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Legul
8 mars 2023
L'anti-stress 6

Cette situation continua jusqu'aux vacances d'été. Julie venant d'arriver, elle ne put prendre que quelques jours avec ses fils mais Emilie et moi avions beaucoup de jours à poser vu que nous n'avions pas pu prendre de congés depuis le début de l'année. Mais, nécessité de service oblige, nous sommes partis en décalé, ce qui a fait que nous ne nous sommes pas vus pendant plus d'un mois.

Je suis parti le premier, pendant 3 semaines, laissant Julie et Emilie s'occuper seules du service.

Du côté de mon couple, ces vacances ont été une bouffée d'oxygène. En effet, la longue coupure avec nos dossiers a permis à ma femme et moi de nous retrouver, de passer des moments complices ensemble, sans aucune tension, et surtout, de faire l'amour plusieurs fois en un laps de temps réduit, ce qui ne nous était pas arrivé depuis des mois voire des années. L'harmonie qui faisait la force de notre couple était au rendez-vous et j'ai vraiment cru que nous allions repartir sur ces bases après les congés.

Les seuls moments de tension durant mes vacances ont finalement été lorsque j'ai commencé à recevoir des messages de mes deux collègues. Certains de ces messages concernaient des questions liées au travail, ce qui n'était pas gênant. Mais d'autres, les plus nombreux, étaient des messages plus amicaux, plus coquins. Tantôt Julie m'envoyait un selfie d'elle en me disant que « qu'elle s'ennuyait au bureau sans le chef à embêter »...



...tantôt elle m'envoyait une photo d'elle en robe ultra courte en me demandant si c'était une tenue « convenable professionnellement ? ».



Au début, je jouais le jeu en répondant, par exemple, que cette tenue n'était pas acceptable en réunion mais tout à fait souhaitée au bureau avec son chef. Mais comme les messages devenaient insistants, j'ai finis par demandé à Julie d'y aller mollo, histoire que ma femme ne tombe pas dessus. Ma collègue avait alors répondu que ce n'étaient que des messages innocents entre collègues et amis et que cela n'était pas bien grave. Mais elle avait tout de même un peu calmé le jeu.

Emilie n'était, par ailleurs, pas en reste concernant les messages coquins. Après avoir plusieurs fois fait allusion au fait, je la cite, que ma bite lui manquait, elle m'envoya à son tour des selfies. Ceux-ci étaient beaucoup moins « innocents » que ceux de Julie et Emilie y apparaissait en général moitié nue.



Tous ces messages, heureusement, arrivaient sur mon portable professionnel que je laissais dans mon sac de travail et que je ne regardais qu'une fois par jour pour gérer les éventuelles urgences. Heureusement, me dis-je à cette époque, que notre employeur nous ai fourni ces téléphones pro, adaptés aux chantiers à l'extérieur. Ils étaient lourds et moches, nous n'avions eu évidemment pas la possibilité de les choisir, tous les services ayant eu les mêmes modèles, mais au moins ils me permettaient de recevoir ce genre de photos sans me faire griller par ma femme. Et il devait en être de même pour Emilie qui m'envoyait avec son portable pro des photos de ses seins magnifiques, voire plus !



Puis un jour, je reçu un message bien plus stressant et bien moins sympathique. Emilie me disait que selon elle Julie était au courant ou au moins se doutait de quelque chose pour notre relation. Elle l'avait plusieurs fois interrogé sur la nature de notre relation et sur la manière dont nous avions passé le cap difficile du début de l'année en restant ainsi autant soudé. Elle ajouta que nous allions sans doute devoir redoubler de prudence à la rentrée.
Je lui répondis alors qu'en effet, nous serions plus prudents et que cela pouvait éventuellement commencer par le fait de ne plus m'envoyer de photo d'elle à poil ! Emilie avait accepté de calmer le jeu de son côté et, durant la semaine de vacances qui me restait, je ne reçus plus aucun message de mes collègues.

Après cette pause bien méritée, je retournai au bureau avec la petite déception de ne pas pouvoir croiser Emilie qui, elle, partait en vacances. Sa bouche, son corps et ses caresses commençaient à me manquer malgré la reprise d'une activité sexuelle normale avec ma femme. Malheureusement, dès la reprise du travail, celle-ci se replongea pleinement dans ces dossiers et, à nouveau, sa libido disparût totalement. Céline, mon épouse, s'en désolait elle-même et je ne pouvais vraiment pas lui en vouloir. Elle en parla même à Julie elle-même lors d'une soirée organisée peu de temps après notre retour de vacances. Elle se désespérait d'être incapable de se vider la tête de ses dossiers et se demandait vraiment comment je n'avais pas encore trouvé de maitresse.

- Peut-être que c'est le cas ! avait plaisanté Julie en me faisant un clin d'œil
- Franchement, je ne suis pas sûr que ça me blesserait plus que ça, avait alors répondu du tac au tac Céline alors que j'essayais de bredouiller une réponse.
- Bon... je me porte volontaire ! avait alors conclu Julie en éclatant de rire en même temps que ma femme.

Nous en étions évidemment restés là mais Julie, elle, n'avait pas oublié ce moment. Un jour au bureau, alors que je lui demandais si elle avait quand même pu partir un peu cet été, elle me répondit qu'elle s'était offert un weekend hôtel/spa avec une copine et elle décida alors de me montrer les photos sur son téléphone. Elle passa d'abord en revue l'hôtel, le parc, la chambre de luxe, etc. Puis elle commença à faire défiler des photos d'elle et de sa copine.

- Là, c'est moi sur la terrasse de l'hôtel pour le café...



- Là, c'était juste avant une séance de massage avec leur sorte de pyjama en lin, tellement léger que j'avais l'impression d'être à poil !



- Là c'était au bord de la piscine d'intérieur avec ma copine.
- Sympa les maillots de bain ! avais-je commenté. Les mecs autour de la piscine devaient être ravis !
- C'est clair, fallait voir la tête des papys et surtout de leurs femmes !!




Julie faisait défiler les photos de plus en plus sexy et intimes sans s'en offusquer et sans se rendre compte qu'elles commençaient à m'exciter méchamment, d'autant que je me tenais tout contre elle pour qu'elle puisse me montrer les photos sur son téléphone.
Elle me montra ainsi des photos d'elle, prise par sa copine, au saut du lit dans un minuscule pyjama qui me laissait parfaitement deviner sa belle poitrine...



... ou encore des photos d'elle et de sa copine, toutes deux en sous-vêtements, juste avant de partir en soirée.



Julie fît défiler une nouvelle photo mais émit aussitôt un « oups » très sonore et probablement préparé en voyant qu'il s'agissait d'elle, nue, dans la baignoire de sa chambre d'hôtel. La mousse cachait l'essentiel mais la photo restait assez coquine.



- Désolée, c'est ma copine qui a voulu me prendre sous toutes les coutures, soi-disant pour alimenter mon profil Tinder ! Elle me disait qu'une photo à moitié nue me vaudrait bien plus de touches !
- C'est fort probable en effet... Je ne vais peut-être pas regarder les suivantes, du coup...
- Oh, je ne crois pas que ce soit bien méchant au final.

Julie fît défiler une nouvelle photo sur laquelle on la voyait enveloppée dans sa serviette, toujours dans sa salle de bain.



- Tu vois ? Rien de méchant !
- Mais joli quand même !
- Merci ! Je ne me souviens plus de la suivante... dit-elle en faisant glisser devant moi la prochaine photo.

Celle-ci était plus coquine encore. Julie était en train de retirer sa serviette et on pouvait voir une jambe et une hanche nue ainsi qu'une partie du bas de son ventre. Je me dis alors qu'en zoomant, on pouvait sans doute distinguer son sexe.



- Ah mince, celle-là est plus chaude, dit-elle en reprenant devant elle son téléphone. Et les prochaines seront pires encore... On va s'arrêter là pour le compte-rendu du weekend, hein ?
- Comme tu veux, moi je l'aimais bien ce reportage photo !
- Coquin...
- Et du coup, tu as pu... faire des rencontres ? J'imagine que tes soirées se sont bien terminées !!
- Même pas ! J'étais avec ma copine tout le temps et on partageait la même chambre. Alors à part flirter un peu, je n'ai rien osé tenter. Du coup, même si j'ai pu me reposer, je suis encore plus en manque de cul !!

Julie, toujours à côté de moi dans la salle de pause, plaça alors sa main sur ma cuisse et la remonta vers mon entre-jambe en ajoutant :

- Mais, de ce que j'ai compris l'autre jour, je ne suis pas la seule en manque de sexe...

Je me levai alors d'un bon en m'exclamant :

- Attend, qu'est-ce que tu fais ??
- Ce n'est pas évident ? Je te drague...
- Mais... Mais tu es copine avec ma femme ! Depuis quand on essaie de voler les mecs de ses copines ??
- Depuis... toujours ! Et je n'essaie pas de te voler à Céline, je cherche juste une partie de jambe en l'air. Et, franchement, vu ce qu'elle m'a dit de votre vie sexuelle, je ne pense pas qu'elle m'en voudrait !
- Alors là j'en doute fort ! Et moi, tu ne t'es pas dit que j'avais peut-être mon mot à dire ?
- Honnêtement, vu le petit jeu auquel on joue depuis des semaines et vu que tu ne peux rien espérer de ta femme de ce côté-là, j'ai pensé que tu étais partant. Et puis ce n'est pas la peine de jouer la vierge effarouchée : Céline ne serait pas ravie non plus de vous voir toi et Emilie.
- Emilie ? Qu'est-ce qu'elle a à voir là-dedans ? On t'a déjà dit qu'il n'y avait rien entre nous !
- Oui, oui, je connais cette théorie... me répondis Julie en se levant à son tour de sa chaise. Tu as vu, moi-aussi j'ai les mêmes références que vous !


Puis elle s'approcha de moi et me glissa, juste avant de retourner dans notre bureau :

- Si tu changes d'avis, tu sais où me trouver. De mon côté, je suis... hum...plus que prête ! ajouta-elle en se mordant la lèvre inférieure.

Le reste de la journée fût évidemment un peu tendu entre Julie et moi et je n'osais lui adresser la parole. J'étais en colère contre elle de me penser à ce point infidèle et j'étais en colère contre moi de l'être ! Elle nous avait percé à jour avec Emilie mais n'avait heureusement que sa suspicion et sa conviction pour elle. Il était même possible qu'elle bluffa totalement. Mais ça, je l'ignorais.

Dans l'après-midi, alors qu'elle s'apprêtait à se rendre sur un chantier, elle sortit du bureau en me disant :

- Je vais me changer dans le bureau d'Emilie. Je ne voudrais pas t'imposer la vue de mes sous-vêtements... D'autant que je n'ai pas mis de soutien-gorge aujourd'hui !

Je ruminais intérieurement sur cette occasion ratée de contempler la poitrine de Julie et sur son attitude provocante. J'avais évidemment envie de la baiser, n'importe qui l'aurait voulu. Et le fait qu'elle me le réclame ainsi aussi ouvertement me tuait car je ne pouvais me résoudre à céder. La situation avec Emilie au bureau aurait tout simplement été intenable et, c'est certain, Céline aurait fini par tout découvrir. Je pouvais encore essayer de gérer une maîtresse, mais deux, c'était impossible pour moi.

Plus tard dans la journée, alors que Julie était toujours sur le terrain et que j'étais toujours autant perturbé, j'envoyai à Emilie un message lui indiquant que, en effet, Julie avait de gros doutes et qu'il nous faudrait être très prudent. Message auquel je n'eus de réponse que le lendemain, dans un contexte anodin qui pourtant bouleversa totalement ma vie...

Le lendemain midi, donc, après un repas glacial avec Julie, je décidai de prendre mon café à mon bureau plutôt que dans la salle de pause et je ruminais encore de ce qu'il s'était passé la veille. Quelques minutes plus tard, Julie me rejoint avec son téléphone dans les mains et un sourire énigmatique sur son visage. Elle s'approcha de mon bureau en me montrant son téléphone en me disant :

- Tu es parti en prenant mon téléphone au lieu du tien, et tu as laissé le tien dans la salle de pause.
- Ok merci. C'est pénible ces tel pro qui sont tous les mêmes...
- Ah ça c'est clair ! D'ailleurs, Emilie t'a écrit...

Mon sang se glaça alors qu'elle me tendait mon téléphone et qu'apparaissait sur l'écran un selfie d'Emilie, totalement nue et qui me faisait un bisou soufflé avec le commentaire sans équivoque suivante « ta bite me manque ».



- J'avais donc bien vu juste... commenta simplement Julie en me voyant livide devant la photo.
- Pourquoi as-tu ouvert le sms ?? Tu fouilles dans mes affaires, maintenant ? réagis-je avec une agressivité bien mal placée.
- Calme-toi, je ne fouille rien du tout. Quand j'ai vu le sms d'Emilie, j'ai cru qu'elle m'écrivait et j'ai ouvert le sms. Et forcément en voyant la photo, j'ai vite compris que ce n'était pas à moi qu'était destiné le message.
- Et tu as lu les autres messages ?
- Oui...
- Bon, bah je suis foutu...
- Hein ? Mais non, n'importe quoi ! Tu couches avec ta collègues, tu n'es pas le premier mec qui fait ça !
- Je ne couche pas avec Emilie, sur ce point je t'ai dit la vérité !
- Bien sûr ! Mais, je la cite, « ta bite lui manque » !
- C'est juste qu'on... fait des trucs. Mais on ne couche pas ensemble.
- Des trucs ? Genre ? m'interrogea Julie en s'approchant de moi.



- Elle... elle me fait des pipes, avouais-je en ayant un mal fou à prononcer ces mots. Et je m'occupe aussi un peu d'elle. Mais rien de plus !
- Elle te suce, tu la lèches, elle t'envoie des photos d'elle à poil, mais vous ne couchez pas ensemble ? Soit tu me racontes encore un bobard, soit vous avez une bien étrange relation...
- Bref, tu croiras ce que tu veux...
- Oui, bref, peu importe. Ce qui est important c'est que, du coup, mon cher, tu n'as plus aucune excuse pour ne pas t'occuper de moi, maintenant !
- Tu rigoles ?
- Absolument pas. Tu te tapes une de tes collègues, alors tu vas te taper l'autre.
- Putain, je n'arrive pas à croire dans quelle merde je me suis mis !! dis-je en me prenant la tête dans les mains.
- Dans la merde ? Tu es le mec le plus chanceux du monde, idiot ! Tu vas avoir deux maitresses plutôt bien foutues sur le même lieu de travail. Et tu n'es pas dans la merde : Emilie n'est pas obligée d'être au courant.
- Julie... je ne crois vraiment pas que ce soit une bonne idée...
- Ah parce que tu crois que tu as le choix ? Je suis chaude comme la braise et totalement en manque de sexe. Alors il s'agirait de ne pas me contrarier...
- Et bim, je m'en doutais ! Tu me fais déjà du chantage, putain !
- Du chantage, mon cher, c'est qu'on on réclame du pognon ou d'autres services désagréables pour la victime. Toi, tu vas juste devoir me baiser, tu parles d'un supplice !

Julie s'appuya alors contre mon bureau et leva une jambe pour la poser son pied sur ma cuisse. Ce faisant, elle releva sa jupe et m'exposa sa culotte. La dentelle laissait entrevoir des parcelles de peau et la bande de tissu, étroite, ne dissimulait que partiellement le sexe de ma collègue.



- Je n'ai aucun intérêt à tout balancer à Céline, à foutre ton couple en l'air, pour qu'ensuite tu me détestes ou me vires. Et je ne suis même pas sûr que ta femme t'en veuille. Je veux juste que tu me fasses ce que tu fais à Emilie... En fait, je veux une équité de traitement au sein de l'équipe, c'est légitime il me semble ! Et moi, je vais me montrer très ouverte avec toi...

Julie m'enfourcha alors, les jambes écartées de part et d'autre de ma chaise de bureau, et m'attrapa par le col de ma chemise pour continuer de me susurrer :

- Je vais te sucer, te branler, te laisser me prendre par où tu voudras, dans la position que tu voudras. Je peux devenir une chienne en chaleur autant que tu le voudras. Ta chienne...

Tout en me parlant, elle avait placé mes mains sur ses fesses nues et ouvrait ma chemise puis mon pantalon pour en sortir ma queue tout en me glissant à l'oreille toutes les choses sales que je pourrais lui faire. Et la liste était incroyablement longue et diversifiée ! En l'occurrence, je ne pus, ce jour-là, tester qu'une toute petite partie de la liste. En effet, alors qu'elle se frottait sa culotte contre ma bite bandée, je cédai, enfin, à la tentation accumulée et péniblement contenue depuis des semaines.

Je la soulevai d'un coup en me relevant et la plaçai à genoux sur mon fauteuil. Sa jupe étant encore relevée et son cul bien tendu, je me contentai d'écarter son string sur le côté et je pénétrai d'un coup sa chatte trempée. Aucuns préliminaires, aucune délicatesse, je défonçais Julie comme elle me l'avait demandé : comme une chienne en chaleur.



Je lui enfonçais toute ma queue à grands coups de hanches sur son cul. Le claquement de ma peau sur la sienne était audible dans tout le bureau mais pas autant que ses gémissements de plaisir qui se murent bientôt en cris alors que j'accélérais encore la cadence.

Mais mes coups de boutoirs faisaient aller et venir mon fauteuil monté sur roulettes. Énervé par ce mouvement indésirable, je soulevai à nouveau Julie pour la placer sur le rebord de la bibliothèque de mon bureau. Son string, toujours en place et sur mon passage, fît également les frais de mon fougue : je déchirai d'un coup, arrachant au passage à Julie un cri de surprise et d'excitation.

Puis je la pénétrai à nouveau en arrachant également le haut de sa robe et en écartant son soutien-gorge pour libérer un de ses seins.



La séance de sexe fût aussi intense que courte. Alors que je la baisais puissamment et rapidement dans cette position depuis seulement quelques minutes, je senti l'orgasme monter en moi. Mais tandis que ralentissais pour gagner du temps, Julie, qui gémissait et criait de plaisir, m'ordonna de continuer et m'indiqua qu'elle allait venir. Je me décomplexai donc sur la brièveté de ma performance et continua de la pénétrer à vive allure jusqu'à ce que nous jouissions ensemble en nous étreignant.

Il nous fallut plusieurs minutes pour reprendre notre souffle et nous séparer pour réajuster nos vêtements, ce qui ne fût pas simple pour Julie tant j'avais malmené sa robe.

- Merci, Julien, dit enfin Julie en rompant un silence pesant. Merci vraiment, c'était fabuleux.
- De rien, c'était excellent en effet. J'ai été un peu court, désolé...
- Non, c'était parfait, c'était ce dont nous avions besoin, toi et moi. Et tu auras l'occasion de me montrer ce que tu sais faire demain.
- Demain ? Je croyais qu'il te fallait juste « ta dose » ?
- Oui et non. J'avais besoin de ma dose mais maintenant que j'ai gouté à ta came, je n'ai pas du tout envie d'en rester là.
- Je me doutais...
- Et, plus sérieusement, Emilie revient de vacances dans moins de 10 jours. Alors je compte bien profiter de toi un maximum car, ensuite, ça sera plus compliqué.


Elle s'éloigna vers la pièce d'à côté puis repassa la tête dans mon bureau pour ajouter :

- Évite juste de déchirer mes vêtements à chaque fois, je ne pourrai pas suivre en terme de budget ! En plus je vais devoir finir la journée avec mes fringues de travail...


Passé ce moment de folie, nous terminâmes la journée tant bien que mal, en se souriant souvent, comme deux ados venant de faire une bêtise et mais en étant fiers ! Et durant les jours qui suivirent, comme promis, elle profita de moi !


A suivre...

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