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Legul
23 janvier 2023
L'anti-stress - 3

Les jours qui suivirent furent une succession de tâches administratives pénibles, de soirées paperasses interminables et, heureusement, de pauses pipes délicieuses qui gardaient la même intensité et devenaient même plus fréquentes. J'avais laissé tomber tout complexe à lui demander une gâterie lorsque j'en avais envie et elle-même n'évoquait plus guère mon état de stress lorsqu'elle me proposait ce genre de pause ! Ainsi, d'une pipe par semaine, nous étions passé à 2 ou 3 sans trop nous en rendre compte.

Durant 15 jours, notre complicité sexuelle ne cessa de se développer et je sentais que « l'équilibre » évoqué précédemment ne pourrait plus tenir longtemps. Alors qu'Émilie m'avait interdit de la toucher lors de cette fameuse séance où elle s'était mise à nu pour la première fois, je n'hésitais plus, à présent, à lui caresser les fesses et les seins lorsqu'ils passaient à ma portée tandis qu'elle me suçait. Son sexe restait encore une zone inexplorée pour moi, mais pour combien de temps encore ?



De son côté également, l'ambiance était torride. Terminées les pipes organisées à mon bureau, durant cette période, c'était le plus souvent où elle voulait, quand elle voulait. Si l'envie lui en prenait, elle me baissait le pantalon pour me pomper pendant que je faisais la vaisselle après la pause déjeuné ou pendant que j'étais au téléphone.



Elle m'a également sucé une fois dans la voiture de service, en nous rendant à une réunion importante (en l'occurrence, pour cette pipe au volant, elle s'était justifiée en affirmant que la réunion s'annonçait stressante, ce qui était tout à fait vrai).



Elle avalait encore mon sperme lorsque l'occasion se présentait mais m'autorisait aussi à la recouvrir en d'autres endroits, comme les seins ou encore le ventre. Son visage, alors, était une zone taboue que je n'osais lui proposer !



Cette période était vraiment très excitante et nous nous comportions comme un jeune couple d'amoureux passionnés pour lesquels tous les moments étaient sujets à la baise. Sauf que dans notre cas, nous n'étions pas amoureux et que nous ne baisions pas. Mais tous les moments étaient sujets à la frivolité.

Émilie me faisait régulièrement du pied sous la table de temps de midi, allant même jusqu'à me palper l'entrejambe avec son pied, me montrait ses seins lorsque j'étais au téléphone ou encore me claquait ou me pelotait les fesses à la moindre occasion.





Durant les fellations, ma collègue avait perdu toute retenue. Elle se caressait systématiquement en me suçant, que ce soit lorsqu'elle était habillée...



... ou complètement nue.



Mais cependant, elle ne s'était encore jamais exposée totalement face à moi, jambes grandes écartées par exemple, si bien que malgré les nombreuses expériences vécues ensemble, son sexe était encore en partie inconnu pour moi.
Durant cette période, mon comportement aussi avant changé, évidemment. Je n'hésitais plus à commenter la beauté de sa poitrine ou à toucher voire caresser ses seins lorsqu'elle me mettait son décolleté sous le nez lorsque nous travaillions sur un dossier.



Je lui caressais les fesses dès que j'en avais la possibilité ou encore je lui demandais souvent de me montrer sa culotte lorsqu'elle était en jupe, en prétextant qu'elle devait toujours une lingerie impeccable pour son chef.



Tous ces comportements traduisaient une normalisation de notre statut de « fuck friends » mais restaient cantonnés au bureau. Hors du travail, les quelques soirées avec ma femme et Fred, le copain d'Émilie, ne passèrent tout à fait normalement et rien ne laissait penser à notre façon de nous déstresser au bureau !
Cette banalisation des « pauses pipe » allaient rapidement engendrer une nouvelle progression dans notre relation.

Un lundi, en effet, alors que je raccrochais tout juste d'une conversation téléphonique longue et pénible avec un de nos partenaires financiers et emmerdeur notoire, je décidai d'aller dans le bureau d'Émilie pour en discuter. En entrant dans son bureau, je la vit assise en train de rédiger un mail et je la trouvai soudainement très sexy. Sa petite jupe était légèrement remontée sur ses cuisses et révélait ainsi ses belles et longues jambes.



Les éléments de discussion sérieuses que j'avais en tête se changèrent alors en pensées salasses.
- Quelles bandes de cons, quand même, à la DGEM (la direction générale des enculeurs de mouches, pour les non-initiés) ! Ils m'ont pris la tête alors que j'étais de bonne humeur. Du coup... je ne serai pas contre une petite pipe !
- Oui... Euh, attend un instant, je finis un mail important, répondis Émilie en me jetant à peine un regard, absorbée par son ordinateur.
- J'ai vraiment TRES envie, là....

De sa main droite, Émilie, toujours assise en train de regarder son ordinateur, me palpe le sexe.

- En effet ! commente-elle en constatant mon érection. Mais tu attendras bien 5 minutes que je finisse ça, chef.

Son attitude mutine me piqua gentiment au vif et je fus amusé par son professionnalisme malgré le fait qu'elle soit en train de me palper la bite. Encouragé par des semaines de comportements de plus en plus décomplexés, je décide de passer outre sa requête. Je sors ma queue bandée de mon pantalon et vient frotter le gland ses les lèvres d'Émilie en disant :

- Non, ça ne peut pas attendre. Fait une pause et suce ton chef. Maintenant !

Elle arrêta alors de taper sur son clavier, se tourna vers moi avec un regard surpris, presque agacé puis fixa ma queue sous son nez. Elle reposa les yeux sur moi et répondit simplement « bien chef ». Elle saisit fermement ma queue puis, après m'avoir lancé un regard à nouveau agacé, goba mon sexe et le suça avec habileté et fougue.

La fellation était agréable mais Émilie semblait plus pressée que d'habitude et n'y mettait pas la même passion.

- Ne te précipite pas, on a le temps. J'ai envie d'en profiter ! lui dis-je en lui retenant un peu la tête qui allait trop vite à mon gout.



- Mais j'ai mon mail à finir...
- Tu l'enverras demain. On est déjà complètement à la bourre sur ce dossier, quelques heures de plus ne changeront rien.
- Bon, dans ce cas...

Émilie attrapa alors son téléphone et, tout en me branlant d'une, se mit à écrire un sms de l'autre. « Je vais rentrer tard, tu t'occupes du repas ? » la vis-je envoyer à Fred avant de déboutonner complètement mon pantalon pour avoir mieux accès à mon sexe. Elle en profita pour jouer avec mes testicules me lécher le sexe de bas en haut puis reçu une réponse positive de son copain pour l'organisation du repas du soir.


Elle posa donc son téléphone sur son bureau et me dit en déposant un tendre baiser sur mon gland :

- C'est bon, je suis toute à toi !
- Toute à moi ? Excellent ! répondis-je en passant ma main dans ses cheveux.

Mais ce geste en apparence romantique avait une fonction bien plus cochonne en réalité et Émilie le savait très bien. Elle ouvrit la bouche pendant qu'avec mes deux mains, je dirigeai sa tête vers ma bite. Je m'enfonçai lentement en elle jusqu'à buter contre le fond de sa bouche puis reculai avant de reproduire la manœuvre en poussant un peu plus loin.
Cela faisait plusieurs jours qu'Émilie me laissait parfois la maîtrise de la fellation et que je tentais des gorges profondes avec elle. Toujours sans brutalité, évidemment, et je me calmais dès que je la sentais en inconfort.
Mais ce soir, j'étais très excité et je comptais bien pousser l'expérience un peu plus loin. Toujours assise sur son fauteuil de bureau, Émilie me laissait complètement faire. J'avais sa tête entre mes mains et je lui baisais la bouche sans brutalité mais tout de même plus profondément que ce que nous n'avions jamais fait.



Inactive, jouant l'assistante soumise, Émilie se mît à l'aise sur son fauteuil. Elle écarta ses jambes qu'elle calât de part et d'autre des accoudoirs et commença à se caresser le sexe au travers de sa culotte. Mon excitation se décupla encore en la voyant ainsi se faire du bien tout en me laissant libre accès à son gosier. Je lâchai donc sa tête de ma main droite pour aller la glisser dans son décolleté. J'en sortis ses gros seins nus et me mît à les pétrir fermement.

- Pas de soutif, hein ? Tu deviens très cochonne, Émilie... Si ça continue, un jour tu viendras au bureau sans culotte !
- Ça te plairait, ta collègue sans aucun sous-vêtement ? me demanda-t-elle en se retirant de ma queue.
- Carrément !
- J'y réfléchirai... répondit-elle simplement en attrapant à nouveau ma bite pour la sucer.

Cet échange ayant interrompu mes tentatives de gorge profonde, je la laissai reprendre tranquillement la gestion de la pipe pour me concentrer sur ses seins que je caressais et malaxais. Je déclenchai même un gémissement et des frissons chez elle lorsque je touchai ses tétons tout durs pour les pincer doucement et les faire rouler entre mes doigts. Je la vît accélérer le rythme de ses caresses sur son sexe et j'eus alors l'irrésistible envie d'aller toucher cette zone jusqu'à présent interdite. Ne sachant pas qu'elle allait être la réaction d'Émilie, je fît glisser ma main droite lentement le long de son corps, depuis sa poitrine nue jusqu'au bas de son ventre, en glissant le long de sa petite robe. Arrivé au contact de la dentelle de sa petite culotte, je glissai un doigt vers son sexe en passant par son pubis et en descendant doucement vers son clitoris.

J'essayais d'être le plus lent et doux possible afin de laisser tout le temps nécessaire à Émilie de me signaler sa désapprobation éventuelle. Mais, celle-ci ne venant pas, je continuai mon chemin jusqu'à entrer en contact avec ses doigts qui s'activaient sur son clito. Avec mon doigt aventurier puis avec un deuxième venu rejoindre bravement l'expédition, je me joignis à elle pour caresser son sexe. Je sentais distinctement son clitoris gonflé de plaisir sous sa fine culotte puis, glissant vers ses lèvres et son vagin, je perçu la moiteur du tissu.

J'effleurai également et pour la première fois, au détour d'une caresse, une parcelle de peau très intime, dépassant de sa culotte trempée et déformée. Je venais de toucher une de ses lèvres vaginales, puis, sur ma lancée, son clitoris.



Émilie, qui ne contestait pas pour l'instant mes caresses, s'interrompit dans la fellation qu'elle me faisait.

- Tu es bien aventureux, ce soir...
- Tu ne veux pas que je te touche à cet endroit ?
- C'est... très intime, disons.
- Plus que ma bite dans ta bouche ?
- Petit malin ! Tu vois très bien ce que je veux dire... J'ai le sentiment que c'est... trop loin.
- Trop loin ? C'est une question de point de vue...

Avec la ferme intention de pousser ma chance jusqu'au bout, je remis le doigt sur sa culotte et fît tournoyer son clitoris, ce qui la fît à nouveau gémir.

- Hum... a priori, ça ce n'est pas « trop loin »...

Je glissai mon doigt sur son vagin pour caresser son sexe au travers du tissu puis remontai rapidement sur le clitoris.

- Bon... ce n'est toujours pas « trop loin » on dirait...

Je recommençai une nouvelle fois en instant d'avantage sur le vagin et ses lèvres, toujours sans réaction de la part d'Émilie qui fermait les yeux en gémissant et sans lâcher ma queue qu'elle branlait de sa main droite. Puis je glissai à nouveau vers ses lèvres en m'aventurant cette fois-ci rapidement sur sa peau nue côté de la culotte, d'abord côté gauche, puis côté droit, puis en écartant ses lèvres avec deux doigts de manière à ce que la culotte ne cache plus grand-chose, et toujours en retournant stimuler son clitoris afin de maintenir Émilie dans un état de plaisir continu.

N'ayant toujours eu aucune réaction négative, bien au contraire, je descendis une nouvelle fois mon doigt vers son vagin, puis vers ses lèvres nues et, enfin, je glissai sous sa culotte pour insérer mon doigt en elle. Cette pénétration provoquant un long soupir de plaisir et, aussi, de soulagement.



Elle ouvrit les yeux, me pris la tête dans ses mains et m'approcha de sa bouche pour m'embrasser langoureusement.



Nos langues entrèrent en contact pour la toute première fois, tournèrent rapidement ensemble pendant que je mon doigt était toujours enfoncé en elle, mais immobile.

- Encore ! soupira-t-elle en se séparant de mes lèvres.

Libéré par cette supplique, j'écartai complètement sa culotte pour continuer cette masturbation dans de bonne condition.



Puis finalement, je saisi sa culotte à deux mains et lui enleva rapidement. Se faisant je découvrais, également pour la première fois, son sexe dans sa globalité, sans aucune entrave. Émilie était jambes écartées, chatte à l'air et, avachie sur son fauteuil.
J'aurai alors aimé la masturber pendant de longues minutes, la doigter, la lécher pourquoi pas. Mais l'excitation d'Émilie était bien trop forte. A peine avais-je commencé de jouer avec son clito puis d'enfoncer en elle deux doigts pour la masturber qu'elle jouit bruyamment en m'agrippant par le cou.



Lorsqu'elle s'écarta de moi, l'Émilie que je connaissais revenait à elle. Elle me sourit et plaisanta :

- Merci Chef... C'était... fabuleux.
- De rien, mon petit ! répondis avec la voix grave caricaturale.

Puis Émilie regarda ma queue encore bandée et soupira :

- Par contre tu m'as vidée... Je n'ai pas la force de te finir ! Tu te débrouilles, pour une fois, et tu viens sur moi ?
- C'est dans mes cordes... Tu veux que je vienne où ?

Émilie me regarda alors longuement dans les yeux sans répondre puis, enfin, glissa de son fauteuil pour se mettre à genoux devant moi.

- Un tel orgasme mérite un cadeau à la hauteur... déclare-t-elle en se rabattant les cheveux derrière les oreilles et les épaules.
- Tu... tu es sûr ? demandais-je, interloqué par l'opportunité qu'elle m'offrait.
- Oui, mais ne m'en met pas dans les cheveux, je déteste ça.
- Ok...

Sans plus attendre de peur de voir ma chance passer, je me masturbai donc au-dessus du visage d'Émilie et, sentant rapidement l'orgasme monter, je me reprochai d'elle pour être sûr de ne pas atteindre ses cheveux. Mon éjaculation, divine vu les circonstances, fût massive mais heureusement peu puissante. Mon jet le plus lointain s'abattit sur le front d'Émilie tandis que le reste tombait sur son nez, ses joues ou sa bouche qu'elle avait gardée ouverte contrairement à ses yeux qui étaient clos.



Sentant que le bombardement était terminé, Émilie rouvrit les yeux et commenta :

- Putain.... J'ai l'impression que tu m'en a mis partout !
- Oui, c'est le cas.
- Je dois avoir l'air d'une sacrée salope !
- Tu es superbe, je trouve.
- Normal, tu es un pervers ! Mais moi je suis une dame de bonne vertu, monsieur, haha !



Émilie se releva et se dirigea vers les toilettes de notre bureau. Posée devant le miroir du lavabo, je l'entendis alors commenter :

- Et ben, heureusement que je l'ai pas avalée, celle-là ! Je suis recouverte...
- Désolé...
- Je confirme, j'ai l'air d'une pute après une grosse journée. Je ne sais vraiment pas pourquoi vous trouvez ça excitant, mais bon... conclut-elle en attrapant des serviettes en papier pour se nettoyer.

La situation était surréaliste : Émilie, le visage couvert de sperme, se contemplait devant le miroir en plaisantant sur son aspect. Ce qui me faisait le plus fondre, c'était qu'elle n'appréciait même pas spécialement ça mais elle me l'avait proposé spontanément pour me faire plaisir. Fred, y avait-il aussi droit ? Sans doute, oui, mais pas sûr...

Le lendemain matin de cette soirée fabuleuse, l'ambiance entre Émilie et moi était paradoxalement plus tendue que la veille alors que nous venions de franchir un cap important dans notre relation. L'excitation du moment nous avait fait faire des choses que nous nous refusions jusqu'à présent. J'avais vu Émilie totalement nue, sans la moindre pudeur, je l'avais doigtée, fait jouir et j'avais éjaculé sur son visage. Elle-même m'avait demandé tout cela et m'avais même embrassé langoureusement puis s'était amusé de son aspect devant le miroir en voyant mon sperme lui maculer le visage.

Nous étions donc bien loin des petites pipes anti-stress des débuts mais il me semblait que cela avait été voulu pour tous les deux. Ce matin, pourtant, Émilie semblait distante.

- Julien, dis-moi, finit-elle enfin par articuler en lavant son mug de café, on a un peu déconné hier, tu ne trouves pas ?
- C'est vrai qu'on est allé un peu loin. Je suis désolé pour la faciale, je n'aurais pas dû.
- Non, je ne parle pas de ça. On s'en fout de la faciale, c'est moi qui te l'ai proposé... Je parlais plutôt du baiser. Je n'aurais pas dû t'embrasser, je suis désolée.
- Je... je ne vois pas le problème...
- Une pipe, c'est sexuel, c'est juste du plaisir, du fun. Un baiser, par contre, c'est intime, c'est sentimental. Et ça me gêne plus vis-à-vis de Fred que ce qu'on a fait jusqu'à présent.
- Je crois que je comprends.
- Cool, parce que... on n'est pas... amoureux, hein ?
- Non, non, je te rassure. Enfin, je t'adore et, comment dire, tu suces quand même vachement bien ! Mais je ne suis pas amoureux, si ça peut te rassurer.
- Bien, moi non plus ! Même si tu doigtes vachement bien aussi !

Nous nous sommes donc mis d'accord à ce moment pour ne plus nous embrasser lors de nos petites séances anti-stress et Émilie, pour conclure, palper le paquet en me disant qu'il aurait été dommage de gâcher nos petits moments complices avec des sentiments à l'eau de rose !

Le reste de la semaine s'est donc passé dans une ambiance à nouveau sereine et franchement torride. Émilie et moi avions actés que désormais nous nous occuperions mutuellement de notre stress bien que le stress ne soit plus à présent qu'une excuse à nos envies de batifolage. Émilie me suçait aussi souvent qu'elle ou moi le voulait, à n'importe quel moment de la journée.



De la même manière, je la masturbais et la doigtais à la moindre occasion, autant pour son propre plaisir que pour le mien. Le fait qu'elle travaille ou qu'elle téléphone ne m'empêchais pas de lui soulever la jupe pour la doigter à la sauvette et la faire jouir alors qu'elle discutait avec un partenaire !





La journée du jeudi de cette semaine totalement déraisonnable, je fis jouir Émilie 3 fois et j'osai même, avec succès, la lécher. Mon premier coup de langue sur son clitoris, tandis que je la doigtais énergiquement, avait été prudent et furtif mais la réaction de surprise d'Émilie m'avait rassuré. Elle avait gémit et m'avais félicité de ma prise d'initiative ! Je l'ai donc « fini » facilement, pour son troisième orgasme de la journée, par un cunnilingus vorace. Mes doigts la pénétraient évidement en même temps et venaient également titiller son anus luisant de mouille et de salive.



Mais hormis le fait de jouer avec son petit trou et d'y enfoncer très timidement quelques millimètres de mon doigt, je décidai de ne pas pousser plus loin ma chance.

Le lendemain matin, vendredi, en faisant le point sur mes rendez-vous de la semaine qui allait suivre, je m'exclamai devant mon ordinateur :

• Putain, j'avais complètement zappé ça ! Chier !

Emilie débarque aussitôt dans mon bureau en ouvrant son chemisier et en disant :
• Bon, qu'est-ce que le chef a encore inventé pour avoir une pipe ??





Je regardai alors sa poitrine nue, sans soutien-gorge, sortant de sa chemise ouverte et, malgré mon excitation naissante, j'étais vraiment ennuyé par ce dont je venais de me rappeler et me senti obligé de me justifier.

- Je n'ai rien inventé du tout ! C'est toi qui te dessape sans que je ne te demande rien, espèce de nympho ! J'ai juste oublié un « tout petit » changement dans notre organisation de travail : Julie arrive la semaine prochaine !

Julie était notre nouvelle recrue, celle que nous avions embauché il y a quelques mois et qui, à cause des délais de préavis, n'arrivait que maintenant. Julie était une ancienne collègue de la Fac, une copine à ma femme et moi avec qui nous avions perdu contact lorsqu'elle avait trouvé son premier job. Elle avait eu un fils, aujourd'hui âgé de 3 ans, avec un mec donc elle s'est malheureusement séparée depuis. Cherchant à se rapprocher de chez ses parents et à s'éloigner un peu de son ex et de sa nouvelle femme, Julie était revenue dans la région et cherchait du travail.

C'est en refaisant une soirée à la maison, après des années sans s'être vu, que j'avais dit à Julie que je cherchais à recruter suite à des changements dans mon service. Ma femme, qui pourtant adore Julie, s'était d'abord montrée peu emballée par cette perspective. En effet, outre ses qualités professionnelles, Julie était une pure bombe. Une grande blonde avec des fesses superbes, une poitrine moyenne mais en général bien mise en valeur par des tenues décolletées, un visage d'ange et des yeux bleus qui vous arrachent la chemise.



Cette femme avait eu, en plus, l'insolence de garder un corps apparemment magnifique après sa grossesse, d'après ce que m'avais dit ma femme.

En toute honnêteté, le célibat prolongé de Julie était pour mon épouse et moi un mystère mais il est vrai que de fréquenter quelqu'un lorsqu'on a un jeune enfant n'est pas une chose facile.

Julie avait passé son entretien en présence d'Emilie et moi, ainsi que d'un directeur adjoint et avait conquis l'ensemble du jury par son CV impressionnant, son professionnalisme, sa bonne humeur... et son physique incroyable.



Mais ce professionnalisme avait fait que son précédent employeur l'avait gardé le maximum possible : 4 mois. 4 mois pendant lesquels nous avions dû nous débrouiller seuls avec Emilie dans la gestion d'un service qui aurait nécessité 4 personnes. 4 mois de stress, de soirées de travail interminables et, du coup, de moments complices avec Emilie ayant abouti à notre actuelle relation de « sex-friends ».

C'est donc en partie cette attente et la surcharge de travail ainsi généré qui nous a mené là où nous en étions : une collègue seins nus, chemiser ouvert, dans mon bureau en train de s'agenouiller devant moi pour me sucer.

- Enfin elle arrive, déclara Emilie en sortant mon sexe de mon pantalon et sans s'offusquer du fait que je la traite de nympho !
- Oui, enfin ! Il y a tellement de travail pour elle qu'il faut que je fasse gaffe à ne pas lui faire peur dès le premier jour.
- C'est clair ! Mais pourquoi tu as dit que ça faisait « chier », me demanda-t-elle en commençant de me sucer.



- Parce que je n'ai pas préparé son arrivée et aussi parce que ça va compliquer nos petits moments comme celui-ci, répondis-je en prenant sa tête dans mes mains pour enfoncer ma queue le plus profondément possible dans sa bouche.

Emilie avala mon membre jusqu'à la garde puis releva alors la tête et s'exclama :

- Ah merde, je n'avais pas pensé à ça ! C'est sûr que ça va être plus dur d'avoir un moment tranquille pour tes pipes !
- Et pour tes orgasmes aussi, je te signale !
- Certes... Et, idem, terminé les promenades à poil en sortant de ton bureau, les seins pleins de sperme !
- Chier...
- Et les faciales... j'ai bien peur que celle de lundi ait été la première et la dernière, chef !
- Ah fait chier, putain !!

Emilie retourna à sa pipe avec entrain pendant que je râlai encore un peu. Puis elle se redressa à nouveau :

- Ne t'inquiète pas, Julien, on trouvera quand même des moments. Je n'ai absolument pas l'intention d'abandonner cette belle grosse bite ! C'est aussi mon anti-stress à moi ! Faudra juste être prudent et calmer un peu le jeu sur les excentricités...
- En parlant d'excentricité... J'abuse si je te demande une petite faciale avant que ça devienne compliqué ?
- Encore ?? Deux faciales dans la même semaine ? Tu m'as pris pour une actrice porno ?
- Désolé... je suis gourmand...

Emilie se redressa et je me dis alors que j'avais abusé et que la pipe était terminée.

- Tu as de la chance que, moi aussi, je suis gourmande et que ça va être plus compliqué pour moi également à partir de la semaine prochaine.

Elle s'assit alors sur mon bureau et écarta les jambes, exposant et caressant sa culotte trempée.



- Tu as 5 minutes pour me faire jouir. Ensuite, je reconsidérerai ta demande de faciale ! déclara-t-elle en écartant sa culotte sur le côté.



Je me jetai sur elle pour lui arracher la culotte et, 4 minutes plus tard, Emilie jouissait sous mes doigts experts qui la pénétraient furieusement par groupe de 2 ou 3 et ma langue qui jouait avec son clitoris.



Puis, 5 minutes plus tard, je jouissais sur le visage souriant d'Emilie, lui en mettant principalement sur le nez, les joues et dans la bouche.





C'était la dernière fois que nous pouvions ainsi batifoler sans risque de nous faire prendre.

A suivre...

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