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Legul
11 avril 2023
L'anti-stress - 8

La perspective, imminente, de revoir Emilie me laissait un goût étrangement mi-figue mi-raisin. J'avais développé une amitié forte pour Emilie durant tous ces mois de relation et d'autres sentiments, plus romantiques, voire presque amoureux, se mêlaient à l'affaire, je le savais et nous nous l'étions d'ailleurs avoué mutuellement. Durant mes vacances, et malgré la renaissance d'une belle complicité avec ma femme, Emilie m'avait manqué et je n'avais, à mon retour, qu'une hâte : la revoir à nouveau.

Mais ces 15 jours passés avec Julie avaient changé cela. En deux semaines, j'avais connu avec ma collègue bien plus d'aventures qu'avec Emilie, avec qui il avait fallu des semaines pour ne serait-ce que voir sa poitrine et des mois pour toucher son sexe. Aujourd'hui encore, après tous ces moments intimes passés ensemble, la perspective de coucher avec elle était encore très lointaine et, même si Emilie en était d'accord, je ne voyais même pas comment oser aborder la question.

Tous ce qui était simple, rapide et jouissif avec Julie était compliqué, lent et risqué avec Emilie. Et du coup, alors que je me rendais au travail le lundi matin suivant, je me demandais sincèrement si ma relation avec Emilie avait un avenir et si cela n'allait pas compliqué voire gâcher ce que j'avais construit avec Julie.

Tous ces doutes volèrent en éclats lorsque je pénétrai dans nos locaux en ce lundi matin de septembre pour aller saluer Emilie qui était déjà dans son bureau. Sa beauté m'éblouit alors qu'elle était assise et mon cœur manqua plusieurs battements en la voyant dans une position à la fois décontractée et sexy, les jambes, nues, posées sur son bureau. Je compris à ce moment que mes sentiments pour ma collègue étaient plus forts que je ne l'imaginais et je m'en voulu presque d'avoir osé envisager de me séparer de cette femme.



- Salut Emilie, tes vacances se sont bien passées ? lui demandais-je à voix haute.

Je savais très bien que Julie, dans mon bureau juste à côté, m'entendais parfaitement. Mais je ne jouais pas la comédie pour elle, qui était au courant de ma relation avec Emilie, mais bien pour cette dernière. Cette forme d'infidélité me rendait malade, peut-être autant que vis-à-vis de ma femme.

- Salut Chef ! Oui c'était très bien ! La mer, la bière, la bouffe... bref, le bonheur !
- Parfait ! Et le bureau ne t'a pas trop manqué ??
- Le bureau, non, répondit-elle à voix haute.

Puis à voix basse, elle ajouta :

- Mais toi, oui, tu m'as manqué.

Elle écarta alors les jambes pour me montrer sa culotte et tira sur les pans de sa chemise pour exposer son décolleté. Je lui fis un clin d'œil complice et massa mon entrejambe déjà en cours de durcissement pour lui montrer que j'étais bien d'accord avec elle !



Puis je me rendis dans mon bureau pour y saluer Julie. Je la découvris assise sur le rebord de la fenêtre en train de tapoter sur son téléphone, dans une robe à la fois très courte et très moulante. Elle leva la tête en me voyant rentrer dans le bureau et me salua avec un grand sourire complice.



A nouveau, je fus impressionné par la beauté de cette femme mais je me rendis compte que les sentiments que j'avais pour elle étaient différents. Il ne s'agissait pas d'une amitié forte, voire d'un béguin, comme pour Emilie mais d'un profond et pur désir sexuel.

Je commençai à m'installer sur mon poste de travail quand je vis Julie se retourner pour regarder par la fenêtre et je remarquai alors que sa robe couvrait à peine ses fesses. Elle était si courte que je cru apercevoir sa chatte dénudée.



- Euh... tu n'aurais pas oublié un truc ce matin ? demandai à voix basse.
- De quoi tu parles ? répondis-elle, l'air faussement choquée en se retournant et en jouant avec le bas de sa robe.



D'un simple mouvement de doigt accompagné d'un regard ferme, j'ordonnai à Julie de relever le bas de sa robe, ce qu'elle fît sans hésiter. Elle m'exposa alors, avec le regard d'une petite fille prise la main dans le sac en train de faire une bêtise, son sexe sans aucune forme de sous-vêtement pour le couvrir.




Malgré la présence d'Emilie dans le bureau voisin, je ne pus m'empêcher de me lever et de m'approcher de Julie avec un air sévère. Dès que je fus contre elle, je plaçai ma main sur son sexe et enfonçai deux doigts dans son sexe, déjà tout à fait lubrifié.

- Tu es sûre que tu n'as rien oublié ? lui demandai-je à voix basse en faisant aller et venir mes doigts en elle.
- Mmhh...Je n'ai rien oublié... j'ai juste pensé que mon chef apprécierai que je ne porte pas de culotte...
- Il apprécie... Il apprécie beaucoup, dis-je retirant mes doigts enduits de mouille et en les posant sur les lèvres de Julie qui, aussitôt, les lécha.

Je retournai ensuite à mon bureau avec une gaule terrible en me disant que j'avais transformé ma collègue en salope de compétition. Puis, en la voyant s'assoir à son tour à son bureau, l'air visiblement excitée, je me demandai aussitôt si j'arriverai à en faire de même avec Emilie !

Je suis resté très excité toute la journée en attendant avec impatience l'occasion de me faire sucer par Emilie ou de baiser Julie. Mes deux collègues, d'ailleurs, éprouvaient visiblement la même envie puisqu'elles m'allumèrent tout au long de la journée. Mais, paradoxalement, chacune restant au bureau plus tard en espérant avoir un moment d'intimité avec moi, je dus me résoudre à rentrer chez moi le premier, assez tard, sans n'avoir rien fait !

Les jours suivants nous permirent heureusement de profiter de ces moments de tranquillité : Emilie se jeta sur moi pour me sucer comme une affamée dès que Julie partit en rendez-vous à l'extérieur et, plus tard, ce fût à Julie de me sauter dessus sitôt Emilie rentrée chez elle.

Je sentis, durant ces journées de travail confuses, une surenchère de la part de mes collègues. Julie, visiblement jalouse de la relation qu'elle connaissait entre Emilie et moi, faisant en sorte de m'allumer à longueur de journée, de quitter le bureau le moins possible et s'habillait de façon toujours plus provoquante. Je tirai d'ailleurs à mon avantage ce comportement possessif de Julie en la baisant de manière toujours plus perverse.

Un jour que je travaillais à mon bureau avec Julie en face de moi et Emilie dans le bureau voisin, je remarquai le comportement disons... coquin de ma collègue blonde qui jouait à croiser et décroiser les jambes sous son bureau.



Puis, ayant enfin attiré mon attention, celle-ci se mit à écarter franchement ses jambes pour exposer sa toute petite culotte qui masquait à peine son sexe.



Et comme s'il n'était pas suffisamment difficile de me concentrer, Julie estima qu'il était pertinent de commencer à se caresser à son bureau. Le pire est qu'elle faisait comme si je n'étais pas là et jouait avec son sexe, dans ou au travers de sa culotte, en soupirant discrètement.



Je ne pouvais évidemment rien dire ni faire car Emilie était juste à côté de nous dans un bureau voisin dont la porte était ouverte. Heureusement, alors que Julie se caressait depuis plusieurs minutes, Emilie dût partir en rendez-vous, nous laissant ainsi seuls. Dans ma tête, il était clair que sitôt ma collègue partie, je me jetterais sur Julie pour la baiser comme il se devait. Mais celle-ci pris l'initiative et se glissa sous mon bureau pour ouvrir mon pantalon et me sucer.



Julie m'invita à continuer de travailler et s'excusa au passage de m'avoir déconcentré lorsqu'elle se mit à se caresser. Elle essaya de se justifier en me disant qu'elle était en permanence excitée en ma présence, avait de plus en plus de mal à se contenir et était prête à me laisser lui faire tout et n'importe quoi, du moment que je la faisais jouir.
Cela était sans doute très exagéré et destiné à me rendre fou d'excitation. Si cela était le but de Julie, elle ne fût pas déçue ! Incapable de travailler efficacement en me faisant pomper et de plus en plus excité, je me levai pour m'occuper sévèrement de ma collègue.

Je lui enlevai sa petite robe, lui arrachai ses sous-vêtements et la penchai sur mon bureau pour lui lécher le sexe et, surtout, l'anus.



Julie commençait à s'habituer à ma passion pour son petit trou mais je crus bon tout de même de l'avertir de ce qui l'attendait :

- Les salopes dans ton genre méritent d'être traitées comme telles, n'est-ce pas ?
- Je ne suis pas une salope, chef !
- Comment on appelle une femme qui se caresse au bureau face à son patron et à côté d'une collègue ? Et qui se glisse ensuite sous le bureau de son chef pour le sucer ?
- Bon, ok... je suis une salope... Ta salope, plutôt. Du coup, tu vas être pervers avec moi, hein ?
- Oh oui, très pervers... Tu devines ? lui demandais-je en lui doigtant l'anus.



- Tu vas m'enculer ? Tu vas me casser le cul, c'est ça ?
- Bien vu ! Mais surtout, je ne vais m'occuper QUE de ton cul !
- Ooohh, mais j'ai envie de jouir moi...
- Je sais mais tu es une salope qui a été vraiment vilaine. Je vais te défoncer le cul comme tu le mérites. Et si tu veux jouir en te faisant enculer, tu es la bienvenue !

Estimant que son petit trou était suffisamment lubrifié et stimulé, j'y enfonçai sans ménagement ma queue, arrachant à Julie un soupir de surprise et de gêne face à cette pénétration anale musclée.



La lubrification et l'expérience de Julie en la matière firent rapidement leur œuvre et la gêne se transforma en plaisir. Je sodomisais sans ménagement ma collègue, penchée sur mon bureau, et cela lui procurait manifestement beaucoup de plaisir.

Étant bien décidé à l'enculer, comme promis, dans tous les sens et toutes les positions, je la retournai pour la prendre en missionnaire. Dans cette position, l'amplitude de pénétration était moins forte et je réduisis la cadence afin de stimuler, en même temps son sexe.



Je profitai ainsi de son cul durant de longues et savoureuses minutes, donnant manifestement un plaisir intense à Julie, plaisir anal qui la surprit beaucoup. Cependant la cadence me semblait trop lente et je décidai de la placer sur le côté, le fion bien exposé, pour l'enculer à nouveau à un rythme diabolique.



C'est bizarrement cette position et cette allure de bourrin qui offrit à Julie son tout premier orgasme anal, quelque peu facilité, il est vrai, par deux de mes doigts profondément enfoncés dans sa chatte.
Satisfait de cet exploit et fier de voir ma maîtresse à ce point comblée, je décidai de conclure cette sodomie mémorable par une éjaculation faciale massive qui recouvrit en partie le joli visage de Julie, ses seins et son ventre.



Lorsque Emilie rentra de son rendez-vous, rien ne laissait imaginer la séance de sexe qui venait de se passer dans les bureaux, hormis peut-être la difficulté de Julie à rester assise trop longtemps !

Emilie, de son côté, ne resta pas inactive non plus durant cette période. Elle s'agaçait un peu de ce comportement possessif de Julie qu'elle interprétait encore comme une drague poussée envers moi, sans savoir que nous avions dépassé ce stade depuis un moment. Du coup, si elle se montrait moins exubérante dans ses tenues ou ses comportements au bureau et en présence de Julie, Emilie saisissait la moindre occasion pour me sucer, me branler ou exiger de moi un orgasme. Notre relation montait, elle-aussi, en intensité, mais pas sur le plan sexuel. Il s'agissait plutôt du point de vue sentimental. Emilie, en effet, n'hésitait plus à m'embrasser goulument, à me caresser ou à se blottir contre moi, ce qu'elle ne faisait pas lorsque notre relation pouvait encore être qualifiée de purement sexuelle. Je répondais évidemment avec plaisir à ses marques d'attention, ayant de mon côté accepté le fait que j'avais un sérieux béguin pour ma collègue. Et si je n'osais parler d'amour, c'était alors pour m'auto-persuader que ma trahison envers ma femme n'était que sexuelle...

Cette « courses aux armements » de la part de mes collègues ne pouvait que dégénérer et, plusieurs fois, j'avais failli être surpris par Emilie alors que Julie était sous mon bureau, ou inversement. « Non, je ne sais pas où est Emilie » m'étais-je entendu répondre à Julie alors que ma collègue était en train d'ouvrir mon pantalon 5 secondes avant.



Julie, évidemment, m'avais fait un clin d'œil et m'avait laissé seul au bureau pour me permettre de finir ce qu'Emilie venait de commencer. Celle-ci avait d'ailleurs commenté, entre deux coups de langue sur mon sexe, que nous avions eu de la chance. Mais je savais que la chance n'y était pour rien.
Cette différence de connaissance de la situation entre Emilie et Julie me rendait malade. Je trompais ma femme avec une femme dont je tombais amoureux et, maintenant, je trompais cette dernière en lui mentant effrontément. Et même si je ne devais rien à Emilie du point de vue de la fidélité, j'avais l'impression que cela faisait de moi un double salopard.

Je souhaitais que cela cesse mais je ne savais absolument pas comment faire. C'est finalement Emilie elle-même qui me donna l'idée alors qu'elle me suçait.

- Je me demande comme Julie réagirait si elle nous prenait en flag'... me dit-elle entre deux coups de langue.
- On serait dans la merde !
- Pas sûr... Elle a l'air très... épanouie, sexuellement.

Puis Emilie retourna à sa besogne et me fît jouir. Mais, dans ma tête, le plan se mettait en place. Un plan risqué mais qui valait d'être tenté. Dès le lendemain, je m'entretins avec Julie et lui expliquait mon idée. Et, le surlendemain, alors qu'Emilie s'occupait de moi dans la salle de pause et que je prenais, pendant ce temps, mon café, Julie fit irruption dans la salle et nous découvrit en fâcheuse posture.



- Et ben, vous ne vous emmerdez pas ?!? s'exclama-t-elle en jouant magnifiquement bien les offusquées !

Emilie avait les deux mains sur ma queue lorsqu'elle comprit qu'elle était grillée. Je remontai, de mon côté, précipitamment mon jean pour simuler la surprise.

- Qu'est-ce que tu fais là ?? Tu étais censée être en RTT aujourd'hui ! s'exclama Emilie en guise de défense.
- J'ai oublié un dossier... Excuse-moi d'être professionnelle ! Et toi, tu n'es pas censée être en couple ? Tout comme toi, d'ailleurs, Julien. Vous vous êtes bien foutu de ma gueule avec vos bobards !
- Ecoute, Julie, s'il te plait, garde ça pour toi. Je suis sûr que tu ne veux pas briser nos couples, déclarais-je e essayant de paraître réellement inquiet.
- Je ne suis pas une fouteuse de merde, donc non, je ne dirai rien. Mais Céline est mon amie et ce que tu fais n'est pas cool du tout !
- C'est moi qui l'ai incité, avoua Emilie. Tu ne l'as pas connu en début d'année, stressé et anxieux en permanence. Il allait craquer, sérieusement. J'ai juste voulu le détendre, et, une chose en entrainant une autre... voilà.
- Donc... tu suces le chef pour le déstresser ? Intéressant...

Julie avait l'air de réfléchir tandis qu'Emilie s'était relevée et se couvrait le corps en baissant la tête, inquiète.

- Bon, voilà ce que j'en pense : je ne dirai absolument rien à vos conjoints respectifs à propos de... ça. A une seule condition : que moi aussi, j'aie le droit de déstresser le chef.
- Quoi ?? s'exclama Emilie.
- Tu as bien compris. Tu te tapes Julien depuis des mois et ça ne me dérange pas. Mais tu sais bien que je suis célibataire depuis un moment et je suis sûre que tu as vu que Julien me plaisait aussi. Alors si tu veux continuer, je veux ma part !
- Ça me parait raisonnable et on n'a guère le choix, commentais-je à l'attention d'Emilie.
- Evidemment, toi ça t'arrange, tu gagnes une nouvelle maitresse !
- Et toi tu gardes ton amant, Emilie. Ainsi que ton copain. Moi je suis seule et je veux juste m'amuser aussi. On dirait que tu ne veux pas partager Julien...
- Ce n'est pas ça ! On n'est pas en couple et il ne me doit rien.

Emilie me regarda intensément et je la senti vraiment contrariée à l'idée de me laisser aux mains de Julie. Elle se prit la tête dans ses mains puis déclara :

- Ok, ça marche. On n'a pas le choix et je n'ai aucune raison de vous empêcher d'avoir une relation. Et, au moins, on sera dans le même bateau, toi et moi, vis-à-vis de la femme de Julien : on trahit, toute les deux, une copine.
- Parfait ! Je suis soulagée que tu le prennes bien. Et oui, on est des salopes. Mais Céline délaisse Julien sur le plan sexuel et m'a déjà avoué que s'il se trouvait une maîtresse, ça l'arrangerait presque. Je n'y vois pas de la trahison, mais presque un coup de main à une copine !
- C'est toi qui le dis !
- De toute façon, Céline ne l'apprendra jamais, en tout cas pas de ma bouche. Allez, je vous laisse terminer !

Mais plutôt que de se remettre en position, Emilie ramassa ses vêtements et dit :

- Non, reste. C'est moi qui vous laisse. Je ne suis plus d'humeur à continuer, honnêtement. Tu as Julien pour toi toute seule et, à partir de demain, on s'organisera pour que chacune puisse avoir sa part. Ok ?
- Oh, c'est super sympa de ta part, merci. Julien, ça te va ?
- Ah, vous me demandez enfin mon avis ? Cool, merci ! Oui, si cela convient à Emilie, ça me va. Tu es sûre, Emilie ?
- Oui, oui, amusez-vous. Je suis désolé d'avoir réagi aussi négativement.

Emilie s'approcha de moi, m'embrassa sur la bouche et me chuchota :

- Profite bien de ta nouvelle maîtresse. J'espère que tu auras la forme pour satisfaire deux femmes maintenant !!

Je fus rassuré de la voir nous laisser sur cette note d'humour mais, tandis qu'elle quittait la salle de pause pour retourner à son bureau, je vis tout de même dans le regard qu'elle lança à Julie une forme de jalousie.

Dix minutes plus tard, c'est avec un sourire victorieux et du sperme autour de la bouche que Julie me demandais :

- Alors, comment tu m'as trouvée ? Convaincante, hein ?
- Oui, tu as été parfaite. Je pense que ça a marché.
- Oui ça a marché. Emilie et moi allons maintenant pouvoir être tes parfaites petites assistances salopes sans avoir à nous cacher ! Je sens qu'on va bien s'amuser...



A suivre...

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