous sommes allés au cinéma, elle demanda à s'installer au dernier rang, où il n'y avait strictement personne. Je crus qu'elle voulait qu'on s'envoie en l'air discrètement pendant le film. En plus, quand je glissai ma main sous sa jupe, j'eus l'heureuse surprise de découvrir qu'elle n'avait pas mis de culotte. Quand je commençai à lui caresser la moule, elle repoussa ma main. Je me penchai à son oreille : - Tu veux qu'on fasse l'amour ici, non ? - Bien sûr que non ! - Mais tu as choisi le dernier rang et tu n'as pas mis de culotte... - Ne te fais pas de film et regarde plutôt celui-ci. J'étais très frustré. Aussi, je n'eus aucun scrupule à farfouiller dans le fond de ma pochette pour atteindre la précieuse statuette qui allait me permettre d'arriver à mes fins. Aussitôt, Fabienne changea d'attitude et ne s'intéressa plus au film. Elle me laissa lui peloter les seins et sortit mon érection pour me branler. ![]() images similaires Je fis glisser les bretelles de son débardeur et de son soutien-gorge pour lui dégager les seins. Elle me laissa faire et continua à faire monter et descendre sa main sur ma tige de plus en plus tendue. Soudain, elle vint se mettre à genoux entre mes cuisses pour me sucer, l'espace n'était pas très important et elle donna un coup de coude dans la nuque d'un spectateur du rang de devant. Celui-ci râla mais ne se retourna heureusement pas. ![]() images similaires Cela ne la perturba pas le moins du monde et Fabienne se pencha bien vite sur ma verge palpitante pour la prendre en bouche et la pomper avec force. Elle aurait sans doute réussi à me faire jouir dans sa bouche tant j'étais excité par le fait de me faire sucer en public et qu'on puisse nous découvrir. ![]() images similaires Mais je n'avais pas envie de jouir dans sa bouche. Je la fis donc se redresser et se retourner, puis, la saisissant par la taille, je la guidai sur ma tige pour qu'elle s'empale la moule dessus. Fabienne retint un gémissement de plaisir alors que ma queue s'enfonçait lentement dans son sexe trempé de mouille. ![]() Mais la coquine voulait jouir et semblait ne pas se soucier du tout que quelqu'un puisse se retourner et la découvre, dépoitraillée, en train de chevaucher une bite au fond du cinéma. Ses gémissements commençaient à s'entendre et je voyais que notre voisin de devant commençait à se poser des questions mais n'osait pas se retourner. ![]() images similaires Je dus la calmer en la dégageant et je relevai les accoudoirs des deux sièges à ma gauche pour pouvoir l'allonger sur le dos sur les fauteuils. Elle mouillait abondamment et écartait franchement les cuisses pour m'inviter à la pénétrer sans attendre. Je me penchai d'abord pour déguster son nectar, lui arrachant un petit gémissement de souris. ![]() Puis, me redressant, je guidais mon sexe toujours tendu, entre ses cuisses. Comme je m'enfonçai d'une traite dans son sexe, elle ne put retenir un profond gémissement de plaisir. Cela fit tourner la tête de notre voisin de devant qui voulait réclamer le silence, mais, me voyant de profil en train de bouger d'avant en arrière, il comprit immédiatement ce qu'il se passait et préféra se concentrer sur son film. ![]() C'était divin de pouvoir labourer ainsi Fabienne au fond du cinéma et elle ne tarda pas à avoir un orgasme. Je lui mis la main sur la bouche pour que ses gémissements de plaisir ne soient pas trop entendus. Heureusement, cela arriva au moment d'une scène d'action particulièrement bruyante qui permit à son orgasme de passer inaperçu. Je sentis alors la sève monter. Je me retirai et laissai ma semence gicler un peu partout. Fabienne en reçu beaucoup au visage et sur le ventre mais il y eu aussi quelques giclées qui finirent sur la moquette du cinéma. ![]() images similaires Je ne m'étais par contre pas rendu-compte que j'avais laissé échappé un râle rauque qui avait attiré l'attention de l'ouvreur qui surtout devait s'inquiété de savoir si quelqu'un n'avait pas fait un malaise. Mais quand sa lampe torche tomba sur le visage de Fabienne tâché de mon sperme, il fut outré. Tout en chuchotant pour ne pas gêner les autres spectateurs, il nous dit : - C'est une honte de faire ça dans mon cinéma ! Foutez le camp d'ici et que je ne vous revois jamais !!! ![]() Fabienne s'essuya le visage et le ventre avant de remettre rapidement de l'ordre dans sa tenue pendant que j'en faisais autant. Moins d'une minute après nos deux orgasmes, nous étions tous les deux hors de la salle. Une fois dehors, je me mis à rire. Mais Fabienne ne semblait pas avoir apprécié la fin de notre séance : - Et ça te fait rire ? Tu te rends compte de l'humiliation que je viens de subir ? - Allons, tu as joui, toi aussi, non ? - Crétin, c'est à cause de la statuette ! Je t'avais demandé de ne pas en abuser et là franchement c'est vraiment limite. - Excuse-moi, ma chérie. Moi j'ai adoré. Promis, je ne le referais pas en public. Quelques jours passèrent sans qu'on reparle de cette soirée. Un samedi, une autre occasion se présenta se présenta pour moi de ressortir la statuette. Un collègue de travail de Fabienne lui avait proposé de venir profiter de la piscine qu'il possédait pendant qu'il était en vacances. Il devait rentrer le soir-même et nous n'avions pas pris le temps d'en profiter. Aussi, nous sommes nous décidés en début d'après-midi pour aller y passer deux heures. Fabienne avait choisi un petit bikini bleu très sexy qui me fit rapidement de l'effet. ![]() images similaires Quand nous fûmes au bord de la piscine, je lui demandai : - Ma chérie, puisqu'on est entre nous, on pourrait peut-être faire un peu de nudisme, non ? - Regarde, les voisins peuvent nous voir de leur fenêtre... - Et alors, ils se rinceront l'œil, c'est tout. - N'insiste pas. Elle regarda mon caleçon de bain, outrageusement déformé par mon érection : - Et range-moi ça, ce n'est pas décent ! Je n'avais effectivement pas pris conscience que mon gland pointait discrètement en dehors de mon maillot. ![]() images similaires Je remballais la marchandise et me penchai vers elle pour l'embrasser. Nous échangeâmes unbaiser très sensuel, qui sous le soleil qui nous chauffait la peau et à côté du léger clapotis de l'eau de la piscine, n'arrangea en rien mon état d'excitation. Profitant que Fabienne se perdait elle aussi dans ce baiser, j'entrepris alors de dégager ses seins de son maillot. ![]() - Arrête ! Qu'est-ce que tu fais ? - Tu peux au moins faire du topless, non ? - Soit pas con, ça ne change rien. J'ai des relations professionnelles avec François. Quelle réputation ça me ferait au boulot s'il me voyait seins nus au bord de sa piscine ? - Je suis certain que ça ne lui déplairait pas... J'attirais Fabienne contre moi, pressant son ventre contre mon sexe dur de manière à ce qu'elle ne puisse ignorer mon état. Mais Fabienne me repoussa : - Laisse-tomber, s'il te plaît. Je veux juste me baigner et lézarder un peu au soleil. On baisera ce soir... - Mais ce soir, on ne sera plus au bord de cette piscine ! - On n'est pas chez nous, Cédric. N'insiste pas. ![]() images similaires - François t'a dit qu'il rentrait à quelle heure ? - Vers vingt heures... - Alors on a largement le temps. Je la laissai pour tendre la main vers la serviette de bain que j'avais laissé en bouchon à proximité. J'avais discrètement roulé à l'intérieur la petite statuette. Fabienne le compris aussitôt en voyant ma main chercher dans les replis de la serviette : - Non François, ne fais pas ça ! Mais il était trop tard. Elle poussa un petit gémissement de plaisir et l'instant d'après elle baissait mon maillot pour saisir mon érection et me branler. ![]() Elle avait le regard trouble et se débarrassa rapidement de son soutien-gorge avant de faire glisser sa culotte sur ses cuisses : - Je veux que tu me baises, Cédric. J'avais un peu honte d'abuser encore une fois d'elle à ses dépends, mais Fabienne était tellement belle que je ne parvenais pas vraiment à regretter ma traîtrise. ![]() Elle s'allongea sur sa serviette, sur le bord de la piscine et elle écarta largement les cuisses. Sa fente était humide et ses mamelons tendus. Elle avait les yeux mi-clos et la bouche entrouverte comme si elle prenait déjà du plaisir rien qu'à l'idée de la pénétration qui allait suivre. Je ne la fis pas languir et je plantai mon dard entre ses cuisses, la pénétrant lentement, aussi loin que possible. ![]() images similaires Elle gémissait déjà et moi aussi. C'était délicieux de baiser ainsi sur le bord de cette piscine et l'idée qu'il puisse y avoir des voisins qui observent nos ébats m'excitait encore plus. Je pistonnais ma femme tendrement. Elle était déchaînée et en voulait davantage : - Baise-moi plus fort ! je veux jouir ! - Tu vas jouir, ma belle, ne t'inquiète pas pour ça. Je me laissai tomber à côté d'elle et je continuai à lui faire l'amour en lui relevant un cuisse. Du bout du majeur, je taquinais son clitoris. Nos bouches se rencontrèrent pour un tendre baiser. ![]() images similaires Fabienne décolla ses lèvres de miennes, ensorcelée par la statuette, elle aspirait à jouir et pas à de la tendresse. Me repoussant sur le dos, elle vint me chevaucher et s'empala sur mon sexe. Elle se mit alors à monter et descendre sur ma tige en gémissant. Je parvins tout de même à l'attirer à moi pour qu'elle m'embrasse mais son baiser était plus mécanique que sincère. ![]() Puis, il y eut le reflet de la porte vitré qui attira mon attention. Un type s'approchait de nous : - Mais qui êtes-vous ? Qu'es-ce que... Fabienne ? Il devait s'agir de François et venait de reconnaître sa collègue qui chevauchait un inconnu sur le bord de sa piscine. Fabienne tourna la tête et, le regard perdu dans le plaisir, elle lui dit : - Oh François, c'est si bon de faire l'amour sur le bord de la piscine... Sachant comme Fabienne était partie, je me voyais mal laisser notre hôte se contenter de regarder nos ébats sans participer. Mettant mon majeur dans l'anus de ma femme, je lui dis : - Je crois qu'il reste une place... ![]() François ne se fit pas prier : en quelques secondes, il se débarrassa de tous ses vêtements, affichant déjà un sexe gonflé auquel il donna quelques coups de poignets pour lui donner la raideur nécessaire. Puis il vint s'agenouiller entre mes cuisses et guida son sexe dans le petit trou de Fabienne. Elle se mit à crier de plaisir. Je sentais la progression de la pénétration de François le long de ma propre queue et cela me fit bander encore plus. ![]() Fabienne était au paradis. Elle criait et nous intimait de continuer. François jetait quelques regards inquiets aux fenêtres de ses voisins mais semblait cependant ne pas vouloir manquer l'opportunité qui lui était offerte. Je sentais sa bite qui entrait et sortait du cul de ma femme à un rythme soutenu. Je ne bougeai même plus, me contentant des ondulations déchaînées de Fabienne et des coups de reins de François. ![]() images similaires Fabienne se mit alors à hurler, terrassée par le plaisir. Elle se cambra alors me permettant de lui sucer un mamelon, tandis que je sentais presque les palpitations du sexe de François qui devait être en train de se déverser dans le cul de ma femme. Je lâchai à mon tour ma sève et restai sans bouger alors que ma semence emplissait son ventre en feu. ![]() images similaires Quand François se retira, elle devint toute rouge : - Oh mon dieu, François, je suis désolée... Je ne voulais pas... - Il n'y a pas de mal, Fabienne. Tu sais, ça faisait longtemps que ça me démangeait de faire un truc dans le genre avec toi. Et monsieur, vous êtes ? - Cédric, le mari de Fabienne. J'espère que vous n'allez pas lui faire une réputation au travail. - Rassurez-vous, je vais bien m'en garder. Je veux conserver ce souvenir pour moi seul dans l'espoir que cela se renouvelle un jour... Fabienne ne disait rien mais je voyais bien, pendant qu'on se rhabillait, qu'elle était morte de honte. Dès que nous eûmes pris congé de François, elle me fusilla du regard : - Tu te rends compte que je viens de me faire enculer par un collègue de bureau ?! - Oui et tu as bien joui ma chérie. - Ce n'est pas la question ! Tu fais chier avec ta statuette ! Refreine tes désirs pervers et contente-toi de ce que je te donne. C'est trop te demander ? - Tu veux qu'on se débarrasse de la statuette ? Fabienne se calma. Elle se passa une main dans les cheveux et dit : - Non... Mais s'il te plaît, ne l'utilise plus quand nous sommes chez des amis ou des collègues. Déjà tous tes collègues d'association me considèrent comme une salope, c'est bien suffisant ! Je décidai de ne plus emmener la statuette nulle part et de la laisser cachée à la maison. Quelques jours passèrent et un soir, comme nous étions trop fatigués pour cuisiner, Fabienne décida de commander une pizza. Quand elle raccrocha, elle me dit : - Si la fille que j'ai eu au téléphone a un physique aussi plaisant que sa voix, elle va te plaire. - Tu veux que je la drague quand elle sonnera ? - Ce serait amusant... - Tu me laisserais coucher avec une inconnue ? - Ce serait une histoire sans lendemain mais de toute façon, il n'y a aucune chance pour que ça fonctionne. Dommage que tu ne puisses pas utiliser la statuette sur elle. - Non, la statuette, ce n'est rien que pour toi, ma chérie... Quand on sonna à la porte, curieux, je regardai d'abord par le judas avant d'ouvrir. Je ne fus pas surpris de voir que l'hôtesse au téléphone ne faisait pas les livraisons et c'était un beau spécimen de mâle qui se tenait derrière notre porte. Je courus au salon dire à Fabienne : - Tu vas ouvrir à la demoiselle, s'il te plaît ? Je vais chercher le chéquier. En fait, j'allais surtout chercher la statuette. J'entendis Fabienne ouvrir la porte et demander au gars de venir déposer la pizza dans la cuisine juste à côté. Quand elle me vit derrière le livreur avec un chiffon dans la main, elle comprit instantanément ce qu'il y avait dans le chiffon. ![]() Fabienne poussa un petit gémissement. Le gars la regarda. Fabienne avait le regard vitreux et elle dit, presque en miaulant : - Vous êtes beau... J'ai envie de vous... - Pardon ?! Le gars sentit ma présence derrière lui et se défendit : - Heu, votre femme, je crois qu'elle ne se sent pas bien... - Si si. Elle veut juste faire l'amour, mais moi je suis un peu crevé là. Vous me donneriez un coup de main ? - Quoi ??? Fabienne commença à retirer son débardeur et continua à chauffer le pauvre livreur : - Oh... je suis sûr que tu as une grosse queue... ![]() Le jeune homme ne savait pas comment réagir : - Heu, il faut que je me sauve, j'ai d'autres pizzas à livrer. - Attendez, on ne vous a pas encore réglé... Fabienne miaula à nouveau : - On peut régler en nature, si vous voulez... ![]() images similaires Le gars était pétrifié. Fabienne vint sur lui et l'embrassa. Il se laissa faire, s'abandonnant à cette jolie blonde nymphomane. De même qu'il se laissa faire quand elle lui retira son tee-shirt et son pantalon. De même qu'il se laissa faire quand elle attrapa son érection et s'agenouilla pour le prendre dans sa bouche. Le livreur restait sérieux. J'essayai de le dérider : - Alors ? Elle suce bien non ? Il se contenta de me faire un signe de la main pour m'indiquer qu'il était satisfait. ![]() Quand il eut la bite parfaitement tendu, je le fis passer à l'étape suivante : - Bien. Maintenant, c'est à son tour ? - Pardon ? - Venez l'allonger ici et léchez-lui l'entrejambe. Le gars ne discuta pas, non pas impressionné par mon ton autoritaire mais surtout très excité à l'idée de sucer la moule de ma femme. Il la fit s'allonger sur le canapé, la tête sur mes genoux. Fabienne écarta largement les cuisses, attendant surtout de se faire prendre. Le livreur s'agenouilla et commença à lui lécher la minette. ![]() images similaires Fabienne se mit à gémir. Le jeune homme semblait se débrouiller et savoir où se trouvait le clitoris. Ma femme en voulait pourtant plus : - Allez, baisez-moi maintenant ! Je décrochai la jupe pendant que le livreur se redressait, le sexe tendu. Il la pénétra sans peine tant elle mouillait et elle feula de plaisir tandis que cette longue tige se glissait en elle pour la première fois. ![]() images similaires Ses mamelons dardaient et je ne pus m'empêcher de lui caresser les seins. Le jeune homme commençait à aller et venir en elle. Fabienne gémissait de plus en plus. Moi j'étais très à l'étroit dans mon jeans et mon érection commençait à être douloureuse. Je repoussai un peu Fabienne tandis que le jeune inconnu continuait à lui faire l'amour avec application. ![]() Fabienne semblait proche de jouir. Je voulais me joindre à eux, voulant partager son plaisir. Je me débarrassai de mes vêtements et je vins donner ma queue à sucer à ma femme. Elle ne s'y opposa pas et notre invité lui maintenait même la nuque pour qu'elle soit plus à l'aise pour la fellation. Je regardai la queue de ce gars qui allait et venait dans le ventre de ma femme et lui donnait du plaisir tandis que lui regardait ma bite que Fabienne suçait avec plaisir. ![]() C'était une scène incroyable et Fabienne arriva enfin à l'orgasme. Son corps s'arcbouta et elle eut quelques spasmes de plaisir. Le livreur sortit soudainement sa queue du ventre de Fabienne et se masturba frénétiquement alors que son sperme venait se répandre en d'épaisses giclées sur le ventre de ma femme. Un jet atteignit même sa poitrine. Ce spectacle fantastique et la douceur des lèvres de Fabienne autour de mon gland eurent raison de ma résistance et, à mon tour, ma semence se mit à gicler. Sentant que j'éjaculais, Fabienne arrêta de me sucer et laissa ma semence éclabousser sa bouche et son visage. ![]() images similaires Quand elle reprit ses esprits, elle se redressa et je vis la colère dans son regard. Le livreur finissait de se rhabiller et, avant de partir précipitamment, il nous dit : - Merci, je vous offre la pizza. Je dois y aller si je ne veux pas perdre mon job ! La porte claqua. Fabienne me regardait en souriant mais je sentais que j'allais essuyer des reproches. ![]() - Tu te rends compte que je viens de me faire baiser par un strict inconnu ! - Allons, Fabienne, si ça avait été une petite livreuse, tu m'aurais bien laissé lui faire l'amour, non ? - C'est différent ! Toi, tu ne me laisses pas le choix. A chaque fois, c'est toi qui décide avec ta foutue statuette. - Mais tu as eu un orgasme ! - J'ai forcément un orgasme à l'issue de ce sortilège. Mais est-ce que tu pourrais me laisser décider et que je puisse agir sans être transformée en nymphomane assoiffée de sperme ? - Désolé, ma chérie, je comprends. Mais je pensais que ça t'excitait quand même... - Bien sûr que ça m'excite, mais je suis à ta merci et j'ai l'impression de ne plus être que ton jouet sexuel. - Tu as raison, c'est très égoïste de ma part. - Je vais contacter Daphnée... - Daphnée ? - La sœur de Siro, le sculpteur aveugle. Peut-être qu'elle saura comment arrêter ce sortilège. Au pire, on peut peut-être lui renvoyer la statuette au village ? - C'est une bonne idée. Écrivons-lui. |