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Legul
19 février 2023
L'antistress - 4

Le lundi suivant, Julie prenait son poste dans notre service. Elle apporta rapidement la bonne humeur et la force de travail que nous attentions d'elle. Mais sa présence nous obligea cependant à faire bien plus attention à nos gestes, nos habitudes, nos remarques. Plus question de se peloter les fesses le temps de midi, de commenter les aptitudes grandissantes d'Emilie à la gorge profonde ou l'état d'humidité de sa culotte alors que l'heure de ma pipe approchait !

Le naturel revenait cependant parfois au galop et certains gestes ou allusions auraient pu nous trahir. Les discussions étaient en effet très conviviales et toujours aussi grivoises, cyniques et portées sur l'humour noir et le second degré qu'avant. Ainsi lorsqu'une allusion au fait qu'Emilie suce divinement bien m'échappait, je n'avais aucun mal à faire passer cela pour de l'humour, aidé en cela par Emilie qui en rajoutait sur le fait qu'elle avalait ! Julie, jouant d'abord les choquées, avait rapidement pris de l'assurance et participait avec nous à cette ambiance. Son registre, cependant, était différent puisqu'elle parlait sans détour de son manque d'activité sexuelle depuis sa séparation et de combien tout cela lui manquait.

Heureusement pour Emilie et moi, les horaires de Julie étaient contraints par la nounou de son fils lorsqu'elle en avait la garde. Nous pouvions donc toujours, en fin de journée, organiser des soirées de travail agrémentées d'une pipe. Par contre, les semaines où notre nouvelle collègue n'avait pas son bambin signifiaient pour nous une quasi-impossibilité de partager un moment coquin puisque Julie ne comptait alors pas ses heures pour rattraper le travail en retard.

Dans ces moments, les soirées se passaient du coup avec Julie, Emilie n'ayant plus vraiment de raison de rester aussi tard pour bosser. Mais alors que je craignais que cela nous éloigne, Emilie et moi, cette situation de clandestinité nous a, au contraire, rapproché.

En effet, s'il n'était plus question de batifoler au grand jour, nous profitions du moindre moment de tranquillité pour nous « déstresser » mutuellement. Elle me suçait à la sauvette lorsque Julie partait au courrier ; je la doigtais debout, à la photocopieuse lorsque notre collègue était au téléphone, etc.

Cependant, le nombre d'anti-stress avait diminué pour moi et il se pouvait parfois qu'il se passe une semaine sans que je ne puisse profiter de la divine bouche d'Emilie. Cette situation était d'autant plus difficile que Julie exerçait sur moi un envoutement de plus en plus fort. Cette femme était belle et intelligente et assumait totalement son côté glamour par des tenues et des comportements souvent coquins, parfois même sexy. Ses décolletés étaient profonds, ses jupes étaient courtes et ses pantalons étaient moulants.





Emilie, en fine observatrice, avait bien remarqué le sex appeal de Julie et m'avait plusieurs fois fait remarqué qu'il serait plus simple pour nous si elle était au courant, et plus agréable encore si elle participait ! Mais j'avais évidemment rejeté cette idée car, en plus de devoir gérer 2 maitresses au lieu d'une, en plus d'un travail déjà chargé, il se trouvait que Julie était une amie de longue date de ma femme. Hors de question donc qu'elle découvre, ou participe à nos petites affaires.

Le quotidien était donc, durant cette phase de la vie de mon service, plus studieux qu'auparavant moins dévergondé mais plus pimenté car la discrétion était de mise. L'ambiance était toujours aussi bonne et nous avons rapidement formé un trio complice.

Heureusement, la vie de mère de famille est quelque chose de compliqué et Julie devait parfois rester à la maison pour garder son fils malade. En ces occasions, la productivité du service baissait drastiquement non pas à cause de son absence mais parce que nous en profitions, Emilie et moi, pour rattraper le temps perdu ! C'est notamment lors d'une de ces journées « enfant malade » que je vis un matin Emilie arriver au bureau avec une paire de lunettes que je ne lui avais jamais connu ainsi qu'une mini-jupe plus courte que celles qu'elle portait d'habitude.




- Tu portes des lunettes, toi maintenant ? C'est l'âge ? demandais-je stupidement en la voyant arriver.
- Pfff... je voulais te proposer de faire ton assistante salope toute la journée, mais tu es peut-être trop bête pour le mériter !

Fort heureusement pour moi, ma bêtise matinale trouva une excuse dans le manque de café et je pu donc profiter une bonne partie de la journée de la proximité d'Emilie dans cette tenue caricaturale mais très plaisante de secrétaire salope. Nous avons travaillé à peu près classiquement toute la matinée mais j'avais en bonus son décolleté, ses cuisses ou son cul sous le nez. C'était fabuleux mais mon efficacité à avancer sur mes dossiers s'en ressentait !








Vers midi, Emilie, en parfaite assistante, me proposa un massage et je senti alors au contact d'une fine dentelle sur ma nuque, qu'elle était en soutien-gorge dans mon dos.



Puis, tandis qu'elle me massait les épaules, il me lâcha le côté droit pour ne masser que mon épaule gauche. Elle trifouilla dans mon dos sans que je sache ce qu'elle faisait puis frotta son sein nu contre mon cou. Le meilleur massage du monde !



Emilie repassa alors devant moi avec, effectivement, un sein à l'air et joua avec ma cravate.



- Bon, j'ai fini de travailler pour la matinée, on dirait...
- Oui, c'est l'heure de ta pause anti-stress ! Pour préserver ta productivité... Tu vois ? ajoute-t-elle en se rapprochant de moi.

Comme envouté, j'approchai mes lèvres pour l'embrasser.



- Tutut ! On avait dit pas de baiser ! intervint alors Emilie en se retirant au dernier moment.
- C'est vrai, désolé... Mais rien ne m'empêche de t'embrasser le cul, par contre ! répondis-je soudainement en la retournant et en retroussant sa mini-jupe qui ne cachait plus grand-chose.

J'embrassai alors ses grosses fesses si bien mises en valeur par une petite culotte en dentelle noire.



- Quel cul magnifique ! Et dire que tu le trouves trop gros... C'est vraiment n'importe quoi, il est parfait !

Emilie se retourna alors et me remercia :

- Oohh ça c'est trop gentil, chef ! Tiens, pour la peine...

Et sur cette phrase en suspens, elle déposa un petit bisou sur mes lèvres.



Je fus alors bien plus surpris par ce baiser que par sa main qui, aussitôt, se posa sur mon sexe et le palpa au travers de mon pantalon. Me caresser le sexe était en effet bien plus « naturel » pour Emilie que de m'embrasser !



Elle sorti mon sexe de mon pantalon et commença à me masturber tout en me regardant dans les yeux.

- C'est le bisou qui te met dans tous ses états ? Tu es un grand romantique, en fait...



- C'est le goût de l'interdit qui m'excite, lui répondis-je en la prenant par le cou. Et plus c'est interdit, plus j'ai envie de le faire ! ajoutai-je finalement en embrassant langoureusement Emilie.



A ma grande surprise, celle-ci me rendit mon baiser et nos langues s'entremêlèrent pendant de longues secondes durant lesquelles elle continuait de me branler en frottant ses gros seins sur mon gland.



Puis Emilie se sépara enfin de mes lèvres en disant, dans un soupir excité :

- Bon... je vais m'occuper de toi avant qu'on ne rompe un autre interdit !


Puis elle se baissa et commença à me sucer délicatement.



Sa pipe, comme d'habitude, était délicieuse et la voire ainsi avec ses lunettes de secrétaire cochonne ajoutait un savoureux parfum de mise en scène porno qui tranchait terriblement avec nos maladresses des débuts.



Cependant, j'avais envie de plus, de beaucoup plus. Au bout de plusieurs minutes, je soulevai Emilie pour l'allonger sur mon bureau et lui écartai les jambes. Et tandis que je m'approchai d'elle, bite fièrement tendue dans sa direction, elle bafouilla :

- Houlà, attend !! Tu ne vas pas...

Je senti immédiatement sa vive inquiétude sur mes intentions. Même si l'idée de baiser ma collègue, là, sur mon bureau m'avais en effet traversé l'esprit, je changeai aussitôt mes plans afin de ne pas briser le charme du moment et, probablement, notre relation. Je m'agenouillai donc entre ses jambes pour la lécher ce qui lui fît pousser un long soupir de plaisir et, sans doute, de soulagement.



Tandis que je léchais le sexe d'Emilie pour mon plus grand plaisir autant que pour le sien, je revins à me demander pourquoi nous n'avions toujours pas coucher ensemble. La complicité entre nous était excellente et, sexuellement, nous avions fait bien plus de choses que certains couples « officiels ». Quel homme en effet pouvait se vanter de pouvoir avoir des pipes, des branlettes, des gorges profondes ou des faciales (presque) à volonté ? Le sexe d'Emilie n'était plus, depuis longtemps, une zone interdite et je le léchais et doigtais très souvent. Je m'étais même aventuré à l'entrée de son anus. Et pourtant, jamais je n'avais réellement baisé ma collègue, jamais cela ne m'étais venu à l'esprit et, évidemment, jamais Emilie ne me l'avait proposé.

J'imaginais que cela était pour elle une sorte de limite qui lui permettait de ne pas trop trahir son copain alors que, de mon côté, j'estimais que ce que nous faisions ensemble faisait déjà de nous des conjoints infidèles !

Mais là, alors que nous avions enfin le bureau libre pour nos ébats après plusieurs semaines à devoir être plus discrets, et surtout après ces baisers pourtant interdits qui m'avaient bouleversés bien plus que je ne l'aurais imaginé, j'avais terriblement envie de la baiser, ou plutôt de lui faire l'amour, tendrement, passionnément. Peut-être en effet, étais-je alors en train de tomber amoureux, ou au moins de développer des sentiments allant au-delà d'une amitié, fusse-t-elle sexuelle.

Quoi qu'il en soit, il était impensable que je franchisse ce pas au risque de tout foutre en l'air cette précieuse relation entre Emilie et moi. Je mis donc mon envie de côté et continuai de lui dévorer la chatte avec ma gourmandise habituelle.



- Mmhh c'est divin ! soupira-t-elle. Mais vient par-là, j'ai envie de te sucer !
- Et moi j'ai encore envie de te lécher... C'est con, hein ?
- Ah, si seulement il existait une position nous permettant de contenter tout le monde ! répondit-elle avec sarcasme.


Nous nous sommes donc positionnés en 69 sur mon bureau et avons continués durant de longues minutes nos caresses buccales mutuelles.



Pendant qu'Emilie me suçait avec une fougue rare et avalait presque entièrement mon sexe dans son gosier accueillant...



... je me délectais de son sexe, de ses fesses et de son petit trou du cul, offert comme rarement. Pendant que je lui léchais le clitoris, mes doigts lui pénétraient ses orifices, soit l'un après l'autre, soit les deux ensembles.



Et ce n'étaient les gémissements de plus en plus intenses d'Emilie qui allaient me dissuader de continuer à la stimuler ainsi ! Elle se trémoussait sur mon visage et s'activait sur mon sexe et je sentais bien que, en elle, l'orgasme montait.



Enfin, alors que je mordillais délicatement son clito et que 2 de mes doigts étaient profondément enfoncés en elle et qu'un troisièmement lui pénétrait doucement l'anus, Emilie jouit violemment en poussant un long et puissant gémissement qui se serait entendu dans toute l'entreprise si nous n'étions pas heureusement dans un local à part.



De mon point de vue, coincé sous son magnifique cul, je ne pouvais évidemment voir son visage. Mais les soubresauts de son sexe et de ses fesses en disaient long sur l'intensité de l'orgasme et le plaisir qu'elle ressentait.
Après quelques instants durant lesquels Emilie profita de sa jouissance, elle descendit du bureau tout en continuant à me sucer.



Puis elle m'annonça très officiellement qu'elle avait faim, que la pause déjeuné approchait et que pour respecter le droit du travail sur le temps de pause, elle allait devoir me finir rapidement !

Ce subtil mélange d'humour, de fausse revendication syndicale et de sexualité décomplexée me fît éclater de rire tandis qu'elle empaquetait mon sexe entre ses deux gros seins pour me faire une branlette espagnole.



- C'est la première fois qu'on fait ça, je crois ? lui demandais-je alors qu'elle crachait entre ses seins pour rendre encore plus agréable le frottement de mon sexe sur ses seins.
- Oui, il me semble. Tu aimes ? Je ne fais pas ça souvent, donc je ne suis pas experte !
- C'est excellent et tu t'y prend très bien, je t'assure !



- Je ne vais d'ailleurs pas tarder à te le prouver, ajoutais-je en sentant à mon tour l'orgasme monter.
- Bien !!! Allez, jouis, mon chef adoré ! Recouvre les gros seins de ta salope d'assistante !!

Emilie n'avait pas spécialement besoin de me parler comme ça pour me faire craquer mais il faut admettre que cela m'a bien plu quand même ! En tout cas, tandis qu'elle continuait de me branler avec ses seins, j'ai recouvert sa poitrine de sperme chaud dans un long râle de plaisir qui, lui aussi, aurait pu être entendu de loin si nous n'étions pas si isolé !



Emilie accompagna ensuite mes derniers spasmes de jouissance en me branlant doucement et en commentant :

- Voilà un anti-stress fort plaisant, n'est-ce pas chef ?
- Très plaisant oui... On va manger ?
- Oui ! Je meurs de faim !



Après un repas copieux, nous nous remirent au travail et, en fin de journée, après avoir à nouveau été allumé par cette vicieuse d'Emilie, j'étais à nouveau quelque peu excité. Pas suffisamment pour me faire sucer une deuxième fois de la journée et jouir rapidement avant de débrayer, mais assez pour avoir envie de jouer avec la chatte de ma collègue !




Je lui offris donc un second orgasme à la sauvette avant de finir notre journée de travail.








Ce jour-là, cependant, je me permis une chose que je n'avais encore jamais osé faire : tandis que je léchais l'anus d'Emilie tout en la doigtant, je lui ai baissé son string pour le lui enlever totalement et le mettre dans ma poche. Puis, alors qu'elle remettait en place ses vêtements avant de partir du bureau, elle me réclama sa culotte que je refusai de lui rendre.



- Les assistantes salopes vont et viennent sans culotte, c'est bien connu.
- Tu veux que je rentre chez moi sans culotte ? T'es fou, tu as vu la taille de ma jupe ? Et si Fred le voit ??
- Soit tu es prudente et tu files directement dans ta chambre en arrivant pour en mettre une autre. Soit tu es joueuse et tu restes comme ça pour allumer ton homme et lui offrir une partie de jambe en l'air dont il se souviendra ! Tu peux même lui raconter que c'est ton patron qui ta privé de ta culotte pour te punir, je suis sûr qu'il adorera le fantasme !! En tout cas, moi, je garde ce petit string trempé de mouille !
- Tu es devenu un sacré pervers, chef... répondit alors Emilie en souriant.
- En partie grâce à toi, je te signale... Et en plus tu adores ça !
- Certes... A demain, chef !

A suivre...

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