Legul
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24 mars 2023
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L'anti-stress - 7
Dès le lendemain, Julie reprit son « harcèlement sexuel » en m'envoyant sur mon mail perso les photos de son weekend à l'hôtel qu'elle n'avait pas voulu me montrer deux jours avant, car elles étaient trop osées. Juste devant moi, à son bureau, Julie arborait un sourire très fier tandis j'ouvrais les pièces jointes et que je découvrais les photos. On la voyait dans son bain, là où j'avais vu une première photo, mais dans des poses bien plus chaudes.


Il y avait également des photos de Julie au saut du lit dans sa chambre d'hôtel, toujours avec son petit haut de pyjama, sauf que là le pyjama laissait échapper un sein...

... voire disparaissait complètement, laissant apparaitre le magnifique cul de Julie ainsi que sa chatte et son petit trou.

Je regardai les autres photos puis relevai les yeux vers ma collègue qui me demanda aussitôt comment je trouvais son petit cadeau.
- C'est très joli, j'adore !
- Et ça a une double fonction : te faire plaisir et te prouver que je ne chercherai pas à te faire chanter. Tu as maintenant des photos nues de moi et, en quelques sortes, une arme pour te venger si je cherche moi-même à te nuire.
- Ouaa, je suis touché... mais si je suis convaincu que ce sera inutile.
- Je le suis aussi, je voulais simplement te montrer ma bonne foi.
Ce cadeau, en plus de me rassurer, m'avais carrément excité. Et contrairement à la situation que j'avais vécu avec Emilie, je ne ressentais pas de gêne ou de retenue avec Julie. C'est donc moi qui ai fait le premier pas ce jour-là pour lui proposer une pause coquine, ce qu'elle accepta avec plaisir. Mais même si la demande venait de moi, c'est Julie qui prit immédiatement l'initiative en me déboutonnant le pantalon pour en sortir mon sexe et me sucer. Pour cette première caresse buccale, ma collègue fût à la fois douce et gourmande. Elle profita de chaque moment : la découverte de ma bite en gros plan, sa main la touchant et la branlant, le premier coup de langue sur mon gland, la première prise en bouche. Elle souriait et me regardait dans les yeux tandis qu'elle me léchait et si je ne la connaissais pas aussi bien, j'aurais presque pu y voir de l'amour. Je préférai alors interpréter cela comme du plaisir et de la joie.

Après cette pipe fort agréable bien que moins bien maîtrisée que celles d'Emilie, Julie me fît m'assoir sur mon fauteuil de bureau et retira sa culotte pour aussitôt me chevaucher lentement. Julie maîtrisait le rythme de la pénétration et, après la fougue de notre baise de la veille, ma collègue avait manifestement envie de prendre son temps. Il est vrai que, à part une immense pile de dossiers en retard, rien ne nous empêchait de baiser tout l'après-midi !

Moi aussi je décidai de profiter de cette partie de jambes en l'air en déshabillant davantage Julie et en lui faisant un cunnilingus. Et en l'occurrence, alors qu'elle avait pu maîtriser sa façon d'exprimer son plaisir jusqu'ici, le contact de ma langue sur sa chatte, sensation fort lointaine pour cette mère célibataire depuis quelques années, provoqua chez ma collègue d'impressionnants gémissements et je lui donnai très rapidement un puissant orgasme que je n'avais pas vu venir.

Après que cet orgasme eut calmé l'excitation de Julie, nous avons pu reprendre notre baise pendant de longs instants. Ce jour-là, j'ai doucement pénétré ma collègue sur mon fauteuil et mon bureau et j'ai simplement terminé en jouissant sur ses fesses.


Une conclusion sage à une baise tranquille, aurait-on pu se dire. Mais c'était en réalité le début d'une relation torride qui alla crescendo jusqu'au retour de vacances d'Emilie et bien après encore.
Dès le lendemain, je vis nettement un changement de comportement chez Julie. De simple aguicheuse avec moi lorsqu'elle se changeait devant moi ou parlait cul avec nous, ma collègue devint progressivement exhibitionniste puis totalement délurée dans sa façon de s'habiller, de se déshabiller, de se comporter avec moi.
Pour sa visite du terrain du jour, je pu, par exemple, la contempler en petite culotte, en train de retirer son haut...

... pour découvrir qu'elle ne portait pas de soutien-gorge en dessous !
Puis elle s'avança vers moi ainsi seins nus en me demandant si ça me dérangeait qu'elle ne porte pas de soutien-gorge pour aller voir des clients.

Je lui répondis simplement que c'était une grande fille et qu'elle pouvait s'habiller comme elle se souhaitait. Elle me prit au mot car, le lendemain, elle vint au bureau sans aucun sous-vêtement sous une jupe pourtant déjà légère.

Forcément, avec un tel comportement, j'étais en permanence excité et en découvrant ainsi Julie sans culotte au bureau, je ne pus m'empêcher de la prendre sauvagement en levrette.

Cette façon de se changer devant moi avant d'aller sur les chantiers me donnait également plein d'envies, toutes plus perverses les unes que les autres. Ainsi un jour, alors qu'elle venait de se changer et que nous n'avions malheureusement pas le temps pour plus, je lui demandai de se mettre sous mon bureau pour me sucer.

J'en profitai pour me lever et lui enseigner l'art de la gorge profonde tout en continuant à taper mon mail.

Parfois, si j'estimais qu'elle n'avait pas été assez performante dans sa pipe « d'avant rendez-vous », je lui prenais la tête à deux mains pour l'inviter à me prendre en bouche plus profondément.

Contrairement à Emilie qui était tout sauf passive et avec qui j'avais été prudent pendant un long moment et avec qui je n'osais pas prendre d'initiative sans qu'elle me le propose, Julie aimait jouer les esclaves, au point devenir purement et simplement soumise.
Et en voyant que mes premières initiatives un tant soit peu perverses et dominatrices avaient été accueillies avec plaisir, je me pris au jeu et fis de Julie ma petite salope personnelle. C'est moi qui décidais, le soir, de ce qu'elle allait porter comme tenue le lendemain et j'avais ainsi droit aux tenues classiques de secrétaires cochonnes, avec de la lingerie affriolante ou pas de lingerie du tout !
La semaine suivante, quelques jours avant le retour d'Emilie, Je lui demandai de venir me sucer au bureau en lui indiquant que je ne l'autorisais pas à dire non (je ne crois pas de toute façon qu'elle eut envie de dire non).

Puis je la pris sur mon bureau en écartant simplement son string pour la baiser dans sa tenue de salope. Elle écarta ses fesses pendant que je la pénétrais, m'offrant une vue imprenable sur son trou du cul. Je n'osai cependant tenter une sodomie, cela me semblant un poil « too much ».

Je me contentai, ce jour-là, de lui demander de me finir en me suçant et en me branlant, ce qu'elle fît avec une légère appréhension au début vu que ma bite sortait de sa chatte. Mais passé ce moment, elle me dévora le sexe comme une affamée.

- Ne bouge pas, je vais recouvrir ton beau visage de cochonne ! lui dis-je alors que je sentais l'orgasme monter en moi.
- Tu... tu veux une faciale ? Vache... j'en ai fait une seule dans ma vie pour mon ex...
- Et bien la seconde sera pour ton chef et amant préféré.
- Ok... mais à une condition : c'est moi qui te finit. Je veux que ce soit ma main qui te fasse jouir.
- Fais-toi plaisir, ma chère. J'aime ton professionnalisme !
En l'occurrence, l'inexpérience de Julie en termes de branlette masculine fît que je mis plusieurs minutes à jouir mais la perspective de recouvrir son visage me motiva et finit pas me faire craquer. De grosses giclées de sperme s'abattirent alors sur son nez, ses yeux, ses joues. C'était magnifique.

- Putain... je me suis fait recouvrir le visage par le foutre de mon chef... Je suis... une salope... mais j'adore ça.
- Tu n'es pas une salope, tu es ma salope, c'est différent !
Julie me prit au mot et devint rapidement ma salope et je pus tester avec elle mes idées les plus farfelues durant les quelques jours « tranquilles » qui nous restaient avant le retour d'Emilie. Un jour par exemple, je lui demandai de rester nue au bureau toute la journée, ce qu'elle fît avec plaisir. Elle travailla normalement, allant de son bureau à la photocopieuse totalement à poil, prenant son café à poil, etc.

Le lendemain, toujours aussi imaginatif, j'exigeai d'elle qu'elle m'attende le cul tendu et la culotte baissée, le temps que j'aille en réunion avec d'autres collègues de l'entreprise. A mon retour, je la découvris docilement appuyée sur mon bureau, le cul en effet bien tendu et la culotte sur les chevilles.

Je la pris, ainsi, brutalement et sauvagement et résistant cependant une fois de plus à l'envie de lui défoncer le cul.

Et même alors que le téléphone sonnait, je lui imposai de répondre tout en continuant de la besogner sans ménagement.

Je jouis en elle rapidement puis lui remis sa culotte en place en lui imposant de rester ainsi dégoulinante de mon sperme tout le reste de la journée.

Et je conclus cette séance particulièrement perverse par une bonne fessée de chaque côté avant de lui demander de retourner au travail.
Je ne me reconnaissais plus et, d'ailleurs, Julie non plus. Bien que visiblement très satisfaite de la manière dont je m'occupais d'elle, elle s'étonna, ce jour-là, de mon penchant dominateur :
- J'ignorais que tu pouvais être aussi pervers et autoritaire, chef ! J'ai mal au cul à cause de tes fessées et j'ai la culotte qui colle...
- Désolé, j'y suis peut-être allé un peu fort...
- Honnêtement, en te draguant pour te mettre dans mon lit, je pensais que tu serais un amant « normal »... Efficace mais pépère... Jamais je n'aurais imaginé que ce soit aussi... intense. Intense et jouissif.
- Donc, tu ne veux pas que je sois plus « pépère » ?
- Que nenni ! J'ai trouvé une bête de sexe, je la garde !! Et s'il faut que je sois ta salope soumise pour que tu continues d'être cette bête insatiable, ça me va très bien
Julie venait donc de valider ma façon de faire avec elle et je me sentis alors soulagé car, même si elle appréciait visiblement beaucoup nos baises, je craignais qu'elle ne se fatigue de mes excentricités. Dès le lendemain, d'ailleurs, elle me confirma que nous étions sur la même longueur d'onde en m'accueillant au bureau avec un café chaud, simplement vêtue d'une chemise ouverte sur sa poitrine nue et d'une petite culotte.

Cette validation de notre relation intense et perverse me permis, enfin, d'oser tenter une sodomie. En effet, depuis le début de notre aventure, je lorgnais sur ce petit trou du cul qui me faisait de l'œil, mais sans jamais oser le pénétrer. Je l'écartais régulièrement pour lui donner toute sa splendeur.

Je m'étais aussi aventuré à caresser son anus et à y enfoncer le début d'un doigt mais pas plus.


C'est ainsi que lors d'une levrette dans la salle de pause, je posai mon gland sur son anus en lui demandai si je pouvais me permettre.
- Depuis quand tu demandes la permission pour me faire des trucs pervers ?
- Bah quand même.... Je ne vais pas t'enculer sans te demander avant....
- Comme tu es prévenant, chef ! Oui, tu peux y aller. Ce ne sera pas ma première et, tu as de la chance, j'aime plutôt bien ça !
- Chanceux, en effet... commentais-je tandis que je m'enfonçais tranquillement dans son cul, guidé par sa main.

Cette sodomie, la première que je pratiquais depuis des années, ma femme ne m'ayant permis cette excentricité qu'une fois, pour nos 10 ans de mariage, me fît jouir très rapidement.

Mais elle ouvrit la voie à d'autres pénétrations anales, bien plus longues et intenses pendant lesquelles je défonçais le pauvre petit cul de Julie qui, de son côté, gémissais de plaisir et en redemandait.

Je parvins même une fois à la faire jouir gràce à mes doigts qui la masturbaient pendant que je l'enculais.

Cette sodomie incroyable concluait une semaine de folie durant laquelle j'avais pu tester sur Julie (presque) tout ce qui me passait par la tête. Lundi allait voir le retour d'Emilie, de mes pipes anti-stress mais aussi un certain retour à la normal dans notre façon de fonctionner avec Julie. Je ne souhaitais en effet pas qu'Emilie apprenne ma relation avec mon autre collègue et j'allais devoir être particulièrement discret et habile dans la gestion de mes deux maîtresses.
A suivre...
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