Legul
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3 janvier 2023
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L'anti-stress - 2
Le lendemain, j'avais essayé de capter chez ma collègue des signes dans son comportement ou dans ses remarques qui traduiraient une réflexion en cours suite à ma demande de voir ses seins. Mais rien n'y laissait paraitre et la journée de travail se déroula normalement. Je fût tout de même soulagé de l'entendre me proposer une petite pipe en fin de journée, n'en ayant pas encore eu cette semaine. Elle me demanda de l'attendre dans mon bureau, le temps qu'elle finisse un mail et soit pleinement concentrée sur sa « mission » anti-stress. Ces allusions à une fonction purement professionnelle de ces fellations me faisaient parfois douter de la satisfaction d'Emilie dans cette affaire. Pourtant, lorsqu'elle me suçait, je voyais clairement le plaisir qu'elle y prenait et aussi son excitation. Elle gémissait souvent, certes discrètement, et se caressait parfois la poitrine ou l'entre-jambe, sans s'en rendre compte je pense. Je n'avais, à ce jour, jamais osé la toucher au niveau de ces zones intimes et je ne pouvais donc pas confirmer sa propre excitation.
C'était d'ailleurs un sacré paradoxe de notre relation à ce moment : Emilie me suçait régulièrement et recevait mon sperme dans sa bouche mais je ne l'avais jamais vu nue (comme je le lui avait bien fait remarquer). Je ne l'avais jamais non plus embrassée ni même touchée ailleurs que, par exemple, à l'épaule quand je lui donnais une tape faussement autoritaire en disant « au boulot ».
La situation d'alors était donc assez confuse pour moi mais elle s'apprêtait à s'éclaircir en partie alors qu'Emilie entrait dans mon bureau pour ma gâterie. Mon cœur s'arrêta alors un bref instant, tant j'étais subjugué à la beauté qui se présentait alors à moi.
Elle était en effet uniquement vêtue de ses sous-vêtements. Un simple soutien-gorge à dentelle et une petite culotte assortie. L'ensemble était simple, mais sur Emilie, le résultat était magnifique !

- Quelle entrée ! Tu es... superbe ! fis-je, réellement impressionné par sa beauté.
- Merci. J'ai réfléchi toute la nuit et je me suis dit qu'en effet, c'était un peu débile que je reluque et te suce la bite sans que tu ne m'ai jamais vue à poil. Alors voilà.
- J'adore quand tu réfléchis à ce genre de chose !
- J'imagine... Donc, tu voulais voir mes seins ?
- C'est bien ça !
Emilie mis les mains dans son dos et, habilement, dégrafa son soutien-gorge puis le jeta à mes pieds.

Je ne pus qu'entre-apercevoir ses seins car elle les masqua aussitôt avec ses mains. Celles-ci cependant, peinaient à occulter complètement son énorme poitrine.

Enfin, après m'avoir fait languir, elle me dévoila ce trésor que constituaient ses seins. Ils étaient comme je me les étais imaginé : gros et fermes, parfaitement proportionnés, à peine tombant du fait de leur volume. En un mot : magnifiques.

- Alors, satisfait ?
- Emilie, je ne te l'avais jamais dit car cela aurait été déplacé de ma part. Mais maintenant je crois que je peux me le permettre : tu es un putain de canon ! Une vraie bombe !
- En effet, normalement, un chef ne devrait pas dire ce genre de chose à sa collègue ! Mais merci, quand même, ça à l'air sincère !
- Ça l'est...
- Et même mes fesses ? Je trouve que j'ai un gros cul... me dit-elle l'air vraiment gênée par cet aspect de son physique.

Ah, le fameux « gros cul » d'Emilie ! Elle s'en plaignait régulièrement à chaque fois qu'elle abusait sur la bière ou la raclette ! Pourtant, même si je ne lui avais jamais dit, je trouvais son cul très joli. Et, au moment où ma belle collègue se retournait pour, justement, me montrer son cul, je pût alors confirmer la perfection du postérieur sous mes yeux.

- Ton cul... est parfait, Emilie. Je ne sais pas si tu dis ça parce que tu complexes pour de vrai ou juste pour avoir un prétexte de me le mettre sous le nez, mais je t'assure qu'il est superbe !
- Bah, je ne complexe pas... mais si je perdais un kilo ou deux, ça ne me ferait pas de mal ! répondit-elle en se retournant à nouveau face à moi. Bon, on s'y met ? ajouta-t-elle en évoquant mon anti-stress.
- Euh... tu n'avais pas dit que j'allais te voir « à poil » ?
- J'ai dit ça, moi ? Je ne crois pas... A moins, évidement, que mon chef m'ordonne d'enlever ma culotte pour voir ma petit chatte... Là, ce serait différent !
Son allusion à un ordre de ma part me fît douter. En effet, il était essentiel pour moi que toute cette histoire de fellation ait été proposée à la base par Emilie elle-même et qu'à aucun moment je ne lui ai imposé cela par la voie hiérarchique. Déjà que je ne lui imposais rien dans le travail, privilégiant toujours le participatif à l'autoritaire, je n'allais pas commencer avec des services sexuels !
- Euh, non ce n'est pas un ordre, répondis-je un peu gêné. Tu fais comme tu veux.
- Julien... arrête d'être con et ordonne-le-moi ! dit alors Emilie en souriant.
- Ah ? Ok... Désolé... Enlève ta culotte, c'est un ordre !
- Mieux que ça, chef... me demanda-t-elle en faisant mine de commencer à m'obéir avant de se raviser.

Comprenant son envie d'un vrai ordre, autoritaire et déplacé comme il faut, je décidai de jouer le jeu :
- Emilie, enlève tout de suite ta culotte et montre-moi ta chatte !
- Mmhhh, oui chef... A vos ordres ! répondit-t-elle en se mordant la lèvre inférieure comme une coquine.
Emilie plaça ses mains sur ses hanches et fît glisser sa culotte le long de ses hanches...

... puis de ses fesses...

... et enfin de ses cuisses.

Elle la retirait le plus doucement possible afin, visiblement, de me torturer en révélant son sexe très progressivement. Puis, enfin, elle la laissa tomber au sol, à ses pieds.

Quand enfin sa culotte fut à ses pieds, elle se redressa et mit aussitôt ses mains sur son sexe pour me le cacher, avec une mine baissée, faussement timide. Emilie avait manifestement décidé de jouer avec mes nerfs !

Puis elle me regarda intensément en couvrant toujours son intimité, comme si elle réfléchissait. Je n'osais pour ma part prononcer le moindre mot de peur de briser cet instant de pure magie.

Enfin, elle écarta ses mains et me révéla son sexe. Je vis alors à son regard fuyant que sa timidité n'était pas feinte et qu'il lui avait fallu finalement plus de courage que prévu pour s'offrir ainsi à mon regard, totalement nue, malgré une position encore assez prude.

Elle plaça ensuite ses mains derrière sa tête et écarta légèrement ses jambes. Plus question de pudeur alors : Emilie me dévoilait tout, avec une simplicité et une sensualité renversante.

Son sexe, que j'apercevais enfin sans aucune entrave, était, comme le reste de son corps, magnifique. Un pubis parfaitement glabre surmontait deux belles lèvres et un clitoris bien visible.
Mon cœur manqua plusieurs battements tandis que je la regardais ainsi dans la plus parfaite nudité. Un avion de chasse. Ma collègue était un avion de chasse, physiquement parfaite et, de plus, une très belle personne humainement parlant. En y repensant, ce fût un miracle que je ne tombai pas amoureux d'elle sur le champ.
Emilie, en subordonnée consciencieuse, me laissa observer son corps de longues secondes en se tournant sur le côté et de dos afin de m'offrir le spectacle de son corps divin sous tous les angles.
- Satisfait, chef ? me demanda-t-elle avec un sourire coquin mais encore timide.

- Jésus Marie Joseph... Tu es absolument magnifique, je suis comblé.
Emilie se pencha alors pour ramasser sa culotte et me la jeta. Je la saisi et eut alors immédiatement envie de la porter à mon visage pour m'enivrer de ses effluves intimes.

Mais je me retins, de peur qu'elle ne trouve cela déplacé, et me contentai de faire glisser le tissu entre mes doigts. Je constatai alors avec plaisir que la zone de la culotte en contact avec son sexe était passablement humide...
Emilie s'approcha alors de moi lentement puis enjamba mon genou droit. Elle s'approcha encore d'avantage, venant porter sa bouche vers mon oreille et, se faisant, s'assit à califourchon sur mon genou, son sexe plaqué contre mon pantalon.
- J'ai imaginé cette scène toute la nuit pour savoir si j'allais oser me mettre toute nue pour toi, me chuchota-t-elle alors en frottant son sexe sur le bas de ma cuisse et en palpant de sa main droite ma queue bandée au travers de mon pantalon. Même pendant que Fred me baisait, je réfléchissais à ça.
- Je... suis honoré... répondis-je péniblement tant la situation était intense.
- Tu peux l'être : c'est quand je me suis imaginé en train de se sucer, à poil, accroupie jambes écartées, que j'ai jouis... Du coup, ma décision était prise !
Honnêtement, si Emilie s'était contentée de continuer à me parler comme ça en frottant sa chatte sur moi tout en me caressant la bite, j'aurais facilement pu jouir ainsi. Mon état d'excitation était inédit et je ne pût me retenir de poser ma main gauche sur ses fesses alors posées sur mon genou.

Mais Emilie me la retira immédiatement en disant :
- Tututut... Il n'y a que moi qui aie le droit de toucher. Vous, chef, vous touchez avec vos yeux...
Je n'insista évidemment pas et laissa mon bras retomber, sans usage. Emilie, de toute façon, décida alors de se redresser pour s'occuper de moi. Elle ouvrit mon pantalon pour en sortir mon sexe totalement bandé, le pris en main pour commencer à me branler et s'accroupit, comme elle l'avait imaginé, jambes écartées. Dans cette position, j'apercevais parfaitement ses lèvres entrouvertes et son clitoris gonflé d'excitation. Son vagin, lui, m'était malheureusement caché. Mais je l'imaginais facilement dégoulinant de mouille vu la trace qu'il avait laissé sur mon pantalon !
Emilie se pencha pour embrasser mon sexe et commenta :
- La grosse queue du chef, rien que pour moi... J'en ai de la chance !

Puis elle se jeta sur ma bite et la suça avec toute l'expertise dont elle faisait preuve depuis quelques semaines.

Mais cette pipe était pourtant de loin la plus savoureuse de celles qu'elle m'avait faites. Non seulement, son excitation rendait Emilie plus vorace que jamais, mais surtout, ma belle collègue ne pût, ce jour-là, s'empêcher de se caresser pendant qu'elle officiait.

Ses caresses, d'ailleurs, se murent rapidement en masturbation en bonne et due forme.

De par sa position penchée sur mon bassin, je ne pouvais pas voir en détail ce que faisaient ses doigts. Mais vu le mouvement saccadé et régulier de son bras, il était évident qu'Emilie se doigtait tout en me suçant.

Notre niveau d'excitation respectif devait être au plus haut car, alors que je me disais ne plus être capable de tenir longtemps à ce rythme, j'entendis nettement les gémissements de plaisir d'Emilie s'accélérer puis, brutalement, je vis son bras se figer et ses cuisses se resserrer. Ma collègue venait de jouir, c'était évident, mais essaya de ne rien laisser paraître.
Elle reprit, en effet, une position normale et continua sa pipe comme si de rien était. Elle resta ainsi à genoux sans se toucher, se contentant de s'occuper de moi. Cette position d'Emilie était pour moi une douce torture. En effet, penchée ainsi sur moi, je ne pouvais voir que son dos nu, ses courbes avantageuses, sa croupe marquée et ses cuisses écartées. Ses seins m'apparaissaient de temps en temps, lorsqu'elle se redressait pour respirer ou pour me branler. Mais son sexe était toujours masqué. Pourtant, ainsi à genoux, je savais très bien que, de dos, le spectacle devait être fabuleux. J'imaginais sa chatte écartée, humide et encore tremblante de son récent orgasme. Et surtout je visualisais son anus, indécemment exposé et offert.
Ne pouvant malheureusement qu'imaginer cela, je compensai ma frustration en saisissant Emilie par les cheveux pour imposer le rythme de la fellation. Jouant le jeu, ma collègue mis les mains dans le dos et se laissa faire totalement.

Tout cet imaginaire que je faisais tourner dans ma tête couplé à la délicieuse pipe d'Emilie que je rendais profonde en appuyant sur sa tête, ne m'aida pas dans mes capacités d'endurance ! Alors que je sentais l'orgasme monter, je la prévins, comme à mon habitude, de l'imminence de l'explosion, la laissant choisir la modalité de finition.
Emilie avait semblait-il décidé de m'accueillir dans sa bouche puisque malgré mon avertissement, elle continua de ma sucer divinement jusqu'à ce qu'enfin je jouisse en elle. Elle accompagna mon éjaculation en me branlant et en me suçant doucement et, à ma grande surprise, je vis aux mouvements de sa gorge qu'elle avalait mes premières giclées.

Malgré une activité sexuelle en hausse depuis qu'Emilie s'occupait de moi, je savais et sentais que je venais d'envoyer dans sa bouche une belle quantité de sperme. Elle dû d'ailleurs se résoudre à n'en avaler qu'une partie et recracha le reste tout en continuant de le pomper doucement le gland.

Puis elle me libera enfin et je vis sa bouche encore pleine de ma semence. Elle laissa ainsi sa bouche ouverte pour m'en montrer le contenu puis avala fièrement le tout.

Enfin, elle s'essuya les lèvres avec le dos de sa main et se redressa, visiblement fière d'elle.
- Et voilà, chef ! Satisfait ?
- Et comment ! C'était délicieux !
- Pour moi aussi, littéralement, héhé !
- Oui, j'ai vu... Tu m'as surpris d'ailleurs...
- Je t'ai dit que j'avalais parfois si l'envie m'en prenait. Et là, je t'avoue, j'en avais très envie !
- Tant mieux alors, dis-je en évitant de lui avouer que j'avais également remarqué le reste, ses caresses, son orgasme. Je te remercie encore, c'était divin !
- Cool ! Bon par contre, ne t'habitues pas trop à ce niveau à chaque fois, hein. Maintenant qu'on a remis un peu d'équilibre dans cette affaire, on va pouvoir revenir à des pipes plus... « classiques », avait conclu Emilie en sortant de mon bureau, ses sous-vêtements plaqués sur son corps par pudeur pour cacher ses seins et son sexe, comme si la folie qui s'était emparé d'elle venait de s'évaporer.
Sans répondre, je souri en la regardant filer de mon bureau en trottinant sur la pointe des pieds, les fesses à l'air et en repensant à ce qu'elle venait de dire à propos de l'équilibre. Emilie me suçait et me branlait depuis des semaines et estimait qu'elle venait de remettre de l'équilibre en s'exposant à poil devant moi et en avalant mon sperme. Certes, j'avais joué sur ce tableau pour la voir toute nue mais de là à ce qu'elle estime elle-même que la situation était « équilibrée »... De deux choses l'une : soit j'étais un négociateur hors pair, soit Emilie adorait vraiment les pipes qu'elle me faisait au point de se sentir coupable !
Par ailleurs, si Emilie pensait que nos petites séances allaient revenir à un niveau « classique », elle se trompait lourdement. Il se pût même qu'Emilie elle-même ne le pensais pas mais ait dit cela pour s'auto-convaincre. En tout cas, c'est elle qui, dès la semaine suivante, m'offrit ses seins nus pour recevoir mon éjaculation, sans que je ne lui demande rien.

A suivre...
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